À l’heure où le Nouvel Ordre Mondial se grippe, il devient fondamental de tenter de comprendre comment une hiérarchie planétaire pérenne deviendra possible.
Depuis 5 000 ans les luttes de pouvoir ont engendré plus de 50 000 guerres à travers le monde. À tout système politique s’oppose un autre système, la force, les vilenies et trahisons demeurent les règles pour l’instauration de tout pouvoir sur Terre.
Un pouvoir transnational usurpateur s’est structuré depuis plus de 250 ans. Nous le nommons Nouvel Ordre Mondial. Cet « Ordre » n’est cependant un pouvoir légitime ni pour les 7 milliards de terrestres, ni pour les exo-civilisations tentant de lier contact avec notre « civilisation ». Cet ordre est une verrue entre ciel et Terre qui ne trouvera grâce ni en bas, ni en haut. Ne respectant aucune règle éthique, en marge des lois régissant le cosmos, le Nouvel Ordre Mondial est en lutte avec sa propre base, l’humanité. Par ailleurs, il tente vainement de défier des hiérarchies supra terrestres respectueuses des lois de la vie. Même si aucune organisation humaine structurée n’a jamais réussi à entraver les plans du N.O.M. sa situation le voue à l’échec.
Aujourd’hui les hommes de pouvoir sont essentiellement issus de castes et proposés au vote du public. Toutes ces castes sont évidemment dans les mains du Nouvel Ordre Mondial qui dispose ainsi de sbires pour faire avancer ses plans. Les hommes mis au pouvoir n’ont aucun sens moral, aucune marge de manœuvre. Ils suivent à la lettre un cahier des charges qui leur est imposé. C’est donc toujours en marge de l’intérêt commun que les décisions politiques même les plus anodines sont prises. C’est ainsi qu’avance ce plan à éthique inversée. L’absence totale d’empathie, l’absence de sens moral, le nihilisme poussé au ritualisme sacrificiel, sont autant de critères de recrutement pour les pires mondialistes. L’anti-éthique est consacrée, vouée à un culte. En même temps qu’elle perd l’adepte, elle lui donne une force extatique. Cette force ne lui appartient pas, mais la sensation d’être élu au-dessus de la masse conforte l’illusion de puissance.
Cependant l’éthique inversée n’est un critère de pouvoir ni pour l’humanité, ni pour les exocivilisations respectueuses des lois de la vie. Un tel critère ne permet pas la gestion harmonieuse des ressources d’une planète et de ses habitants. Une bonne gestion planétaire requière sagesse, humilité, éthique, pensée systémique, vision holographique et symbiose avec le biotope et toute forme de vie minérale, végétale, animale.
Par ses critères d’éthique inversée le Nouvel Ordre Mondial tente d’isoler notre planète du reste du cosmos. Une telle situation n’est pas viable. Elle est involutive et ne peut mener qu’à une extinction globale. Elle annoncerait la fin de l’espèce humaine. Le phénix ne renaît jamais de ses cendres. Tout pouvoir qui nie par essence les principes fondamentaux de respect de la vie, ne fait que programmer son auto destruction. Telle est sa nature intrinsèque.
100 000 ans et plus de pouvoir planétaire pérenne ?
Une seule voie peut mener à la gestion harmonieuse d’une planète. Elle est fondée idéalement sur le vrai, le bien, le bon. Une éthique forgée de hautes luttes face au Nouvel Ordre Mondial consacre en quelque sorte les êtres prédisposés à prendre des responsabilités planétaires. Mais nous sommes dupés depuis tant de millénaires, comment nous assurer qu’un être a des dispositions éthiques indéfectibles ? Aucun critère jusqu’à présent ne nous a permis de discerner de manière tangible la sagesse chez un être humain. De plus, le pouvoir corrompt l’homme. Alors à qui confier les rênes du pouvoir planétaire dans une telle incertitude ?
Subsiste un autre problème de taille, une autorité terrestre doit être crédible et considérée comme légitime au vu d’exocivilisations respectueuses des lois de la vie. En clair, une telle autorité planétaire doit être légitime pour les habitants de la Terre et pour les visiteurs d’une sagesse avérée, désireux d’engager une exo-diplomatie. Nous avons tout à apprendre du cosmos, et seule une exo-diplomatie confortant l’évolution planétaire, permettra de pérenniser une civilisation harmonieuse sur des milliers d’années.
La question demeure : quel critère peut permettre à un pouvoir planétaire d’être reconnu à la fois par sa population et outre espace ?
Le rayon de synchronisation Maya
Notre époque est marquée par plusieurs phénomènes cosmiques annoncés par les Maya. Nous ne retiendrons que ce fameux rayon de synchronisation irradiant depuis notre centre galactique. Il nous est bien difficile d’en expliquer la nature, mais il génère des modifications notables dans les structures énergétiques des êtres humains. Plus d’un demi milliard d’individus ont vu leur cartographie énergétique changer. Les enseignements spirituels traditionnels relatifs aux centres énergétiques humains ne sont plus valides pour cette population en mutation. Nous avions déjà évoqué ces faits dans un précédent Morphéus.
Le terme « synchronisation » pourrait s’interpréter comme une syntonisation de l’intelligence de vie des êtres vivants avec l’intelligence immanente du cosmos. En clair, une éthique profonde et indéfectible verrait le jour dans le plus pur respect des lois de la vie. Ce phénomène toucherait actuellement 10 % de la population terrestre.
Pour les Mayas cette large frange de population manifeste des signes énergétiques distinctifs inédits, marque de grandeur, d’éthique et sagesse en formation. Ce nouveau type humain de signature énergétique serait perceptible par les frères de l’espace selon leur tradition. Ainsi se forgerait-il, par une énergie cosmique très particulière, des êtres d’une grande sagesse et d’une puissante éthique dont le niveau de réalisation et d’éveil s’inscrirait dans leurs structures énergétiques. Or, c’est dans cette population qu’apparaîtront des êtres capables de devenir les acteurs centraux d’une gestion planétaire harmonieuse et sereine. Par leurs signature énergétique particulière, leur autorité et compétences seront reconnues par les frères de l’espace et par les terrestres.
Période de transition
Si tels sont les effets de ce rayon de synchronisation, il devient pensable de voir dans les dix prochaines années des changements profonds quant à la hiérarchie planétaire. Un tsunami d’éthique et d’intelligences nouvelles ne peut que conforter l’idée que le Nouvel Ordre Mondial est sur sa fin. La nature même du pouvoir terrestre est en mutation. Il convient alors de croire qu’une civilisation pérenne fondée sur l’éthique et le respect des lois de la vie verra le jour pour les 300 000 ans à venir…
Frédéric Morin
D’après l’émission Mémoire Alternative du 24 sept 2013,
sur radio-zolkin.com avec F. Morin.
Morphéus n° 60 novembre 2013
