Ce texte est la suite de l’article intitulé : « La Palestine une ancienne colonie gauloise » publié dans Morphéus n°89.

 

Contrairement à ce qui est communément admis, le Christ n’était pas juif mais un Galate, descendants des Gaulois. Les Galiléens étaient différents des Juifs par leurs mœurs et leur vie tranquille de pêcheurs sur les lacs de leur pays d’adoption. Leur aspect physique différait de celui des Hébreux, puisqu’ils avaient des cheveux blonds et souvent des yeux bleus.

Selon Flavius Josephe, dans « la guerre des Juifs », les Galiléens étaient des gens laborieux et ennemis de l’oisiveté. Ils étaient belliqueux et tenaient tête aux nations voisines qui les harcelaient, ce qui atteste leur identité celto-nordique. On remarque en Galilée la présence de nombreux toponymes celtes (galaad, gaulaunitide, etc.), grecs (scythopolis en référence aux Scythes) et germaniques (juta en référence aux Jutes), ainsi que d’innombrables mégalithes ou gigantesques runes dessinées dans la région.

Au XXe siècle, le père Georges LUSSEAUD écrit :

« Vers 160, les combats dirigés par Simon se déroulaient en Galilée et en Galaad (aujourd’hui la Transjordanie). Mais voici qu’il est question d’une « Galilée des étrangers » : c’était la partie septentrionale, où s’étaient installés des Arabes et des Syrophéniciens. La Galilée n’avait jamais été un pays juif. (I Macchabées 5, 14-23)… Convertie au judaïsme en 135 av. J.-C., par la force de l’épée, la Galilée n’était pas en vérité un pays juif… »

« … Or, dans la suite des temps, ce pays, par sa race peut-être dominante, avait une parenté profonde avec la Gaule. Les Galiléens étaient les Gaulois établis à l’Ouest du Jourdain, mêlés à de nombreux autres peuples, très épris de culture grecque ».

La Galilée était une enclave indo-européenne. Ce fait est attesté par l’anthropologue Hans Gunther :

« La Galilée était réputée pour être “la région des Païens” et était décriée par les Juifs. Les Israélites ne purent jamais dominer cette terre montagneuse peu fertile et ses habitants luttèrent toujours pour leur liberté. Il fallut attendre l’an 67 pour que les Romains soumettent la Galilée ».

Ceci indique que cette terre appartenait à des Païens, c’est-à-dire un peuple d’ascendance indo-européenne associé au sacerdoce de la lumière salvatrice. Les Romains qui conquirent la Galilée pratiquaient un culte de Jupiter qui avait dévié vers le pouvoir temporel.

De plus, la Galilée était une enclave distincte de la Judée. En Galilée, vivaient les détenteurs de l’ancienne tradition christique parfaitement pure ; en Judée, vivaient les Juifs détenteurs de l’ancienne tradition dévoyée. L’évangile selon Saint-Jean est très clair sur ce point :

« Jésus continua de parcourir la Galilée ; car il ne voulait pas séjourner en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir ». (Nouveau Testament, Saint-Jean, chap. VII – Dissensions parmi les assistants, v. 1)

Cela démontre qu’il existait deux communautés bien distinctes par l’ethnie, la langue et la religion :

  1. Les Indo-Européens d’ethnie et langue galiléennes pratiquant la religion païenne sans sacrifice sanglant. Pierre appartenait à cette communauté de religion. C’est dans cette communauté que se manifestaient les êtres réalisés appelés Christ, de l’aveu même des servantes d’Hérode appartenant à la religion juive qui ne manifestait pas de tels êtres.
  2. Les habitants de la Judée de langue judéenne et pratiquant la religion juive qui est une forme de magie basée sur le sang des sacrifices animaux et humains, à cause de la circoncision.

 

Autres sous-titres :

  • Apparence physique du Christ
  • Étymologie des noms Jésus, Marie et Anne
  • Conflit doctrinal entre Jésus et les Juifs

Intégralité du dossier sur Morphéus n°90 novembre 2018