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PARTIE 1

Les théories officielles de l’évolution de l’homme sont remises en cause par de nombreuses découvertes. Ces nouveaux éléments mettent à terre tout l’édifice des théories paléontologiques. L’image d’Épinal donnée au public concernant la Préhistoire consiste à dire que l’homme descend du singe (fig 1). Pourtant quand on se penche un peu plus près sur la préhistoire, les choses ne sont pas aussi simples. Il est admis, par exemple, que l’homme de Néanderthal et l’homme de Cro-Magnon deux races intelligentes et génétiquement différentes vécurent à la même époque, il y a 30 à 70 000 ans. Le Néanderthal s’est éteint alors que le Cro-Magon a continué sa route et donné, par évolution, l’homme moderne que nous connaissons. Cette approche de la préhistoire est plus riche et plus pertinente que l’idée d’évolution uniforme. S’il y a eu à une certaine époque, deux races intelligentes sur la planète, pourquoi ne pas imaginer trois, quatre, cinq races terrestres intelligentes à une même époque ?

Étranges découvertes

Il y a beaucoup de découvertes de crânes très troublantes.

Dans le Bassin du Zambèze fut retrouvé un crâne moderne fossilisé qui aurait vraisemblablement plusieurs centaines de milliers d’années (fig. 2). Il s’agirait d’un crâne plus moderne que le Néanderthal mais antérieur au Néanderthal. Un fait qui bouscule toutes les chronologies établies.

Dans les années 30, proche de Chihuahua au Mexique, fut découvert dans une grotte un crâne très étrange (fig. 3). Le volume de ce crâne est de 1 400 cc pour un petit squelette, il fut nommé « StarChild » littéralement l’enfant des étoiles. Ce crâne a une symétrie parfaite et un volume harmonieux ce qui exclut d’emblée, l’idée de malformation issue d’une pathologie crânienne. La structure osseuse s’est avérée être deux fois plus résistante et deux fois plus légère qu’un crâne d’homo sapiens sapiens.

Une organisation sans but lucratif nommée « StarChild project » remit le crâne à un laboratoire britannique, où il subit une analyse détaillée de son ADN. Cette étude conclut qu’il s’agit d’un être humain sans autre commentaire. Seules 3 photos attestant de l’existence de ce crâne circulent aujourd’hui sur internet.

En 1880, plusieurs crânes humains avec des protubérances telles des cornes osseuses ont été découverts dans un monticule de Sayre, dans le comté de Bradford en Pennsylvanie. Excepté les excroissances osseuses situées sur le front, les hommes à qui ces squelettes ont appartenu étaient anatomiquement normaux. On a estimé que les corps avaient été enterrés sur ces lieux vers 1 200 avant J.-C. La découverte est due au Dr G.-P. Donehoo historien, deux professeurs de « The American Investigating Museum », et de W.-K. Morehead de l’Académie Phillips, Andover, Massachusetts. Les crânes de cette exceptionnelle découverte ont été envoyés à l’American Investigating Museum of Philadelphia. Ils auraient été volés dans le musée même, disparaissant à tout jamais comme la plupart des artefacts qui remettent en cause les théories officielles de l’anthropologie (fig. 4).

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Les crânes de Robert Connolly

Les crânes ont été photographiés par Robert Connolly au cours de son voyage autour du monde, alors qu’il recueillait des informations au sujet des civilisations anciennes. La découverte de ces crânes de formes inhabituelles fut pour ainsi dire un résultat inattendu de son travail. En 1995, Robert Connolly a publié ses photographies sur un CD-Rom intitulé The Search For Ancient Wisdom (À la recherche de la sagesse ancienne), Cambrix, 1-800-992-8781.

Étant donné le peu de renseignements au sujet de ces crânes, il est difficile de déterminer leur âge, leur rapport avec d’autres hominidés ainsi que leur emplacement d’origine dans une chronologie. Certains crânes sont si différents de ceux que nous connaissons qu’ils pourraient appartenir à une toute autre espèce qui présenterait une lointaine ressemblance avec le genre humain.

Connolly distingue quatre groupes de crânes en fonction de leur forme :

  • le type J « Jack-o-lantern » (nom donné à la citrouille utilisée pour les lanternes d’Halloween) ;
  • le type M : nom donné à cause de la forme de ce crâne très particulier ;
  • le type pré-moderne crâne oblong considéré comme plus ancien par Connolly ;
  • le type C « tête en forme de cône ».

