Les experts de la vaccination contre la grippe (tels en France le Pr Bruno Lina de Lyon et le Dr Vincent Enouf de l’Institut Pasteur, directeurs des centres référence sur les virus grippaux des régions Sud et Nord) sont tous convaincus de l’intérêt de se faire vacciner contre la grippe. Touchant chaque année 2 à 5 millions de la population française, ce virus saisonnier serait responsable d’un absentéisme évalué à 2 millions de journées de travail pour les épidémies faibles et jusqu’à 12 millions pour les épidémies intenses, pouvant ainsi désorganiser la vie économique et sociale. 7 000 à 8 000 décès annuels lui sont imputés directement. 1 500 à 2 000 décès lui sont indirectement imputé suite à des maladies chroniques, notamment respiratoire ou cardiaque, quelques semaines après la grippe. Cette mortalité aurait été divisée par dix en quarante ans avec la mise en place de la vaccination et un taux de vaccination dépassant 22 % de la population, évitant ainsi plus de 2 000 décès chez les personnes âgées selon l’institut de veille sanitaire (inVs). Pour le Ministère de la santé, le risque d’être infecté par le virus de la grippe serait diminué de 75 à 90 % avec la vaccination.

C’est pourquoi, chaque année, avec la sortie du Beaujolais nouveau, l’industrie du vaccin, les agences gouvernementales de santé et les médias de masse, exercent une promotion intensive en faveur de cette vaccination.

Le scandale de la crise aviaire de 2009 et ses conséquences

En dehors du bilan financier catastrophique — mais juteux pour les fabricants de vaccins — de cette pseudo-pandémie H1N1 de l’hiver 2009-2010 qui n’était qu’une grippette, la population vaccinée a chuté de 15 à 20 % en 2011 au grand désespoir des dogmatiques experts.

Pour eux, « c’est un bond en arrière de quinze ans. Cela tient aux difficultés qu’il y a à expliquer le paysage de la grippe, les risques, les décès directs et indirects… L’an dernier, le discours anti-vaccination a atteint un paroxysme. On en paie maintenant les conséquences. Il y a aujourd’hui besoin de prises de position fortes de la part des personnes qui estiment que la vaccination contre la grippe, c’est important en termes de santé publique ». La « relative incompréhension de la part la population sur la campagne de vaccination 2009 durant la (pseudo) pandémie » de grippe A explique la « défiance » développée à l’égard du vaccin par une partie de la population. Le H1N1 s’était en effet révélé bien moins grave qu’annoncé, avec « une surestimation claire du problème », ce que reconnait le Pr Lina qui ajoute que « Nous risquons donc de voir le taux de décès remonter de façon significative. Toutes les études indiquent que lorsque le nombre de personnes vaccinées augmente, les décès liés à la grippe, directement et indirectement, diminuent ».

Selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, « le nombre de décès entre le 6 février et le 18 mars 2012 aurait augmenté de 13 % par rapport à l’année précédente. Au total, près de 6 000 décès supplémentaires ont été recensés. Cette augmentation de la mortalité concerne particulièrement les plus âgés. Outre le recul de la vaccination, la vague de froid qui a touché la France entre le 1er et le 13 février 2012 a très probablement contribué à la hausse de cette mortalité hivernale. Enfin, notons que la survenue tardive du pic épidémique de la grippe a pu également minimiser la protection conférée par la vaccination tandis qu’une mutation du virus A (H2N3) a pu rendre celle-ci moins performante… »

La dure réalité scientifique que semblent — ou veulent — ignorer nos experts et les autorités sanitaires.

Dans leur analyse des faits, nos experts dressent des conclusions au service de la stratégie vaccinale alors que cette stratégie devrait être conçue à partir de la réalité.

Ainsi, le 28 septembre 2010, l’Institut National d’Études Démographiques (INED) publiait un article laissant entendre que la vaccination antigrippale avait permis de diviser par dix la mortalité liée à cette maladie. Cette information, reprise par l’AFP, fit la une de nombreux médias au moment du lancement de la campagne de vaccination !

