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Nous avons évoqué à travers de nombreux articles et dans le livre Présence l’influence de cultures exogènes sur notre planète. Si aujourd’hui nous pensons qu’elles se font a minima, il semble qu’il n’en a pas toujours été ainsi. Les récits et épopées des Dieux touchent toutes les religions de la Terre. Elles semblent, en grande partie, pouvoir s’interpréter comme des manifestations d’interventions exoplanétaires technologiquement plus avancées. L’étude de l’Arche d’alliance nous permet d’en révéler une infime partie très significative.

La meilleure description de l’Arche d’alliance, aujourd’hui, se trouve dans la Bible des Jéhovah (Exode 19-25). On lit, dans l’Exode, que l’Éternel parlait au début à Moïse et au peuple juif d’une voix de tonnerre qui terrorisait les Hébreux et qu’ensuite il a parlé doucement, dès que fut construite l’Arche d’alliance.

Les détails pour construire cette Arche sont si précis qu’en 1953 deux étudiants juifs américains, intrigués à l’extrême par les détails techniques dont regorgent les chapitres de la Bible relatant la vie de Moïse, ont décidé de construire une Arche d’alliance en suivant rigoureusement les instructions qui avaient été données à ce dernier sur le Mont Sinaï. Lorsqu’ils l’eurent terminée, stupéfaction : ils ne pouvaient plus la toucher sans être violemment secoués par une forte décharge d’électricité statique !

Rien d’extraordinaire à cela, car elle fut conçu pour être un puissant condensateur. Vous connaissez sans doute le principe des condensateurs : une couche de matériau très peu conducteur (le « diélectrique ») entre deux couches de métal. Dans les postes de radio, on utilise souvent le papier comme diélectrique donc, de la cellulose. Comme le bois de l’Arche, qu’entouraient des feuilles d’or. De plus, dans le désert où l’humidité est quasi nulle, les charges d’électricité statique sont d’autant plus puissantes.

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L’Arche d’alliance

Quelles furent les recommandations de l’Éternel pour construire l’Arche d’alliance ?

« L’Éternel parla à Moïse et dit : Parle aux enfants d’Israël. Ils feront une Arche de bois d’acacia ; sa longueur sera de deux coudées et demie (1,25 mètre) sa largeur d’une coudée et demie (75 cm) et sa hauteur d’une coudée et demie (75 cm). Tu la couvriras d’or pur ; tu la couvriras en dedans et en dehors, et tu y feras une bordure d’or tout autour. Tu fondras pour elle quatre anneaux d’or et tu les mettras à ses quatre coins, deux anneaux d’un côté et deux anneaux de l’autre côté. Tu feras des barres de bois d’acacia et tu les couvriras d’or. Tu passeras les barres dans les anneaux sur les côtés de l’Arche, pour qu’elles servent à porter l’Arche ; les barres resteront dans les anneaux de l’Arche et n’en seront pas retirées. Tu mettras dans l’Arche le témoignage que je te donnerai. Tu feras un propitiatoire d’or pur ; sa longueur sera de deux coudées et demie, sa largeur d’une coudée et demie (comme l’Arche). Tu feras deux chérubins d’or, tu les feras d’or battu aux deux extrémités du propitiatoire ; fais un chérubin d’une extrémité, et fais un chérubin à l’autre extrémité ; vous ferez les chérubins sortant du propitiatoire à ses deux extrémités. Les chérubins étendront leurs ailes par-dessus, couvrant de leurs ailes le propitiatoire, et se faisant face l’un à l’autre ; les chérubins auront la face tournée vers le propitiatoire. Tu mettras le propitiatoire sur l’Arche, et tu mettras dans l’Arche le témoignage que je te donnerai. C’est là que je me rencontrerai avec toi ; du haut du propitiatoire, entre les deux chérubins placés sur l’Arche du témoignage, je te donnerai tous mes ordres pour les enfants d’Israël ».

On peut se demander si le « témoignage » qui doit être impérativement placé dans l’Arche, (« l’Éternel » insiste particulièrement sur ce point) n’est pas un émetteur-récepteur. Il s’agit, pour Moïse, des « Tables de la Loi » (la Torah) bien sûr, mais la Bible nous dit que les commandements étaient gravés sur des tablettes d’une matière inconnue, données par Dieu. Mais, même si ces tables de la loi ne sont là que pour justifier la construction de l’Arche qui l’abrite, cette Arche suffit par elle-même. Le choix du mot « propitiatoire » pour son couvercle est déjà significatif. Car sans ce propitiatoire, elle serait privée de toute utilité : ce couvercle rend l’Arche « propice », efficace, fonctionnelle.