Le type J

Le type de crâne appelé « J », en forme de lanterne, pose plusieurs problèmes. C’est un équivalent du type moderne sous tous les rapports, avec plusieurs éléments hors de proportion. Le moins significatif est la taille des orbites qui sont environ 15 % plus grandes que chez les populations modernes. Le plus important est l’énormité de la voûte crânienne. La capacité de la boîte crânienne varie entre 2 600 cm3 et 3 200 cm3. L’âge de ce spécimen est inconnu et, jusqu’à présent, pas d’autre spécimen de ce genre n’a été retrouvé.

Le type M

fig6.jpgLe crâne appelé « M » est encore plus bizarre que le précédent. Il est incomplet au niveau de la partie inférieure de la zone faciale. D’après les restes de la partie faciale, on constate que ses caractéristiques ne varient pas par rapport à un crâne humain classique. Cependant, il possède la voûte crânienne la plus grande de tous les spécimens connus de Connolly. Les deux « lobes » en saillie sont également anormaux. La capacité crânienne peut être estimée de façon quasi certaine à plus de 3 000 cm3.

Les types « J » et « M » sont proches de l’impossibilité biologique. Selon Connolly, la seule manière d’expliquer leur grosseur est d’émettre l’hypothèse que la néoténie (la capacité de l’espèce à prolonger la période de croissance avant d’arriver à maturité) des deux groupes s’est étendue au-delà de celle du type de l’homme moderne. Cela peut également signifier que la durée de vie moyenne de ces spécimens a été beaucoup plus longue. Les suppositions selon lesquelles il s’agirait de simples déformations ou de cas pathologiques peuvent difficilement se justifier. Parmi la population humaine actuelle, on rencontre de temps en temps des crânes présentant des anomalies de croissance où des formes anormales, mais ces malformations restent dans les valeurs de l’espèce de référence.

FIG7.jpgSelon les textes médicaux, le crâne le plus grand avait une capacité de 1 980 cm3, mais il était de forme normale. Il ne faut pas oublier que toute croissance pathologique du crâne (fig. 7) a presque toujours des conséquences fatales pour l’individu, et ce, au tout début de son développement. La nature est très impitoyable à cet égard. Tous les spécimens présentés ici étaient des individus d’âge mûr.

La capacité de la voûte crânienne (et par conséquent la masse du cerveau) n’est pas nécessairement liée à l’intelligence. L’individu avec le plus grand crâne humain connu, était un homme retardé.

Mystère des crânes pré-modernes et coniques

Le type C

Quand les images de ces crânes furent présentées en 1996, la majorité des gens a supposé être en présence de cas de « têtes bandées », une mode connue pour être pratiquée dans l’ancienne Nubie, en Égypte et dans d’autres cultures. Le problème posé par cette théorie est que ces crânes, bien qu’allongés et pourvus d’un front aplati et incliné vers l’arrière, ont la même capacité qu’un crâne humain classique ; la seule différence étant la forme obtenue après déformation frontale et latérale. Par ailleurs, on ne rencontre pas de crânes en forme de cône parmi les crânes bandés courants.

Robert Cornolly pense de manière assez catégorique qu’il n’est pas en présence de cas isolés de pathologies crâniennes (fig 7).


PARTIE 2

Connolly analyse ses découvertes en ces termes :

« La partie frontale des crânes pré-modernes (fig. 2) semble appartenir à un individu de la famille dite de pré-Néanderthal, mais la mâchoire inférieure, bien que plus robuste que le type dit de l’homme moderne, possède une forme et des caractéristiques modernes.

La forme de la boîte crânienne ne possède aucune similitude avec les types Erectus et Néanderthal ni avec le type de l’homme moderne. Certaines caractéristiques mineures du Néanderthal sont présentes telle que l’arête occipitale en bas, à l’arrière du crâne et le bas aplati de la boîte crânienne, d’autres caractéristiques font plus penser à l’Homo Erectus. Cependant, l’angle au bas de la boîte crânienne est peu commun. On doit exclure la possibilité d’un individu déformé. La solution semble être que le crâne appartient à un représentant d’un type pré-moderne humain inconnu ou à un type humanoïde. En le comparant à un crâne humain moderne, on voit bien que la capacité de la boîte crânienne est comprise dans les mêmes valeurs. Ceci n’est pas surprenant étant donné que les derniers hommes de Néanderthal et les premiers hommes modernes (Cro-Magnon) avaient une boîte crânienne plus grande (tous les deux en gros 1 600 cm3 à 1 750 cm3) que l’homme de l’époque moderne (environ 1 450 cm3).

