Extraits choisis de Morphéus n°132 novembre 2025

A la recherche d’Agartha en Antarctique

Les informations reçues de Blumkin en 1929 et des lamas tibétains sur Agartha, à savoir l’existence de la cavité interne de la Terre et la possibilité d’y pénétrer, furent prises au sérieux par les chercheurs et politiciens allemands. Ils décidèrent de les mettre en pratique, contrairement aux dirigeants du gouvernement et du parti soviétiques.
Le domaine d’activité le plus important de l’Ahnenerbe devint, comme nous l’avons déjà appris, les recherches sur Agartha. Environ sept mille personnes de renom participèrent à ce domaine de recherche, important pour les nazis : archéologues, anthropologues, biologistes, généticiens, historiens, etc. Une recherche spécifique des expéditions nazies au Tibet concernait l’étude du bouddhisme tantrique et du Dus’khor Kalachakra : un enseignement qui comprenait des connaissances secrètes sur les étoiles, le Soleil, les rythmes cosmiques, les capacités méconnues du corps et de la psyché de l’homme, ainsi que – et c’est extrêmement important – sur les méthodes d’influence psychologique et autre, sur de larges masses humaines et la science de leur gestion. Il ne s’agissait pas de la théorie de la « psychologie des foules », développée bien plus tard en Occident, mais spécifiquement de méthodes de gestion de masses humaines à l’échelle d’Etats entiers. Il faut rappeler que Staline disposait aussi de telles informations suite aux expéditions russes au Tibet.
En 1934, le voyageur allemand Theodor Illion, médecin allemand d’origine canadienne, maîtrisant la langue tibétaine et désireux d’approfondir ses connaissances en médecine tibétaine, se rendit au Tibet. Déguisé en moine errant, Illion parcourut longuement le Tibet et, de retour en Allemagne, publia ses observations dans la maison d’édition occulte « Uranus ». Il s’agissait du livre « Mysterious Tibet ». Selon une version, ce sont les descriptions contenues dans cet ouvrage qui auraient donné lieu aux expéditions ultérieures de la société Ahnenerbe.
Plusieurs expéditions furent envoyées au Tibet, et celle de mai 1938, dirigée par Ernst Schaefer, avait déjà remporté un immense succès. Les dirigeants allemands entamèrent alors une coopération très étroite avec les dirigeants tibétains.
En 1938, l’Allemagne envoya le navire de recherche « Souabe » sur les côtes de l’Antarctique. À son bord, deux avions décollaient à l’aide d’une catapulte à vapeur. Les pilotes de ces appareils survolèrent l’immense territoire de l’Antarctique, au-dessus de la Terre de la Reine-Maud, larguant régulièrement des fanions spécialement conçus, arborant les emblèmes de l’Allemagne. Ils délimitèrent ainsi un immense territoire de 360 000 kilomètres carrés, qu’ils déclarèrent allemand et baptisèrent Nouvelle Souabe (Neue Schwabe).
C’est probablement à cette époque que l’Allemagne reçut du Tibet des cartes permettant de faire naviguer des sous-marins sous la glace de l’Antarctique, jusqu’à l’intérieur de notre planète.

Cartes sous-marines allemandes d’accès à Agartha

Les informations disponibles suggèrent que l’expédition de 1938 a été menée à l’aide de cartes obtenues par des chercheurs allemands au Tibet. Ces cartes ont ensuite été saisies par les agents du contre-espionnage soviétique « SMERSH ». Comme on l’a découvert plus tard, grâce à ces études, des spécialistes de l’Ahnenerbe, en collaboration avec les forces navales allemandes, ont pénétré dans la cavité terrestre cachée sous la glace de l’Antarctique. Jusqu’en 1944, le gouvernement allemand a établi des bases navales et construit une ville appelée « Nouveau Berlin ». Il fonda un État appelé « Nouvelle Souabe » . Voici quelques documents « top secret » de l’Ahnenerbe découverts par les Soviétiques en 1945, conservés et publiés par le général Léonid Ivashov.

Ahnenerbe Top Secret :