Fondant son analyse sur l’observation des courbes historiques, France Meslé, auteur de cette étude de l’INED, affirmait que « la mise au point d’un vaccin efficace, constamment remanié en fonction des mutations du virus, a permis de diviser la mortalité par dix en France comme dans les autres pays industriels en 40 ans. »

Médecin généraliste et farouche partisan de l’indépendance de l’information médicale, le Dr Dominique Dupagne, s’étonne qu’une institution aussi respectable puisse utiliser de tels procédés obsolètes consistant à attribuer un lien de causalité à une relation temporelle, piège enseigné aux statisticiens débutants. « Cette affirmation est bien fragile si l’on se donne la peine de regarder les données d’un peu plus près. » Notons que ce procédé est régulièrement utilisé pour affirmer que c’est grâce à la vaccination que la fréquence et la mortalité des maladies infectieuses, comme la polio, la diphtérie, la rougeole ou encore la coqueluche ont régressé en rapport notamment avec les progrès de l’hygiène et ce, bien avant la mise en route de la vaccination.

Indépendamment du pic de la pandémie Hong Kong 69/70, il est aisé de constater que la diminution de la mortalité grippale est régulière depuis 1950. Cette date n’est pas anodine : elle correspond au début de l’utilisation de la pénicilline pour traiter les maladies infectieuses. En 1960, l’ampicilline (Totapen® en France) permet enfin l’utilisation simplifiée par voie orale d’un antibiotique efficace sur les principaux germes responsables des pneumonies principales complications graves de la grippe.

La diminution drastique de la mortalité grippale à partir des années 50/60 ne peut être une surprise. Le rôle de la pénicilline dans la chute de la mortalité grippale paraît bien plus vraisemblable que le vaccin apparu postérieurement. Ce procédé est pourtant régulièrement utilisé par nos experts qui attribuent à la vaccination la régression importante des maladies infectieuses se manifestant des années auparavant grâce au progrès de l’hygiène notamment.

« Ignorer le facteur confondant majeur que représente la pénicilline est pour le moins surprenant dans une publication à vocation scientifique. »

Pour France Meslé, le fait que la mortalité a commencé à diminuer nettement 20 ans avant la vaccination, notamment aux USA, est éludé par l’utilisation du « sans doute » dans l’article de l’INED : « Aux États-Unis, où le vaccin a sans doute été diffusé plus précocement, la réduction de la mortalité a été très régulière depuis 1950 ». Si l’auteur avait pris connaissance d’un article paru dans la revue de la prestigieuse American Public Health Association en 2008, elle aurait découvert que la baisse précoce de la mortalité grippale, dès la fin de la guerre, ne pouvait être due au vaccin qui n’a été utilisé largement qu’à la fin des années 80 aux USA (sic !)…

Le Dr Dupagne analyse également les notions de mortalité directe, indirecte et estimée, présentes dans l’article. Faire le distinguo entre mortalité directe et indirecte s’avère très difficile, d’où l’emploi de mortalité globale qui intègre des grippes qui n’en sont pas. Cela permet de noircir le tableau et de cultiver la peur. Il en est de même avec la mortalité estimée dite aussi surmortalité due à la grippe dont l’emploi est systématique en France pour dresser des tableaux.

En France, depuis plusieurs années, c’est la surmortalité estimée à partir des courbes qui est mise en avant par les autorités sanitaires, soit, en fonction des années, 4 à 7 000 morts par an. Au début de chaque campagne vaccinale, la presse reprend ces données alarmistes et pousse à la vaccination, soutenue dans cet effort d’information par les industriels du vaccin.

Un véritable décompte des décès a été réalisé pour la pandémie grippale A/H1N1 2009/2010. Grande fut la surprise en découvrant que la mortalité réelle dépassait péniblement 300 cas, bien que tout décès d’un sujet jeune présentant une maladie ressemblant à la grippe a été comptabilisé comme authentique grippe, ce dont la presse ne fit pas écho.