La réduction de la capacité de la boîte crânienne (d’ailleurs soudaine, les boîtes crâniennes des spécimens datant d’environ 10 500 avant J.-C. sont plus petites) est une question mystérieuse. Autre mystère, on a également du mal à expliquer comment un représentant du type dit de l’homme pré-moderne se trouve sur le continent sud-américain. Selon l’anthropologie orthodoxe, ce crâne n’existe pas, purement et simplement, car cela ne se peut pas. Les textes établissent la plus vieille date d’apparition d’humains, en Amérique du Nord, à 35 000 avant J.-C. et à beaucoup plus tard pour l’Amérique du Sud, selon les hypothèses de la théorie de la diffusion. Les seuls types d’humains dont on admet la présence sur le continent ont une anatomie moderne. Il existe d’autres sources qui placent tous types de genres humains dans les deux Amériques à des dates beaucoup plus anciennes d’après de nombreuses découvertes, mais officiellement, on s’en tient à ces données. »

Trois spécimens de type C

Robert Connolly a découvert trois crânes de type C (fig. 1) dans la région de Paracas au Pérou. Le type dit « en forme de cône » est très inhabituel quant à la forme de la boîte crânienne. Le fait d’en avoir trouvé trois exclut l’éventualité d’une déformation accidentelle. Il ne fait aucun doute qu’ils sont étroitement liés et il se peut qu’ils représentent une branche tout à fait distincte du genre humain, voire une espèce totalement différente.

Toutes les proportions générales des trois crânes sont harmonieuses. La grandeur de la voûte crânienne est manifeste, on peut estimer le volume entre 2 200 et 2 500 cm3.

Des représentants modernes des crânes de Connolly

Robert Connolly considère que les crânes de Type C et pré-modernes, sont de type humanoïde inconnu. Ce n’est pas tout à fait exact. En ce qui concerne ces deux types, une comparaison est possible avec des êtres en chair et en os qui vécurent sur notre planète (fig. 3). Le type C est comparable à une statue du Louvre représentant un « dieu ». Quant au type pré-moderne il s’apparente aux statues égyptiennes représentant Nefertiti, Akhenaton, leurs six filles, le roi Tut et d’autres statues encore (fig. 4). Il ne peut s’agir d’une déformation liée à une pathologie crânienne. Plusieurs générations présentent rigoureusement les mêmes caractéristiques. Il ne s’agit pas non plus d’un effet de style de sculpture marquant la lignée de pharaon, les crânes en témoignent. D’autre part, les grandes coiffes de l’Égypte de la 18ème dynastie couvrent bien de grands crânes qui ont peu de chose en commun avec le crâne dit de « l’homme moderne ».

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Akhenaton un humain ?

La statue d’Akhenaton au Musée du Caire (fig. 5) est très instructive. Elle révèle un crâne énorme sous la coiffe de pharaon. Akhenaton a un cou long et très fin ainsi que de grandes oreilles. Comparé au standard symbolisé par l’homme de Vitruve (intégré sur la photo en bas à droite), aucune proportion dite humaine ne correspond. La taille est très haute, le ventre est volumineux, les bras et jambes sont très minces, biceps, triceps, mollets sont maigres sans aucun rapport avec la musculature d’un homme ordinaire. La chose la plus frappante est la largeur des hanches, aussi larges que les épaules. Cette physionomie si particulière se retrouve pour Nerfertiti, ses filles, le roi Tut, il s’agit donc bien d’une race qui diffère génétiquement de l’homme moderne. On ne peut parler ici d’une simple malformation. Nous avons à faire à une répartition harmonieuse de proportions qui ne sont pas comparables au standard humain moderne. Nous affirmons donc que pendant la 18e Dynastie égyptienne, et très certainement à d’autres époques, une race différente de l’homme dirigeait l’Égypte. Parler de Pharaon comme d’un Dieu n’être pas pur hasard. Se retrouver face à un être de ce type devait être impressionnant, suscitant peur et respect.