Instructions pour traverser les espaces et les couloirs pour entrer dans Agartha.
Plongée au point avec coordonnées : intersection exacte de 68 degrés de latitude sud et 1 degré de longitude et jusqu’à une profondeur de 400 mètres.
Suivez strictement les instructions.
Immersion. Depuis le point de plongée, à faible vitesse, avec un gîte de 16 degrés à droite et une assiette à l’avant. L’angle d’inclinaison est de 5 degrés. Le fond marin spécifié est de 500 mètres.
Remontée. Leste avec assiette arrière, angle de remontée de 23 degrés. Vers la droite à 22 degrés, 190 mètres de hauteur. Distance : 75,5 milles nautiques.
Manœuvre complexe : plongée. Orientation par l’étrave, angle d’inclinaison de 15 degrés jusqu’à une profondeur de 240 mètres, distance de 60 milles nautiques, puis, avec une inclinaison à gauche de 20 degrés, poursuite de la plongée jusqu’à 310 mètres pour entrer dans le couloir…
Arrivée en surface par l’arrière, angle de remontée de 45 degrés avant l’arrivée à la grotte d’Agartha. Distance : 70 milles nautiques. Puis en avant toute.
Les instructions du paquet n°3 doivent être ouvertes uniquement à l’entrée d’Agartha.
Attention ! En empruntant le sentier à la surface de la grotte, des objets aériens et sous-marins peuvent apparaître. Il est interdit de tirer sur ces objets.
La durée estimée du voyage est de 8 jours.
À votre retour d’expédition, remettez la carte au service secret. En cas de danger, détruisez-la !
Ce document a été imprimé dans un laboratoire spécial du camp de concentration de Dachau avec le cachet et la signature du capitaine de vaisseau Kohlmeier. Des notes manuscrites supplémentaires figurent dans les marges et au bas de la carte. Un schéma des mouvements du bâtiment était joint à la carte et aux instructions.
Commentaire du général Leonid Ivashov sur ces incroyables cartes de navigation
« Les cartes allemandes contiennent également des instructions très difficiles à comprendre pour une personne normale : « Avancez en surface le long de la grotte avec un gîte de 8 degrés vers la droite, distance de 286 milles nautiques ». Où sur la planète existe-t-il une grotte de 286 milles nautiques de long (527 km) ? Mais ce n’est pas tout. Après avoir parcouru 286 milles nautiques en surface, voici ce qui suit : « Manœuvre difficile ! Plongez, étrave angle d’inclinaison de 13 degrés, jusqu’à une profondeur de 240 mètres, distance de 60 milles nautiques ». Puis, 70 milles supplémentaires, plus 43, plus encore 70. Puis, refaites surface vers Agartha. Puis, « Pleine vitesse. Avancez tout droit jusqu’à ce que l’aube soit visible. Changement de pôles magnétiques ». « Ne tenez pas compte du mouvement des aiguilles de la boussole et des instruments ». Au bas de la carte, une note indique : « Attention ! En passant par la section 1, ne prêtez pas attention aux bruits et signaux parasites (croassements). » Et encore,  « Lorsque vous empruntez le sentier à la surface de la grotte, des objets aériens et sous-marins peuvent apparaître. Il est interdit de tirer sur ces objets. » L’entrée d’Agartha est tracée en rouge sur la carte. Réfléchissons à nouveau à cette « étrange » information. Qui et avec quels moyens a tracé ces routes vers le « Berceau de l’Humanité », qui a calculé ces profondeurs, gîtes, assiettes ? » Tout cela pour un trajet durant huit jours, sur une distance de 1500 miles nautiques ! » (soit 2778 km).

Note de la rédaction

Nous avons été choqués de découvrir de telles cartes. Procéder à un tel périple de 2778 km, était-ce possible à l’époque ?
Procéder à de telles manœuvres avec une plongée à 400 mètres de profondeur était impossible pour tous les sous-marins de guerre allemands dont la profondeur d’écrasement maximale oscillait entre 100 et 300 mètres. Il y eut cependant une exception, le U-Boat de type VII-C/42, renforcé avec une coque d’acier de 28 mm ou plus, qui permettait d’atteindre une profondeur limite d’écrasement de 400 mètres officiellement. C’est l’équivalent des performances de nos sous-marins nucléaires actuels dotés d’une coque d’acier de 40 à 50 mm. Le nombre produit de cette classe de sous-marins type VII-C/42 est inconnue, le nombre détruit lors des combats est de zéro. Par ailleurs, aucun de ces sous-marins, à coque renforcée, ne s’est rendu après la Seconde Guerre mondiale.
Le rayon d’action de ce bâtiment en surface était de 23300 km sans ravitaillement, il pouvait donc partir d’Allemagne et directement filer vers l’Antarctique sans escale, en échappant aux radars. Il reste une inconnue. Combien de km pouvait-il parcourir sous la mer sans refaire surface ? S’appuyant sur les autres types de sous-marins, on affirme qu’il ne pouvait parcourir que 150 km en plongée. S’il fut spécialement équipé, non pour l’attaque, mais pour de profondes plongées de longue durée, on peut émettre l’hypothèse qu’il pouvait demeurer en plongée sur de bien plus longues distances, avoisinant les 1500 km ou plus. Une telle performance était à la portée des chimistes allemands qui savaient  fixer le dioxyde de carbone et fabriquer de l’oxygène afin de renouveler l’air artificiellement dans le sous-marin.
Sur les cartes, la distance à parcourir sous l’Antarctique est de 1500 miles nautiques soit 2778 kilomètres. La durée du parcours est de 8 jours cela représente une vitesse moyenne de 14km/h, ce qui correspond à la vitesse en plongée de ce type de U-Boat. C’est donc cohérent. Par ailleurs, à mi-parcours, il faisait surface sur plus de 500 km, pouvant alors voguer à 33 km/h. Il ne parcourait donc jamais plus de 1500 km sous l’eau pour ce périple. Une telle prouesse technique à l’époque est plausible. (F.M.)

350 U-Boat spéciaux

Le général Ivashov continue : « Mais les sous-mariniers allemands furent à la hauteur de la tâche. Ils surmontèrent toutes ces difficultés. Et l’Allemagne, pour la première fois au monde, créa des sous-marins spéciaux pour transporter des marchandises et des personnes dans les entrailles de la Terre. Ces convois secrets furent baptisés « convois du Führer ». Pas moins de cent cinquante de ces sous-marins furent construits. En 1944, leur nombre passa à trois cent cinquante. Ils transportèrent une quantité considérable de matériel et de personnel vers Agartha pour construire des bases allemandes et une ville appelée Nouveau Berlin ».
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