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L’état actuel de la bio-diversité et de la biocynèse planétaire semble devenir pour certains d’entre vous un sujet de discussion et de recherche, il est donc important, de faire l’état des lieux sans complaisance. L’ensemble des espèces présentes sur terre semble subir des agressions contre lesquelles leur patrimoine génétique, fruit d’une longue évolution, ne parvient pas à lutter. L’incapacité de muter, de s’adapter à certaines modifications du milieu mène à l’extinction pure et simple. Selon Michel Tranier, professeur au Muséum d’Histoire Naturelle (Sciences et Vie n° 198 de mars 1997), nous sommes confrontés à une extinction massive des espèces. Pendant ce siècle, cela va se traduire par la disparition quasi totale de toutes les espèces de moyenne taille : mammifères, oiseaux, et reptiles… L’homme ne peut, à terme, être exclu dans ce processus d’extinction globale.

La pollution des eaux et de l’atmosphère ne peut, à elle seule, expliquer cette hécatombe.

L’eau support universel de la Vie

Tout ce qui vit sur terre est constitué d’eau et possède la possibilité d’adaptation, d’apprentissage, moins de 16 % d’eau et c’est la mort biologique, jusqu’à 99,5 % c’est toujours la vie. Chez l’homme, l’eau représente en moyenne 63 % du poids du corps. On admet qu’à 100 molécules protéiques d’un poids moléculaire moyen sont associées quatre millions et demi de molécules d’eau. L’eau constitue le véritable support universel de la vie, elle en est son expression et sa substance.

Une technologie anti-vie

Nos technologies, en ce moment clef de notre évolution, utilisent des ondes électromagnétiques ayant une action sur les molécules d’eau. Or, si nous n’y prenons garde, la génération de micro-ondes pour différents usages sonnera le glas de toutes formes de vie basée sur la molécule d’eau. L’utilisation de la gamme de fréquences de résonance de la molécule d’eau entraîne dans tous les systèmes vivants lors de la méiose ou de la mitose, des difficultés ou des erreurs de réplications des structures d’ADN, d’ARN qui sont les bases de notre alphabet biologique et métabolique. Toute protéine a obligatoirement comme support de construction et de transport, des molécules d’eau. Or, la molécule d’eau, soumise à un rayonnement, absorbe l’énergie des ondes électromagnétiques si ces dernières ont une fréquence avoisinant celle des micro-ondes, à savoir 2,45 Giga hertz, cette absorption se traduit par une vibration de la molécule d’eau. Une onde est associée à un champ magnétique changeant de sens périodiquement. Une fréquence de 1 hertz signifie que le champ s’inverse une fois par seconde. Des micro-ondes à 2,45 Giga Hertz conduisent par polarisation de la molécule d’eau à une inversion du champ 2,45 milliards de fois par seconde. En clair, la molécule d’eau vibre 2,45 milliards de fois par seconde, c’est ce qui d’ordinaire permet la cuisson des aliments…

Or, si nous utilisons ces types de fréquence pour communiquer à distance comme c’est le cas depuis janvier 2005, nous perturbons tous les mécanismes métaboliques du vivant. Une eau vibrant à une telle fréquence ou même à des fréquences inférieures ne peut plus assembler harmonieusement le programme des différentes bases ou protéines. Il s’ensuit de graves erreurs de réplications des structures d’ADN et d’ARN soumettant l’ensemble du vivant à un stress rédhibitoire, voire mortel à terme. Il faut bien considérer que l’eau est l’équivalent d’un tisserand qui file et agence les trames de la vie, l’ADN. Supposez que l’on induise la maladie de Parkingson à ce tisserand en le soumettant à des champs magnétiques néfastes. Combien de chas d’aiguille va-t-il manquer pour chaque trame de vie et quel en sera le résultat ?

Vous pouvez faire l’expérience de mettre votre café à chauffer entre deux ordinateurs sans fil pour vous en convaincre.