Experts et médias se firent l’écho des conclusions erronées de l’article de l’INED sur la prétendue division par dix de la mortalité en 40 années grâce à la vaccination, sans citer leurs sources.

Une efficacité réelle beaucoup moins bonne que celle retenue par les experts et médias

Quant ils n’utilisent pas des arguties dénuées du moindre esprit scientifique pour minimiser la portée de faits scientifiques compromettants ou d’études publiées dans la presse spécialisée, nos experts se contentent de ne pas les signaler et les mettre aux oubliettes. C’est le cas des méta-analyses sur la très faible efficacité des vaccins contre la grippe réalisées par Cochrane Collaboration. Face à cela, le Haut Conseil de la santé publique « considère que l’absence de démonstration d’efficacité (pour des raisons méthodologiques) de la vaccination contre la grippe saisonnière dans certaines populations ne signifie pas que celle-ci n’est pas efficace. D’autres études en effet, notamment françaises, permettent d’attribuer au vaccin une efficacité dans ces populations et la balance bénéfice/risque de la vaccination reste positive » ! Quelques études, essentiellement françaises — que le HCSP ne cite pas —, auraient donc plus de valeur qu’une centaine d’études internationales référencées…

Une autre étude américaine du Dr Peter Doshi de l’école de médecine Johns Hopkins et publiée en mai 2013 dans le British Medical Journal va dans le même sens quant à la très faible efficacité du vaccin et sa toxicité plus importante que celle alléguée par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Ces derniers qui seraient supposés exister dans l’intérêt de la santé des populations, s’occupent de faire vendre des vaccins contre la grippe en jouant sur la peur, la contrainte avec des études biaisées et des menaces de grippe surestimées.

L’efficacité des vaccins contre la grippe ne serait que de 59 % entre 18 et 65 ans et non de 75 % selon les résultats de 31 études analysées par des scientifiques du Centre de recherche des maladies infectieuses de l’Université du Minnesota et publiés dans le Lancet du 26 octobre 2011.

Ce même Lancet révélait déjà le 10 août 1974 que « les résultats jusqu’à présent obtenus démontrent que l’offre annuelle d’une injection du vaccin dans la vaste industrie n’a pas entraîné une réduction significative de la maladie ». Vingt ans plus tard, une étude de l’INSERM confirmait la survenue d’une grippe chez 20 à 60 % des vaccinés ainsi que la supériorité de l’immunité naturelle qui protégeait bien plus longtemps les non vaccinés.

Le relevé des maladies transmissibles, édité le 1er mars 2001 par l’Agence de santé publique du Canada, confirme cette étude de l’INSERM. Selon le CDC de Vancouver qui a réalisé l’étude, 231 pensionnaires d’une maison de retraite de Colombie-Britannique avaient été vaccinés contre la grippe. 4 à 8 semaines plus tard, 28 d’entre eux, ainsi que des membres du personnel également vaccinés, contractèrent une grippe de type B apparentée à B/Yamanashi. Il s’agit précisément de la souche utilisée pour la mise en route du vaccin, administré en novembre 2000.

Que dire du tardif aveu des autorités américaines en décembre 2014 de la découverte de variations génétiques sur près de la moitié des virus H3N2, utilisés dans le vaccin mis au point pour cette saison grippale dans l’hémisphère nord. Ces mutations ont été repérées en mars dernier, peu de temps après les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour sélectionner les souches de virus en prévision de la préparation du vaccin 2014-2015. Mais à ce moment-là, les virus mutants étaient en très petit nombre. Ces mutations de virus risquent d’accentuer la sévérité des symptômes grippaux et de diminuer la capacité protectrice du vaccin.

Toujours prompts à défendre la vaccination, les responsables des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) indiquent toutefois que « la vaccination a montré qu’elle garantissait une certaine protection contre ces virus mutants dans le passé et aussi contre d’autres souches virales de la grippe qui pourraient être présentes plus tard dans la saison ». Cette « certaine » protection est loin d’être aussi évidente puisque, avec de telles mutations, la sévérité et la mortalité de la grippe sont amplifiées. Le CDC a pu le constater en 2012-2013, en 2007-2008 et 2003-2004 où la mortalité a été la plus forte de ces dix dernières années.