Il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances étendues en électromagnétisme pour savoir qu’une lame de métal placée à proximité d’un champ magnétique ou électrique modifie, module ce champ en vibrant sous l’action d’un son. C’est le principe élémentaire du microphone. Et si, inversement, on transmet ces modulations à un champ électromagnétique placé devant une feuille métallique, cette dernière se met à vibrer, restituant le son d’origine. C’est le principe du haut-parleur. Or, l’Éternel dit à Moïse : « C’est entre les chérubins, du haut du propitiatoire, que je donnerai mes ordres ».

Moïse est donc bien en présence d’un haut-parleur rudimentaire : le propitiatoire, en vibrant au-dessus de la caisse de résonance (intérieur de l’Arche) sous l’impulsion du champ électrique modulé capté par le condensateur (charge électrique de l’enveloppe de l’Arche) restitue la parole de « l’Éternel ». Celle-ci est vraisemblablement captée et transmise à l’Arche par les deux barres servant à la transporter, d’où l’ordre de ne jamais les retirer, car elles font office d’antenne. Christian de Biaisi a calculé la capacité du condensateur que représente l’Arche environ 0,0025 micro-farads, une capacité parfaitement convenable pour l’UHF (Ultra Haute Fréquence).

Le prêtre juif (le premier fut Aaron) entend donc ce que lui dit Yahveh, « l’Éternel ». Cependant, comment, le prêtre « officiant » peut-il être entendu par l’Éternel ?

ephod-2.jpgL’Ephod

L’Ephod est ce vêtement très spécial que le prêtre est obligé de porter pour s’approcher de l’Arche, sous peine de mort. Il est conçu pour lui éviter l’électrocution. Comment devait-il être fabriqué ?

« Ils feront l’éphod d’or, de fil bleu, pourpre, et cramoisi, et de fin lin retors. II sera artistiquement travaillé. On y fera deux épaulettes, qui le joindront par ses deux extrémités ; et c’est ainsi qu’il sera joint. La ceinture sera du même travail que l’éphod et fixée sur lui ; elle sera d’or, de fil bleu pourpre et cramoisi, et de fin lin retors. Tu prendras deux pierres d’onyx, tu les entoureras de montures d’or. Tu mettras les deux pierres sur les épaulettes de l’éphod. Tu feras des montures d’or, et deux chaînettes d’or pur, que tu tresseras en forme de cordons. Et tu fixeras aux montures les chaînettes ainsi tressées ». (figures 1, 2, 3 et 4.)

« Tu feras le pectoral du même travail que l’éphod ; tu le feras d’or, de fil bleu pourpre et cramoisi, et de fin lin retors. II sera carré et double ; sa longueur sera d’un empan ( à peu près 24 centimètres) et sa largeur d’un empan. Tu y enchâsseras une garniture de pierres, quatre rangées de pierres : première rangée une sardoine, une topaze, une émeraude ; seconde rangée une escarboucle, un saphir, un diamant ; troisième rangée une opale, une agate, une améthyste ; quatrième rangée une chrysolite, un onyx, un jaspe. Ces pierres seront enchâssées dans leurs montures d’or […] Tu feras sur le pectoral des chaînettes d’or pur tressées en forme de cordons. Tu feras sur le pectoral deux anneaux d’or, et tu mettras ces deux anneaux aux deux extrémités du pectoral. Tu passeras les deux cordons d’or dans les deux anneaux aux deux extrémités du pectoral et tu arrêteras par devant les bouts des deux cordons aux deux montures placées sur les épaulettes de l’éphod. Tu feras encore deux anneaux d’or, que tu mettras aux deux extrémités du pectoral, sur le bord intérieur appliqué contre l’éphod. Et tu feras encore deux anneaux d’or que tu mettras près de ta jointure au-dessus de la ceinture. On attachera le pectoral par ses anneaux aux anneaux de l’éphod avec un cordon bleu, afin que le pectoral soit au-dessus de la ceinture sur l’éphod, et qu’il ne puisse se séparer de l’éphod. »

