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L’ancienne directrice de DARPA, Regina Dugan, a discuté de l’intelligence artificielle avec les pouvoirs mondiaux de l’ombre lors de la dernière réunion Bilderberg. L’ex-directrice de DARPA est désormais l’une des directrice de Google. Dans le cadre de ses anciennes attributions elle a aidé à développer et à promouvoir l’idée d’une puce RFID qui peut être avalée. Mais nous savons également de source sûre qu’elle participa à des expérimentations visant à moduler et à contrôler un cerveau humain à distance.

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L’un des sujets de discussion fut « l’intelligence artificielle ». Le P-DG de Google, Eric Schmidt, et Demis Hassabis, vice-président de Google DeepMind, participèrent aussi à la conférence avec les détenteurs des pouvoirs élitistes financiers, politiques et académiques.

Dugan a raconté au public de la conférence All Things en 2013 que la compagnie travaillait sur une micro-puce à l’intérieur d’une pilule que les utilisateurs pourraient avaler quotidiennement afin que leurs corps obtiennent le « super-pouvoir » d’identification pour utiliser les téléphones, voitures, portes et autres appareils.

« Cette pilule possède une petite puce électronique en elle avec un interrupteur, » a dit Dugan. « Elle est également dotée d’une batterie minuscule qui, lorsque vous l’avalez, est activée par les acides contenus dans l’estomac qui servent d’électrolyte et qui la font fonctionner. Cette puce émet un large signal ECG de 18 bits dans votre corps qui devient tout entier un support d’authentification ». Dugan a signalé que la puce avait déjà été approuvée par la U.S. Food and Drug Administration (FDA)

En tant qu’ancienne directrice du Darpa, Dugan est perçue comme une dirigeante malveillante qui pousse le monde vers une société de surveillance Big Brother. Elle sème l’inquiétude parmi les défenseurs de la vie privée.

Que quelqu’un m’explique pourquoi Google a prévu d’embaucher des dirigeants militaires ? » s’est demandé Adam Clark Estes du Wire, en notant les « liens très serrés que Google entretient avec les leaders militaires ».

La DARPA a aussi développé des puces cérébrales qui peuvent être implantées pour supprimer des souvenirs spécifiques chez un sujet, annonçant le début d’un « âge d’or » où les esprits pourront être manipulés pour mieux fonctionner.

Le PDG de Tesla, Elon Musk, a provoqué la confusion le mois dernier quand il a exprimé sa crainte que le co-fondateur de Google, Larry Page, sera responsable de la création d’une technologie artificielle qui pourrait porter atteinte à l’humanité tout entière. « Cela m’inquiète vraiment beaucoup », a dit Musk dans sa biographie publiée récemment, en faisant remarquer, « qu’il pourrait produire quelque chose de maléfique par accident » via le moteur de recherche Google actuellement en position de quasi monopole.

Au cœur des débats mondialistes

La pseudo élite mondiale se réunit pour évoquer les avancées relatives à son plan de « paix mondiale » d’un Nouvel Ordre. Cette « paix mondiale » sous-tend l’idéologie selon laquelle le cerveau des masses doit être sous contrôle pour y parvenir. Il s’agit d’ouvrir une nouvelle ère à ce qu’il serait convenu d’appeler « la neuro-politique », le Mind Control étant appliqué à l’humanité. Cela doit se faire en laissant l’illusion de liberté, l’illusion de libre choix avec une oblitération de toute sphère privée.

Les mondialistes nous proposent donc une « paix mondiale » à électro-encéphalogramme plat pour 99 % des habitants de cette planète. Si nous gardons à l’esprit que l’harmonie se fait sans contrôle, nous avons alors une petite idée de l’inextricable chaos incontrôlable que ce plan pourrait générer. Il sera fort heureusement inapplicable dans bien des domaines, l’être humain n’étant pas qu’un simple terminal ou serveur que l’on peut hacker et contrôler à distance. Il n’en demeure pas moins que ce plan étant largement éventé, il est urgent de penser à une alternative mondialiste authentique, digne et humaine.

Source : Infowars, juin 2015