Les informations ci-dessous sont issues des connaissances et témoignages de Maurice Guignard, éminence grise de De Gaulle, membre des services secrets du Vatican et agent des services britanniques. Elles sont confortées par le livre de l’ingénieur MATTERN, « Ufo’s unbekanntes flugobject – Letzte geheimwaffe des dritten Reichs ? » (Ovni, objet volant inconnu – Dernière arme secrète du IIIe Reich ?). Cet ouvrage de 160 pages est rédigé par un ex-spécialiste de Peenemünde. Il contient des reproductions de documents, des dessins et 86 photos incontestables montrant des ovnis allemands dans leur base de Géorgie du Sud et sous la banquise de l’Antarctique, dans les cavernes d’eau chaude, etc. Ses preuves sont très solides. L’auteur vit maintenant en Argentine. Une analyse du livre a été publiée par la revue allemande VVK, qui regroupe tous les spécialistes allemands d’avant-guerre en physique, chimie, nucléaire, etc. Editeur : Vereinigung erfassungstreuer krafte (union des forces fidèles à l’organisation) ; Mörfelder Landstrasse, 240 ; 6 000 Frankfurt-am-Main.

Des bases allemandes dans l’hémisphère sud

« Depuis près de 150 ans, un flot ininterrompu d’émigrants allemands a submergé l’Amérique du Sud. Leurs descendants qui continuent à parler allemand occupent de nombreux postes politiques, commerciaux, technologiques et industriels dans cette partie du monde. On peut estimer leur nombre à au moins 25 millions. Ils sont donc impossibles à déloger. Ce que nous allons raconter maintenant est parfaitement connu des services USA de la CIA et britanniques de l’IS.

Dans les années 1938-1939, au cours d’une expédition secrète vers l’Antarctique, les Allemands explorèrent et annexèrent plus de 600 000 km2 de territoire. Ils découvrirent des îles libres de glace et près de celles-ci, il y avait des trous chauds d’un diamètre de 450 km. Il s’agissait d’oasis tropicales dans les étendues gelées de l’Antarctique. Ils y installèrent des bases secrètes qui furent agrandies jusque sous la banquise pendant la guerre.

Un gigantesque convoi de sous-marins allemands de la classe E — rayon d’opération 30 000 km — sortit du port norvégien de Kristiansand, le 8 mai 1945. Il fut attaqué par les forces alliées qui furent totalement détruites par les armes secrètes allemandes ».

Commentaire : Cet épisode de la Seconde Guerre mondiale qui vit un blocus allié être mis en pièce par des armes secrètes allemandes, est évoqué dans un des « livres jaunes » aujourd’hui interdits en France. Notons que le jour même de la capitulation allemande signée par l’amiral Dönitz, le 8 mai 1945, les Alliés subissaient en Atlantique Nord leur plus grande défaite. Ces faits sont encore aujourd’hui tenus secrets vis-à-vis du grand public. Est-ce un hasard si la paix entre l’Allemagne et les Alliés ne fut jamais signée ? La guerre n’a t-elle pas continué sous une forme cachée et secrète au-delà de 1945 ?

« Werner von BRAUN et ses constructeurs de fusées furent joués intentionnellement dans les mains des Russes et des Américains pour les orienter sur une fausse piste. Il s’agissait de protéger la plus grande découverte de ce siècle dans l’industrie de guerre. Les Alliés comprirent rapidement que A. HITLER avec le dernier bataillon des troupes d’élite et les groupes des inventeurs allemands les plus géniaux leur échappaient. En 1947, avec 40 navires et 4 000 soldats, l’amiral BYRD fut chargé de déloger avec des gaz le dernier point d’appui du IIIe Reich en Antarctique. Il fut contraint de fuir, mis en déroute par des armes jusque-là inconnues. A son retour aux USA, on l’interna dans un asile psychiatrique. En 1952, les Allemands survolèrent le Capitole de Washington avec leurs armes secrètes ».

Commentaire : Le survol du Capitole en juillet 1952 fut précédé du survol de Lubbock (Texas) le 25 août 1951. Ces armes secrètes dont parle l’auteur sont des escadrilles de Vrill, Haunebu et cigares Androméda dont le premier fut photographié au-dessus de New York le 20 mars 1950 (voir photo et schéma). Beaucoup de témoignages des années 50 décrivent des Haunebu, soucoupe avec trois boules à électro-aimants dessous (voir notre schéma). Une véritable guerre psychologique eut donc lieu contre les Alliés afin que ces derniers renoncent à toute guerre contre les bases allemandes en Antarctique. Si l’Allemagne avait perdu la guerre sur terre et mer, en revanche, elle avait la suprématie de l’air et de l’espace à partir du pôle Sud. Ce terrible constat engendra une course effrénée à la conquête spatiale et à l’armement de la part des Alliés.

Maurice Guignard continue en ces termes :

« Au début des années 1980, les Allemands vivant en Argentine avaient accompli de nouveaux progrès dans les bases souterraines des Andes et des Shetlands du Sud. Depuis l’époque de Peenemünde, ils avaient su construire ces moteurs magnétiques et capter le fluide magnétique du sous-sol polaire. Les ovnis n’étaient pas encore assez puissants pour transporter des bombes et déclencher un conflit mondial mais les Allemands étaient nettement en avance sur les Anglo-Saxons et les Russes des bases d’Omsk et Tomsk qui travaillaient pourtant intensément pour combler leur retard. S’ils ne sont pas rattrapés par les USA et les Russes, les Allemands seront bientôt en mesure d’imposer leur loi au globe terrestre au début du XXIe siècle ».

 

Commentaire : Ces propos de l’auteur sont surprenants. Si des V7 pouvaient transporter des Vrill et des Haunebu, ils pouvaient transporter des armes nucléaires et les larguer. Atomiser toutes les capitales du monde eut été une folie engendrant une pollution radio-active mortelle pour l’ensemble de l’hémisphère Nord durant des siècles. Par ailleurs, si 25 millions d’hommes et de femmes participent à la continuation d’un programme spatial des années 40, qu’en est-il aujourd’hui ? Où sont les usines de fabrication, où est cette flotte, quelle est sa finalité ? Tous les plans retrouvés par les Alliés concernant ces engins, n’offrent aucun élément technique explicatif. Ces dessins semblent avoir été conçus à des fins de propagande. Au-delà de cela, ils permettent cependant d’identifier des ovnis physiques qui semblent venir de ce programme. S’il existe une flotte spatiale allemande, elle ne peut, à elle seule avec 10 millions d’hommes, prendre le contrôle du monde. Décidément, dans cette affaire, plus on tente de lever le voile, plus des zones d’ombres apparaissent, épaississant un peu plus le mystère…

Source : Mémoires de Maurice Guignard sur les dossiers secrets  de Peenemünde (volet 3).
Voir les autres volets dans Morphéus n°87 & 88.
Publié dans Morphéus n°89 septembre 2018