« Le pouvoir des financiers tyrannise la nation en temps de paix et conspire contre elle dans les temps d’adversité. Il est plus despotique qu’une monarchie, plus insolent qu’une dictature, plus égoïste qu’une bureaucratie » selon Abraham Lincoln, 16e Président US.

L’actualité économique et politique récente dans la zone euro marque un véritable tournant démocratique. Nous assistons à un gigantesque transfert de souveraineté des États Nations au profit de l’oligarchie financière.

La dette publique de la France (constituée de 92 % d’intérêts cumulés depuis 1974) vient de dépasser les 1 700 milliards d’euro et il ne se passe pas un jour sans que notre fallacieuse note « AAA » ne soit menacée et attaquée par des officines minuscules, opaques, omnipotentes par on ne sait quel miracle, nommées Agences de Notation ! En fait, une poignée de roublards de la haute finance joue au Casino au-dessus des États. On solde les services publics de tous les États Européens. La Grèce est contrainte de vendre des services publics au tiers de leur valeur à des sociétés privées en cheville avec la haute finance. Elle vend également certaines de ses plages, pourquoi pas le Parthénon ? Ça viendra.

Que signifierait un « ZZZ » ? Cela veut-il dire que les banques seraient en mesure de demander à l’État d’acheter des citoyens par millions destinés à l’agro-business pour en faire de la farine animale ? Posons-nous un peu la question…

A la connaissance de ces informations, la mise en garde prémonitoire du dernier résistant français prend tout son sens : dans son dernier livre, « Mémoires d’espoir » publié en 1970, le général De Gaulle mettait en garde les Européens et les Français contre une possible évolution technocratique d’une construction européenne réalisée contre la liberté et l’intérêt des peuples.

On comprend aussi cette mystérieuse déclaration du président François Mitterrand livré dans son testament politique aux Français :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le Monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une Guerre à mort ! ».

Si cela était vrai en son temps, on constate que les USA n’appartiennent plus au peuple américain mais à des consortium internationaux. Obama n’est qu’un laquais piloté par des exigences transnationales qui ont ruiné sciemment l’État Américain, mettant 50 millions de citoyens à la rue.

Cependant aujourd’hui les loups sortent du bois. Ils ne se cachent même plus pour placer directement leurs agents à la tête des États. Nous assistons à la consécration du pouvoir des banques sur la politique dans le déni complet de la démocratie.

Ces hommes qui dirigent des États sans aucune élection :

Mario Monti, diplômé en économie à l’université de Yale (États-Unis), a été Commissaire Européen, mis sénateur à vie, mais surtout, dès 2005, il est International Advisor pour Goldman Sachs. Depuis 2010, il est aussi Président de la section Europe à la Commission Trilatérale. Il est également membre du comité de direction du groupe Bilderberg. Il est parachuté à la tête de l’Italie, c’est un véritable coup d’État bancaire.

Carlos Papademos vient de prendre la tête du gouvernement grec. Il n’est pas en reste ! Il est lui aussi très familier du cercle financier international.

Vice-président de la Banque Centrale Européenne jusqu’en 2010, il a auparavant été gouverneur de la banque centrale grecque. Après des études aux USA (MIT et Université de Columbia), il a même débuté sa carrière dans la Federal Reserve Bank ! Il est aussi membre de la commission Trilatérale. La Grèce est donc également aux mains des organisations mondialistes fondées par, entre autres, David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski !

Des délégations Goldmann Sachs se chargent en ce moment de conseiller les États Européens, Portugal, Irlande, Espagne, France, etc… En réalité, ces banksters ne font que préparer un pillage en règle des ressources publiques de tous les Etats Européens. Ce sont de véritables pompiers pyromanes qui ont mis en œuvre depuis des décennies un système de dettes inextinguibles, interdisant aux États de battre monnaie !

En France, les choses sont claires. Nous avons dit non au Traité de Lisbonne. La loi Rothschild de 1973 supprimant notre souveraineté monétaire nous a été imposée en force sans référendum. En clair, si nous sommes encore en démocratie, la dette de la France doit être calculée sans les intérêts cumulés, soit une dette de 136 milliards au lieu des 1 700 milliards actuels. Qu’on se le dise !

25 novembre 2011, infoguerilla.com