La civilisation des cellules

Par ailleurs, il existe un phénomène fondamental de la vie appelé « la civilisation des cellules » décrit par les chercheurs russes Kaznatcheev et Trofimov. Il montre l’extraordinaire collaboration des cellules entre elles et leur manière de communiquer à distance sur des modes vibratoires d’une très faible intensité et dans des fréquences très faibles. Selon Alex Vicq, « un bon exemple de cette collaboration vibratoire est l’antenne parfaite que représente la double hélice de l’ADN. Grâce à sa forme et à son repliement sur elle-même, elle est toujours perpendiculaire aux ondes, d’où qu’elles proviennent. Si vous multipliez la longueur d’une molécule d’ADN (environ 2 mètres) par le nombre de cellules d’un seul corps humain, vous arrivez à des longueurs astronomiques. Cela signifie que les ondes auxquelles est sensible notre organisme s’étendent jusqu’à des milliards de km ». L’intrusion intempestive de fréquences électromagnétiques vient perturber grandement cette « civilisation des cellules ». La disparition massive d’espèces et l’évolution exponentielle des maladies dégénératives démontrent que tous les seuils de tolérance sont aujourd’hui largement dépassés.

Données scientifiques occultées

Hans Ulrich Hertel professeur de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne a effectué des expériences sur des cobayes humains nourris avec des aliments réchauffés au micro-ondes. Des changements significatifs ont été découverts dans le sang des volontaires ayant mangé des aliments cuits au four à micro-ondes. On a relevé une baisse notable en lymphocytes, une baisse de tous les indicateurs en hémoglobine notamment les valeurs et rations en cholestérol, ainsi que des modifications du sang qui semblent indiquer le stade initial d’un processus pathologique tel qu’il se présente lors du déclenchement d’un état cancéreux.

Le professeur Leif Salford, de l’hôpital universitaire de Lund, en Suède, a tiré la sonnette d’alarme en déclarant que les adolescents qui utilisent un mobile plus de 30 minutes par jour, risquent fort d’avoir une maladie d’Alzheimer à 30 ans. Il en a fait la démonstration clinique sur des rats.

La pollution électromagnétique modifie l’activité électrique du cerveau et notamment le rythme alpha (8-13 Hz). Il en résulte des troubles pour le développement intellectuel des enfants et des adolescents qui se soldent par une baisse significative de la vigilance, de la concentration, de la motivation et de la mémoire. On note également une diminution de la prolifération neuronale et une dérégulation hormonale aboutissant à un sentiment d’anxiété et à des comportements agressifs, voire violents. Ces troubles comportementaux trouvent leur origine dans la multiplication par 4 de la production d’hormone de stress ACTH par l’hypophyse, la perte de 80 % de la production de mélatonine et la multiplication par 2 de la production de calcium hypophysaire, ce qui a pour effet de fausser le rôle neuro-équilibrant du magnésium. L’augmentation importante de sécrétion de corticostérone, provoque des troubles du sommeil et des perturbations importantes du système nerveux.

Une étude en Allemagne a démontré qu’un champ magnétique de 1,2 micro Tesla inhibait l’action anti-cancer de la mélatonine. Or, l’Europe préconise un seuil de tolérance sanitaire de 100 micro Tesla, soit 83 fois plus que le seuil de tolérance mentionné dans l’expérience allemande.

Pas de normes universelles SAR

A cause d’impératifs techniques et économiques on ne parvient pas aujourd’hui à définir de normes universelles SAR (Specific Absorption Rate ou Taux d’Absorption Spécifique). Pourtant, force est de constater qu’en matière de bio-électromagnétisme ce sont les chercheurs russes qui ont le plus de recul. Les normes mondiales devraient donc s’aligner sur les recommandations des meilleurs chercheurs soit 0,02 micro Tesla. Les décideurs en Europe semblent être sourds à ces données scientifiques. Il va pourtant être vital de faire un choix entre impératifs économiques et impératifs sanitaires. Pouvons nous imaginer une seconde qu’une économie puisse être florissante avec toute une population atteinte d’Alzeimer et de maladies dégénératives ?

Sources : Jean-Pierre Lentin, Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent,
éditions Albin Michel 2004, Alex Vicq, Diet Infos, février 2005.