Si, comme le dit Connolly des crânes qu’il nomme pré-moderne furent retrouvés au Pérou et au Tibet, c’est que la race d’Akhenaton fut dominante dans ces régions à la même époque ou en d’autres temps. Comme il s’agit d’une race dite divine par les hommes d’alors, ses facultés supérieures lui ont permis de dominer le monde des hommes sur tous les continents à une certaine époque. Les engins volants décrits dans les textes sacrés amérindiens, védiques, tibétains ou égyptiens ont très bien pu être le moyen dont cette race usa pour voyager et prendre en main la destinée de la race humaine.

Le mystère aujourd’hui est de savoir ce qu’il advint de cette race différente de l’humain ordinaire. Pourquoi n’est-elle pas toujours au pouvoir ? Pourquoi nous cache-t-on son existence ? Demeure-t-elle cachée, dirigeant en coulisses la géopolitique de notre monde contemporain ? Ce qui est certain c’est qu’une certaine élite mondiale nous cache sciemment des artefacts et antiquités essentiels pour connaître notre lointain passé. Pourquoi ?


PARTIE 3

La littérature et la mythologie des anciennes cultures sont remplies de comptes de dragons, de serpents volants, lézards ailés ou mythiques êtres aquatiques. Ces créatures sont tantôt décrites comme bienfaitrices, tantôt comme dominatrices et cruelles envers les hommes.

Les Anciens décrivaient ces créatures comme des êtres supérieurs ou des dieux qui pouvaient facilement se déplacer dans les cieux dans leurs « chariots de feu » ou « bateaux du ciel ». Ils vivaient habituellement dans une « demeure céleste » et sont souvent descendus pour interférer dans l’évolution humaine.

La colonisation de cette planète par ces créatures est décrite dans un des plus anciens documents sumérien la « Liste des Rois Sumériens » daté du troisième millénaire avant J-C. Ce document fournit la liste des Rois de Sumer, la longueur de leurs règnes depuis le commencement du temps quand leurs ancêtres vinrent ici et « descendirent » pour établir plusieurs villes sur la plaine alluviale de la Mésopotamie. Nommés « Anounnaki », ces proto-sumériens seraient à l’origine des fondements de la civilisation occidentale et bien au-delà.

Mésopotamie

annunaki3.jpgLes tablettes cunéiformes, dont une très grande collection est au British Muséum, retracent l’histoire de l’espèce humaine remontant à plus de 400 000 ans dans le temps. C’est de là que l’Ancien Testament tire sa source même s’il est parvenu jusqu’à nous, modifié par le prisme des canaux religieux et sacerdotaux.

Babylone

Une autre source importante est issue de ces tablettes. Au IIIe siècle avant J.-C., le prêtre babylonien Bérossus compila un traité en trois volumes sur l’histoire humaine. Il fait remonter la création de l’homme à 432 000 ans avant le déluge. Seules les écritures anciennes sumériennes pouvaient lui fournir de telles informations. Selon Bérossus l’origine de la civilisation humaine débuta grâce à une créature amphibie qui est sortie du Golfe Persique pour enseigner l’art de la civilisation à l’homme. Bérossus les nomma « annedoti » signifiant « les répulsifs » en Grec. Il en fait aussi référence en utilisant le terme « musarus » signifiant « une abomination ». La tradition babylonienne veut qu’une créature aquatique ait enseigné l’art de la civilisation aux hommes.

Chine

La très ancienne littérature chinoise dans le mystérieux « Yi King » déclare que les premiers êtres humains furent créés par l’ancienne déesse Nu Kua qui était un dragon. Les empereurs chinois ont toujours affirmé qu’ils étaient les descendants de cette déesse.

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Inde

Les plus vieux et plus célèbres des classiques hindous, le « Ramayana » et le « Mahabharata », relatent l’histoire des rapports entre les hommes et les dieux-serpents qu’ils considèrent comme leurs ancêtres. Dans nombre de rites traditionnels des prêtes arborent des têtes de Dragon.

Afrique et Amérique

Les mythologies méso-américaine et africaine racontent que des serpents volants et des êtres ressemblant à des dragons descendirent des cieux pour leur enseigner les éléments essentiels de la civilisation, les fameux serpents à plumes…

En Occident

Les Celtes vénéraient également la puissance du Dragon, ornant leurs bijoux, leurs emblèmes et armes de dragons.