Une sécurité vaccinale très incertaine

Le 27 novembre 2014, l’Agence italienne du médicament a suspendu l’utilisation de six lots du vaccin Fluad de Novartis, suspecté d’avoir provoqué la mort de quatre personnes âgées survenue quelques heures après la vaccination. Les signalements de décès suspects ont augmenté progressivement depuis le début de l’affaire, pour atteindre la vingtaine, mais Sergio Pecorelli, patron de l’agence italienne du médicament (AIFA), explique que « l’augmentation est certainement due à un effet médiatique( !), la suspension préventive du Fluad par l’AIFA ayant créé un vent de panique et les décès sont tous devenus suspects ». Selon la ministre de la Santé italienne, Béatrice Lorenzin, les premiers tests sur le vaccin incriminé écartent heureusement tout lien de cause à effet.

Concernant le vaccin Agrippal (Novartis), qui contrairement au Fluad est commercialisé en France, l’autopsie effectuée sur l’unique décès suspect a démontré que l’homme de 68 ans, décédé à Cuneo, a été victime d’une rupture d’anévrisme qui n’aurait donc aucun lien avec l’injection.

L’association de consommateurs italienne Codacons ainsi qu’un syndicat de médecins avaient demandé au ministère de la Santé de suspendre les campagnes en faveur de la vaccination, mais l’AIFA a insisté sur le fait que les vaccins sont « une ressource précieuse et irremplaçable pour la prévention de la grippe saisonnière. Nous devons nous assurer que le nombre de personnes qui se font vacciner ne diminue pas. Nous devons avoir confiance dans les vaccins » a déclaré le directeur de l’AIFA, ajoutant que « 8 000 personnes mouraient de la grippe saisonnière » chaque année.

Le Fluad sera disculpé par l’agence européenne du médicament (EMA) le 4 décembre après une série de tests réalisés sur le vaccin. « Le comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) réuni au siège de l’EMA le 4 décembre à Londres a conclu qu’il n’existait aucun lien de cause à effet entre le vaccin Fluad et les décès signalés au cours de ces derniers jours », a indiqué Sergio Pecorelli, président de l’agence italienne du médicament (AIFA), ajoutant que « des causes alternatives peuvent expliquer la plupart des morts, les patients étant très âgés. Concernant les autres cas, nous manquons encore d’informations. »

Ces 20 décès ne sont pourtant pas le fruit du hasard tandis que les seuls tests effectués sur le vaccin ne permettent pas d’écarter la responsabilité du dit vaccin, ne serait-ce que par l’intervention d’un adjuvant comme le MF 59 pour le moins toxique et responsable de narcolepsie.

En 2012 déjà, le ministère de la Santé italien avait suspendu la commercialisation de plusieurs types de vaccins contre la grippe de Novartis, dont le Fluad, après la découverte d’impuretés dans certains lots. La commercialisation en France des vaccins Novartis avait alors été suspendue pendant plusieurs semaines. Les lots suspects étaient produits dans une usine de Novartis située à Sienne, en Toscane, où avaient déjà été produits les lots défectueux en 2012. C’est aussi cette même usine qui produit les vaccins Agrippal commercialisés en France.

Ces accidents ne sont pas isolés et si rares que cela. A plusieurs reprises des décès suspects après vaccination sont survenus dans des maisons de retraite françaises ou encore en 2006 en Israël, avec quatre personnes décédées. Le vaccin de Sanofi fut bien entendu innocenté et les examens réduits au strict minimum. Une seule des 4 personnes fut autopsiée…

En janvier 2004, 9 personnes âgées décédaient dans une maison de retraite de Sevran en Seine-Saint-Denis. Parmi les 80 pensionnaires, 17 avaient dû être hospitalisés et 9 étaient décédés entre le 9 et le 20 janvier. Touts avaient reçu le vaccin pour leur faire passer l’hiver tranquillement…

Aucune autopsie ne fut réalisée… D’autres accidents et décès furent à déplorer dans le plus grand silence puisque les vaccins seraient une ressource précieuse et irremplaçable pour la prévention de la grippe saisonnière ( !) mais beaucoup plus sérieusement une manne financière considérable pour les laboratoires.

