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Sans les connaissances et les compétences de Monsieur Petit nous avions affirmé que les ovnis de la vague belge étaient des engins antigravifiques terrestres. Ces engins anti-G de forme triangulaire se nommeraient Astra TR3b (Astra est un terme sanskrit issu du Vymaanika Shaastra exposant la science aéronautique védique des Vimana). Ce type d’engin bien que partiellement fabriqué par Boeing et Lockheed n’est pas à proprement parler américain. Il est issu d’un consortium technologique transnational (voir Morphéus n° 40) qui organise en marge de tout contrôle du retro-ingeneering depuis les années 50. Ces black programmes transnationaux au dessus des black programmes nationaux ne sont pas accessibles aux politiques même du plus haut rang (voir Morphéus n° 29). Depuis Kennedy aucun Président élu américain n’a été en mesure de connaître ce qui se trame technologiquement au plus haut niveau des black programmes. Il s’agissait d’un État dans l’État du temps d’Heisenhower. Il s’agit à présent d’un Etat transnational au dessus des États, qui œuvre en marge de toute loi et de tout contrôle démocratique.

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Nous maintenons l’hypothèse que la vague d’ovnis en Belgique fut un test grandeur nature de toutes nouvelles technologies anti-G : les Astra TR3b. Il s’agissait de jauger les réactions de l’armée belge et des populations. Furent mises en place également des procédures de désinformation programmées et bien rodées. Le F117 fut sorti de l’ombre à cet effet. Le seul petit problème dans l’histoire fut l’intervention médiatique non prévue du physicien Jean Pierre Petit qui fit la démonstration qu’il ne pouvait en rien s’agir de F117, engin bruyant ne pouvant voler au dessous de 300 km/h. Or, tous les témoignages parlent d’engins lents et silencieux au dessus de la Belgique…

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Selon nos hypothèses, ce test au-dessus des populations belges et françaises s’inscrit dans un programme mondialiste plus large, probablement visant à simuler une invasion extraterrestre. Ce serait en quelque sorte un 11 septembre à l’échelle planétaire, marquant la prise de pouvoir planétaire par un Nouvel Ordre.

Or, toujours selon nos hypothèses, ce programme de prise de pouvoir mondial a du plomb dans l’aile, à cause d’interventions authentiquement exogènes. Toute technologie anti-G semble diffuser une signature repérable à l’échelle cosmique. Il est donc impensable de développer de tels engins sans être confronté un jour ou l’autre à la venue d’exocivilisations.

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Quand nous voyageons sur Terre, il nous faut un titre de transport, un passeport et surtout connaître et respecter certaines règles douanières. Quand on dispose de technologies anti-G, il faut également une forme de passeport et un apprentissage permettant de connaître les lois et règles exigées dans des voyages disons intersidéraux. Or, la plus grossière erreur de ce consortium transnational aura été de croire qu’ils pouvaient développer leurs technologies sans respecter aucune règle. S’ils ont pu facilement duper 7 milliards d’individus, en revanche ils ne peuvent duper des exocivilisations qui ont plus de 12 000 ans d’avance technologique sur eux. Telle est notre hypothèse de travail à méditer…

Frédéric Morin, 6 octobre 2013
Morphéus n° 60, novembre 2013