La Bible nous indique que l’Éternel a ordonné de faire porter cet éphod sur une tunique de fin lin bleu, une tiare de fin lin bleu également, avec une plaque d’or sur le front, posée sur le tissu de la tiare. Détail très important : la tunique doit porter dans le bas des grenades bleues, pourpres et cramoisies entre-mêlées de clochettes d’or :

« … une clochette d’or et une grenade, une clochette d’or et une grenade, sur tout le tour de la bordure de la robe. Aaron s’en revêtira pour faire le service ; quand il entrera dans le sanctuaire devant l’Éternel et quand il en sortira, on entendra le son des clochettes, et il ne mourra point ».

De même, il est expressément recommandé au grand prêtre et à ses assistants de porter des caleçons de lin allant des reins jusqu’aux cuisses pour leur service dans le sanctuaire :

« … ils ne porteront pas de laine ; ils ne se ceindront de rien qui fasse transpirer. Ainsi, ils ne se rendront pas coupables et ne mourront point. C’est une loi perpétuelle pour Aaron et pour ses descendants après lui ».

Cette dernière précision est la plus claire, la plus facile à expliquer : en effet, tout le monde sait que l’eau salée est un excellent conducteur de l’électricité. Or, non seulement la laine fait transpirer, mais encore elle boit la sueur. Par conséquent, des sous-vêtements transpercés par la sueur, mouillés dessus et dessous et dans leur épaisseur ne sont plus isolants du tout. Au contraire, de légers vêtements de lin retors, tissés très serré donc, ne présentent pas cet inconvénient. Et, si par hasard, l’isolation n’est pas parfaite, les clochettes d’or du bas du vêtement permettent de décharger l’électricité au sol.

L’éphod du prêtre juif est un conducteur, puisqu’il est tissé de fils métalliques. Il doit donc être bien isolé pour pouvoir se charger électriquement de façon convenable. S’il était porté à même la peau, il serait à la terre par le corps de l’officiant. Le courant provenant de l’électricité statique a toujours tendance à aller à la terre. Ainsi, la foudre, partant de nuages chargés d’électricité, va frapper le sol et les effets sur les objets interposés sont différents :

  • Si l’objet est diélectrique, il prend toute la charge, et compte tenu de la puissance de celle-ci, il est détruit ou sérieusement endommagé (arbres fendus, fermes incendiées, etc.)
  • Si l’objet est conducteur et isolé du sol, il prend également toute la charge (fourche sur l’épaule d’un cultivateur).
  • Si enfin l’objet est conducteur et relié à la masse, l’énorme voltage de la foudre se décharge à la terre sans dommages (paratonnerre).

Le prêtre est à la terre. Il peut donc toucher son éphod ou tout autre objet chargé d’électricité statique se trouvant dans le temple sans risquer d’en être incommodé. Le pectoral, est en fait un condensateur, dont la décharge brutale peut être dangereuse. La puissance de ce condensateur doit être relativement élevée, du fait de la faible épaisseur du diélectrique — la doublure de lin — séparant les deux éléments conducteurs (le dessus du pectoral et l’éphod, tous deux tissés d’or). Le pectoral est fixé en haut par des cordons d’or tressés pour relier l’onyx de l’épaule à la doublure du pectoral.

Les deux pierres d’onyx sur les épaules font office de micros piézo-électriques. C’est-à-dire qu’ils se chargent électriquement au moindre mouvement, à la moindre vibration. C’est cette propriété qui est utilisée dans les micros à piézoélectricité, dont les condensateurs produisent des décharges électriques modulées suivant les vibrations des sons. La modulation ainsi recueillie par les onyx des épaulettes, est dirigée par le cordon d’or jusqu’au condensateur (le pectoral émetteur).

pectoral-2.jpgLe pectoral

Sa composition de pierres est très instructive.

Première rangée : sardoine (calcédoine brune) silice, topaze (silicate fluoré d’aluminium cristallisé) et émeraude (silicate d’aluminium et de béryllium).

Deuxième rangée : escarboucle — ancien nom du grenat — (silicate double, de différents métaux), saphir — corindon bleu — (alumine cristallisée ; l’alumine, c’est de l’oxyde d’aluminium), diamant (carbone pur cristallisé).

