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Brandy Vaugham est une ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co. Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments. Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices.

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« Mon premier engagement dans l’industrie pharmaceutique comme représentante pour la firme Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité. Le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui en prenaient. J’ai commencé à réaliser qu’il y avait beaucoup de corruption dans les coulisses et que ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il pouvait être considéré comme sûr. Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l’ensemble du scandale ».

« Par la suite j’ai eu un fils. Au cours de la visite médicale, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin s’est mis en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité ».

« Plus j’approfondissais le sujet, plus je réalisais que les vaccins ne concernaient guère la santé publique. Il s’agit surtout des profits de l’industrie pharmaceutique. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c’est que les mêmes études rigoureuses de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments, ne se font généralement pas pour les vaccins. Ces derniers sont considérés comme une mesure de santé publique contrairement aux différents médicaments. Les études des vaccins durent en général peu de temps. Ce se sont pas des études en double aveugle avec véritable placebo comme c’est pourtant la règle d’or pour les médicaments. Pour les vaccins, on n’exige pas les mêmes études rigoureuses que pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme étant sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s’aperçoit que les études dites de sécurité ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. En fait, il existe pas mal d’études qui montrent que quantités d’additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est encore particulièrement immature ».

« Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Ces sommes sont considérables et doivent trouver de puissants leviers pour un retour sur investissement. Les vaccins obligatoires constituent le jackpot dont ces firmes ont besoin. »

« Il est clair pour moi que les vaccins sont une question de profit, avant d’être une question de santé publique. Je sais que de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes. Au cours de ces dernières années, elles ont perdu leurs brevets. C’est la raison pour laquelle ces compagnies cherchent à augmenter leurs profits… »

« Avant que nous ne disposions de plus d’information, il n’est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s’impose ! ».

En 1983, un jeune Américain recevait entre 0 et 18 ans 24 doses de vaccins en 7 injections. En 2016, un jeune Américain de 18 ans aura déjà reçu 70 doses de vaccins répartis en 50 injections…

Brandy Vaugham.
Source : Stopmandatoryvaccination
www.initiativecitoyenne.be