Le mythe du Dragon est rigoureusement présent dans toutes les traditions et sur tous les continents depuis des milliers d’années. C’est un dénominateur commun à toutes les traditions terrestres de la genèse. Selon les travaux de Sitchin, Boulay et Ike cette origine tiendrait à la création de l’homme par une race supérieure dite saurienne. Il est possible d’imaginer que la manifestation de tels événement fut si traumatisante et si profondément enracinée dans notre passé, que la connaissance de leur vraie nature a été inconsciemment supprimée et il n’en resterait qu’un souvenir allégorique selon Boulay.

Cette thèse bien que séduisante ne résout pas pour autant l’énigme des crânes peu ordinaires présentés ci-dessus. Nous sommes contraints d’explorer une autre hypothèse concernant l’emblème récurent du Dragon.

Nous savons aujourd’hui que seulement 10 % de l’ADN est encodée, les 90 % restant sont considérés comme de l’ADN poubelle selon les termes de la science officielle. N’est-ce pas totalement abusif de prétendre que le reste ne sert à rien. Si l’ADN est un microcosme, il nous faut alors considérer qu’il a une histoire, un passé, une manifestation présente et un devenir en potentiel dans ces 90 % restants. Par voie de conséquence, il y aurait dans l’ADN un potentiel d’encodage qu’il nous est bien difficile d’imaginer.

saqmur.jpgNous savons aujourd’hui que l’ADN ne détermine pas la forme biologique, c’est un principe directeur qui s’en chargerait. L’univers véhiculerait, à tout instant, des champs morphogénétiques (principes directeurs) pour toute forme potentielle de vie. Or, quand un de ces champs trouve des conditions biocompatibles, alors une entité biologique apparaît. Un tel processus ce fait à l’échelle du cosmos, il ne se fait pas ex-nihilo en une fraction de seconde, il tient compte d’une certaine évolution dans des formes biologiques préexistantes. Cependant, si l’on considère l’histoire de l’espèce humaine sur un demi million d’années, il devient possible d’envisager des époques, des conditions favorables et des lieux propices (que nous nommons communément lieux sacrés) à l’émergence de races d’hommes plus évolués que nous dans le passé. Il peut très bien y avoir eu des sauts quantiques ponctuels dans l’évolution humaine puis des régressions. L’histoire humaine est ponctuée par l’émergence subite de grandes civilisations et par leur chute souvent inexpliquée. Si une race différente et plus évoluée a émergé ponctuellement, nous avons alors un premier élément de réponse. Les créateurs de civilisation pourraient ne pas être unilatéralement des extra-terrestres mais bien des êtres terrestres plus avancés sur l’échelle morphogénétique cosmique. Quand les conditions biocompatibles à l’émergence d’une telle espèce cessèrent, ils dégénérèrent entraînant dans leur chute la civilisation qu’ils avaient créée.

Les crânes si étranges que nous avons présentés sont vraisemblablement ce qui reste de ces sauts quantiques ponctuels ou de certaines régressions de l’expression morphogénétique cosmique. Ce processus pourrait bien expliquer la morphologie atypique d’Akhenaton et de sa descendance.

Quand on considère l’homme moderne, il n’existe qu’en vertu de conditions biocompatibles qui permettent l’expression d’un principe directeur morphogénétique spécifique. Cependant, il peut involuer, évoluer, une entité biologique aquatique peut le supplanter en exprimant un degré supérieur sur l’échelle morphogénétique. Les chimères, les dieux, les demi-dieux androgynes, dont parlent tous les textes anciens ne sont peut-être que le résultat de ce processus. Quant au dragon, il en va de même, il est l’archétype, la représentation du plein potentiel exprimable biologiquement sur notre planète. Le dragon est tout, de lui surgit tout ce qui germe, pousse, fleurit, tout ce qui nage, rampe et vole. Il révèle les propriétés holographiques du cosmos : d’une infime partie peut surgir le tout. Or, ce potentiel peut s’exprimer précisément sur une planète tellurique comme la Terre. C’est sans doute un cas très exceptionnel dans le cosmos, ce qui expliquerait la curiosité à notre égard, d’êtres venus d’outre-espace…

Frédéric Morin

CD-Rom intitulé The Search For Ancient Wisdom de Robert Connolly,
www.world-mysteries.com, www.enigmas.org, www.subversiveelement.com, Mysteries of the Unexplained, p. 39, 1992, L’ancien Secret de la Fleur de Vie
(tome 1, pp. 157-169). Éditions Ariane.