Tabernacle-2.jpgTroisième rangée : opale (silice hydratée), agate (roche siliceuse formée de couches parallèles de calcédoine (quartz incolore et améthyste), améthyste (quartz violet).

Quatrième rangée : chrysolite (péridot vert clair jaunâtre ; le péridot est un mélange de silicate de magnésium et de fer), onyx (calcédoine noire), jaspe (roche siliceuse formée de couches de calcédoine jaune, rouge, brune et noire ; autrement dit d’opale, de sardoine et d’onyx notamment). L’ordonnancement de ces différents cristaux n’est pas dû au hasard. Il est mûrement réfléchi. Du reste, les instructions reçues par Moïse, là encore, sont formelles, et une fois de plus c’est fort troublant. Car, ces cristaux sont des semi-conducteurs et leur disposition est celle… des TRANSISTORS !

L’éphod semble donc bien être composé de 4 transistors dont la fonction est d’amplifier le courant, d’engendrer des oscillations électriques, détecter et moduler. Ils ne réclament, pour fonctionner, qu’une très faible puissance d’alimentation. Ainsi, les faibles variations du courant modulé (par les paroles du prêtre) transmis par le cordon de l’épaulette au condensateur (éphod, doublure, pectoral) alimentent les transistors qui les amplifient et émettent. C.Q.F.D.

Naturellement, on n’a pas pour habitude d’avoir recours à des pierres précieuses pour construire des postes de radio, mais, à l’époque, il fallait utiliser ce qui était disponible pour y parvenir.

Voilà donc comment « L’Éternel » entendait ce que lui disait le grand prêtre juif. On a vu comment ce dernier pouvait écouter les paroles de Yahveh grâce à l’Arche.

Terreur de l’Arche mortelle

Deux calomniateurs complotèrent contre Moïse et incitèrent les hébreux à ne pas l’écouter et à refuser de se conformer à la loi de Yahveh ? Qu’à cela ne tienne : « Envoie-les moi devant l’Arche », dit « l’Éternel » à Moïse. Sans vêtements protecteurs, les deux calomniateurs furent évidemment foudroyés !

« Des yeux d’un des chérubins, deux regards jaillirent, dont chacun se sépara en deux éclairs, aussi longs et minces que, des fils d’or ; ces quatre éclairs entrèrent, invisibles, aux quatre narines des deux pêcheurs et sans bruit, sans un cri, dans leurs corps intacts, leurs âmes furent brûlées ».

Un courant à haute fréquence, lorsqu’il électrocute quelqu’un, lui brûle l’intérieur du corps, pas la surface. Voilà évidemment de quoi frapper de terreur respectueuse des gens qui n’ont jamais vu d’hommes tués sans aucune blessure, la peau intacte ! Il fallait filer doux avec ce Yahveh, qui ne plaisantait pas sur l’obéissance servile qu’il exigeait !

Le chandelier

L’Éternel a fait recommencer sa construction trois fois. Sa forme et ses proportions sont très particulières et devaient être d’une grande précision. A quoi pouvait-il bien servir ? Ses montants parallèles font irrésistiblement penser à une antenne. Une antenne accordée, cela mérite assurément beaucoup de soin à la fabrication. Cela expliquerait l’intransigeance de Yahveh pour sa ressemblance parfaite avec le modèle montré à Moïse.

La longueur de chaque partie droite prolongeant chaque courbe correspond au rayon du plus large demi-cercle, c’est-à-dire à la moitié de la largeur du chandelier, (60 cm).

Chaque branche déployée est un multiple ou sous multiple de π. La plus longue mesure 3,14 mètres (π), la moyenne 2,51 mètres (π x 0.8), la petite 1,88 mètre (π x 0,6). Nous avons donc bien une antenne accordée avec ses harmoniques. Rien ne fut laissé au hasard dans la conception de ce chandelier.