Vaccinalistes, l’Union européenne leur vient en aide

Devant ses homologues européens, la ministre de la santé Italienne a souligné le 1er décembre 2014 que la vaccination « est d’une importance fondamentale » pour la santé publique, « nous ne pouvons pas baisser la garde » devant la méfiance qui se développe en Europe « sur des bases non scientifiques » face à cet outil de prévention. Et de mettre ensuite en garde contre le « faux sentiment de sécurité » entretenu en Europe face aux menaces sanitaires. L’épidémie d’Ebola en Afrique « devrait rappeler à chacun l’importance de la lutte contre les agents pathogènes. »

De son côté, le commissaire européen à la santé plaidera pour « inverser la tendance actuelle de scepticisme », qui risque de ramener en Europe des épidémies de poliomyélite, rubéole ou tuberculose.

Dans leurs conclusions, les ministres plaideront aussi pour plus de vaccination des personnels de santé et le développement de la recherche de nouveaux vaccins. Face au « nombre croissant de refus de vaccination dans certains États membres », ils rappellent la dimension collective de la protection offerte par les vaccins. « Les campagnes générales de vaccination ont permis d’interrompre la circulation de pathogènes grâce au phénomène de l’immunité de groupe », qui « pourrait dès lors être considérée comme un objectif des plans de vaccination nationaux ».

Mais pourquoi, assiste-t-on depuis 1993 aux USA, et dix ans plus tard en Europe, à une recrudescence de virulentes rougeoles et coqueluches, notamment chez des adultes, malgré une couverture vaccinale proche de 100 % aux USA ?

Ces ministres européens et les membres de leur cabinet entretiendraient-ils des liens incestueux avec Big Pharma ? Auraient-ils subi un lavage de cerveau pour affirmer à l’unisson comme l’avait formulé officiellement en 1998 devant le Conseil d’État, François Vareille, sous-directeur des professions de santé au Ministère de la santé, « la vaccination des enfants est une composante fondamentale de la santé publique en France et devrait être défendue par tout médecin. »

Des risques bien plus élevés que l’hypothétique bénéfice

En compulsant le Vidal des professionnels, édité par l’industrie pharmaceutique, on découvre avec effroi que dans un cas sur 1 000 à 1 cas sur 10 000, sont à craindre des névralgies, paresthésies, convulsions, thrombocytémies pas toujours transitoires, ainsi que chocs anaphylactiques mortels : soit globalement chaque année en France pour six millions de vaccinés 600 à 6 000 personnes affectées par ce genre de complications nécessitant une hospitalisation. Plus rarement, dans moins d’un cas sur 10 000, encéphalomyélite, névrite, syndrome de Guillain-Barré ou encore vascularite avec insuffisance rénale : soit quand même chaque année en France, près de 600 personnes qui devront également être hospitalisées et dont certaines mourront des conséquences de cette vaccination d’efficacité douteuse…

En dehors de ces complication signalées par le Vidal, il n’est, bien entendu, jamais fait état du VAERS, banque de données des effets adverses des vaccins, dépendant de la FDA américaine, où sont recensés chaque année les effets secondaires des vaccins. Entre 1999 et 2002, avaient ainsi été signalés au VAERS, 419 effets secondaires dont 41 hospitalisations et 11 décès, uniquement chez les enfants de moins de six ans.

In fine, la balance bénéfice/risque est infiniment négative, excepté pour les fabricants de vaccins et ceux qui leur sont inféodés comme la majorité de nos experts et les bureaux centraux des formations politiques corrompus par les « visiteurs du diable » du lobbying pharmaceutique.

Dr Marc Vercoutere, décembre 2014.