Officiellement, Charlemagne christianisa des peuples barbares en leur apportant la civilisation. Cependant, l’histoire officielle ne relate jamais les connaissances médicales, alchimiques, astronomiques, mathématiques, métallurgiques et architecturales païennes qui donnèrent lieu, après la chute de Charlemagne, à la construction des cathédrales par ces mêmes barbares venus du Nord de l’Europe. Ce mini âge d’or du Moyen Age surviendra précisément après le recul de la Chrétienté en Europe suite aux croisades Viking.
La vraie question est donc : « Quels étaient les plus civilisés ? » Sous l’impulsion chrétienne, toutes les sciences druido-odiniques étaient, par définition, démoniaques. Les runes, les langues nordiques et gauloises, les sciences médicales et spirituelles non chrétiennes, véritables émanations du diable selon la « chrétienté conquérante », devaient être éternellement annihilées. Charlemagne sera le bras armé de cette destruction programmée.

Ordres noirs et Païens
La Gaule, bien avant l’Empire Romain, était un centre privilégié de maternités sacrées pilotées par des ordres sacerdotaux féminins. Les enfants sacrés issus de ces maternités étaient destinés à prendre de hautes responsabilités pour guider et élever spirituellement les tribus. Cette tradition s’est étendue à toute l’Eurasie.
A l’inverse, il existait de rares communautés patriarcales très secrètes prenant le contre-pied de cette tradition évolutive. Elles formèrent des maternités infernales gérées par des mages ou druides noirs, pratiquant la programmation des enfants par la torture, le viol, l’anthropophagie rituelle et les sacrifices humains. Ces ordres noirs ont toujours cherché à prendre le pouvoir en renversant les ordres sacerdotaux évolutifs traditionnels. On peut affirmer que la programmation mentale MK Ultra par torture psycho-physique remonte à cette noblesse noire qui ne cessa de changer de nom depuis la plus haute Antiquité. Aujourd’hui nous les nommons Molochistes, entre autres noms.
Les druides blancs et les Païens, en général, avaient pleine conscience de leur existence et leur faisaient une chasse implacable. Les vampires et ogres des contes et légendes témoignent de l’existence de ces destructeurs de civilisations.
Une histoire en trompe l’œil
Il est trivial de dire que la Chrétienté fut civilisatrice en combattant des barbares buveurs de sang humain. La « Guerre des Gaules », écrite par César, est aussi, à cet égard, une propagande qui justifia les pires atrocités romaines pour acquérir les 4000 mines d’or gauloises exploitées à l’époque. Si des ordres noirs cherchèrent constamment à infiltrer le Druidisme et l’Odinisme, il est évident qu’ils infiltrèrent le pouvoir romain et ce que l’on nommera plus tard la Chrétienté. Le Capitulaire de Charlemagne après sa victoire sur les Saxons (772-804) nous donne des indications significatives à ce propos. Il fut écrit en latin par des moines de la papauté qui encadraient et dictaient à l’Empereur la démarche à suivre pour opérer une « unification religieuse ».
Charlemagne qui ne savait ni lire ni écrire fut à l’évidence programmé dès son enfance par un clergé terrible. Couronné Empereur par le Pape Léon III en personne, il sera le bras armé d’une papauté terrible, dénué de compassion et d’empathie à tout égard.
Le Mage au cilice
Charlemagne (Charles le Mage…) porta le cilice toute sa vie et fut enterré avec. Le cilice est un vêtement mortifiant la chair, générant un inconfort et une souffrance permanente. Cet ascétisme génère une forme pensée associée au sang et à la douleur. Cette forme pensée se renforce au fil du temps, appelant toujours plus de souffrance et de sang. Elle permet aussi de développer des charismes ou dons pour mieux mettre sous suggestion les fidèles. A la mort du « pénitent », elle demeure rattachée au corps. Telle une âme damnée avide de sang associée au cadavre, elle peut alors vampiriser l’énergie vitale des vivants. C’est en ces termes que la tradition druido-odinique définit la réalité des vampires. Pour les détruire, elle déterrait le corps, le décapitait et brûlait l’ensemble.
Le prix de la défaite
Après sa victoire en Saxe, Charlemagne déporta 200 000 Saxons dans les immenses forêts du Saosnois, du Perche et du Thymerais, à l’ouest de Chartres. L’équivalent de camps de concentrations fut établi pour séparer les Saxons de la population chrétienne. Le clergé fit sceller un collier de fer autour de leur cou. Réduits en esclavage, ils devaient défricher les forêts. Les représentants des pouvoirs politiques et religieux avaient un droit de cuissage sur toutes les femmes saxonnes. Les enfants mâles étaient envoyés dans des monastères pour y être christianisés ainsi que les enfants filles dans des couvents. La conversion forcée des enfants saxons déportés relevait d’une programmation mentale type MK Ultra pour ceux qui survécurent à ces traitements.
Les Païens druido-odinistes avaient perdu la guerre de religion contre le Judéo-Christianisme et ils devaient en payer le prix fort, le capitulaire en témoigne. Le clergé judéo-chrétien fit son possible pour effacer ce peuple de l’histoire, ethniquement et religieusement. Notons que l’invasion viking de 857, véritable croisade druido-odinique, libéra tous les Saxons maintenus en esclavage dans le pays chartrain et au-delà.

Le capitulaire de 785 décrété par Charlemagne contre les Saxons
Rédigé en latin, le Capitulatio de partibus Saxoniae est aussi appelé « Capitulaires saxons » ou « Capitulaire de Paderborn ». L’application de la peine de mort pour la plupart des articles est faite au nom du Dieu chrétien. Cela constitue un sacrifice humain en faveur du Christ ou de Dieu avec les formules « Il a plu au Christ » ou « Il a plu à Dieu ». Les sacrifices humains fallacieusement reprochés aux Païens, étaient donc pratiqués par ceux-là même qui les en accusaient, sans même qu’ils ne s’aperçoivent de cet aveu… Voyons maintenant quelques articles de ce capitulaire traduit du latin. Il s’agit d’un texte juridique rédigé avec des doubles sens et des sous-entendus. Les savants latinistes savaient dissimuler au vulgaire le sens qu’ils voulaient cacher.