Un rapide calcul permet d’aboutir à la conclusion qu’il serait parfaitement adaptée, de par ses dimensions, à une fréquence de 50 mégahertz en modulation de fréquence c’est-à-dire en UHF (Ultra Haute Fréquence), que ce soit en radio ou en télévision. Cette antenne non reliée pouvait vraisemblablement fonctionner par modulation de rayonnement électrique qu’elle recevait…

CHANDELIER-2.jpgTabernacle et Temple de Salomon

La description du Tabernacle n’est pas moins précise que celle des objets qu’il abrite. Rares sont les détails oubliés. Rien ne semble, en effet, avoir altéré un tant soit peu l’énumération fidèle des

instructions de Yahveh à Moïse. Ces instructions minutieusement notées, de peur que le moindre oubli ne provoque la terrible colère divine, ont traversé siècles et millénaires sans altération. En somme, paradoxalement, c’est grâce à l’ignorance prolongée de nos civilisations terrestres, au retard extrême de leur évolution scientifique et technologique, que nous avons la chance de posséder en héritage, ce précieux témoignage de l’existence d’hommes d’autres planètes venus influencer nos ancêtres.

templesalomon-2.jpgLe Tabernacle est une grande tente (sanctuaire) entièrement démontable, que les Hébreux ont transportée avec eux à travers le désert pendant des années (quarante ans, dit la Bible). L’Arche d’alliance est disposée dans le « Saint des Saints » un carré de 10 mètres de côté. L’Arche y était déposée sur un socle l’isolant du sol. Tous les objets du Tabernacle se chargeaient puissamment d’électricité statique. Sans rentrer dans le détail, tout est disposé de manière fonctionnelle afin de rendre les systèmes émetteurs récepteurs opérationnels. Christian de Biasi en fait une époustouflante description dans Futur Antérieur.

Le temple de Salomon, construit après la sédentarisation des hébreux, est conçu selon les mêmes principes techniques que le Tabernacle. Cependant, il est 10 fois plus grand, 10 fois plus puissant. Ses murs sont de pierres de taille de 2 mètres d’épaisseur avec un revêtement interne en bois. Ils sont entièrement recouverts d’or, à l’intérieur comme à l’extérieur. Il s’agit bien de la conception d’un condensateur d’une puissance extraordinaire pour une communication puissante et durable. Les deux chérubins de l’Arche sont surplombés par deux colosses de cinq mètres, dont les ailes, également d’une longueur de cinq mètres, se touchent au milieu du sanctuaire. Sans doute sont-ils là pour amplifier la réception des paroles de « l’Eternel ». Les barres « antennes » de l’Arche sont également plus grandes environ six mètres. Cette fois-ci, c’est « l’Eternel » en personne qui a réalisé les plans et écrit toutes les instructions, transmises au Père de Salomon. Yahveh se serait donc mis à la planche à dessins pour élaborer les plans d’une construction aussi gigantesque que précise. Le roi Salomon demanda souvent conseil à l’Arche pour des questions très pragmatiques. Il semble que ce grand roi fut un des premiers à comprendre que Yahveh avait parfois des « travers humains, trop humains ». Il servit Yahveh pour obtenir tout ce dont il voulait puis délaissa, quelque peu, les rituels du Temple.

En conclusion

Ces décryptages de la Bible sont autant de lumière sur l’intervention possible de civilisations exoplanétaires. Il ne manque qu’une chose à cette thèse de Christian Biasi, c’est la reproduction expérimentale et technique de ces récepteurs-émetteurs ancestraux. Une telle expérience réussie nous fournirait la preuve irréfutable qu’une civilisation technologiquement plus avancée est intervenue sur notre planète il y a des milliers d’années.

Nous n’avons présenté ici qu’une infime partie de l’histoire de ces influences externes possibles. Que dire de la Devanagari en sanskrit qui signifie littéralement la langue des Dieux ? Serait-ce un moyen psycho-technique employé pour impulser une orientation évolutive chez l’homme ? Que penser de tous ces antiques récits mettant en scène des Dieux ? En rien, il ne semble s’agir d’allégories ou de mythologies. Ce sont vraisemblablement les récits authentiques d’hommes émerveillés ou terrorisés qui ont vu des phénomènes qu’ils ne pouvaient ni expliquer, ni comprendre. A l’heure d’une révolution technologique sans précédent, il semble vital de revisiter nos religions, d’identifier certaines influences « exotiques » afin de ne retenir que l’essentiel : une foi qui bonifie l’homme et permet la paix sur cette bonne vieille planète.

Article réalisé par G. Pécoul et F. Morin
d’après le livre de Christian de Biasi
Futur Antérieur,
éd. la Pensée Universelle, (ch. 1 à 5).