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Nous disposons en France du Commandement de la défense aérienne qui a une mission d’observation. Nous disposons également du Commandement des forces aériennes, réparti en quatre brigades chargées de la dissuasion, la protection, la prévention et la projection : brigade aérienne de l’aviation de chasse, brigade aérienne d’appui et de projection, brigade aérienne de contrôle de l’espace, brigade aérienne des forces de sécurité et d’intervention. L’armée de l’air emploie 44 600 militaires à la charge des contribuables français. Est-ce trop demander au chef des armées, que d’user de notre force aérienne afin de stopper tout épandage nocif sur notre territoire ?

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Edward Snowden, le hacker qui a accédé à tous les recoins secrets d’internet affirme que les chemtrails font partie d’un programme dit de « bienfaisance » destiné à lutter contre le réchauffement climatique (si ce dernier existe vraiment).

En coopérant en secret avec les fabricants de kérosène, les agents du gouvernement ont soigneusement caché une partie des efforts des épandages aériens massifs. Snowden ajoute : « Je parle de ce programme qui dure depuis des décennies parce qu’on ne l’aborde pas dans la communauté scientifique, il n’y a pas de débat public, et peu d’intérêt pour les effets secondaires. »

Ce programme secret a été incroyablement facile à cacher, surtout avec la collaboration des entreprises fabriquant le kérosène, un élément essentiel du complexe – militaro-industriel.

Snowden a déclaré : « Les produits chimiques libérés par les avions de ligne ont été introduits comme additifs, soi-disant pour améliorer l’efficacité du kérosène. C’est seulement quand l’avion atteint sa vitesse de croisière que la pression de la chaleur et de l’atmosphère provoque une réaction chimique qui synthétise la molécule top secrète « dite » piégeuse de carbone. Ce processus est imparfait, et la plupart des sous-produits sont incroyablement dangereux. »

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Parce que le changement climatique est une menace pour l’agriculture des États-Unis, il est étiqueté comme un problème de sécurité nationale. Sous l’influence et avec la coopération de Monsanto, un laboratoire secret de géo-ingénierie baptisé Muad’Dib a été exploité depuis la fin des années 1960, et le programme chemtrails est souvent désigné par les initiés comme son « joyau de la couronne ». Muad’Dib a pour but de protéger le climat de l’Amérique du Nord à tout prix – même si cela accélère la désertification de l’Afrique subsaharienne ou propage des traces de substances cancérigènes un peu partout dans le monde…

Depuis avril 2013, l’ensemble du Parlement européen a été dûment informé du problème des chemtrails, par l’initiative du laboratoire politique Alternativa. Tous les responsables politiques français, y compris le chef des Armées sont informés du viol répété de notre espace aérien par des avions circulant dans des couloirs militaires et épandant des microparticules chimiques. La protection sanitaire et la sûreté du territoire sont bafouées au vu et au su de tous encore aujourd’hui. Il est de bon ton de rappeler le travail et la pétition réalisés par l’ACSEIPICA pour faire cesser ces épandages nocifs au dessus de nos têtes.

Pétition ACSEIPICA

L’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA) adresse cette pétition à tous les membres du Peuple Français et aux responsables politiques du pays, afin de nous informer mutuellement et de nous mobiliser contre les épandages aériens de substances chimiques en cours, lesquels se déroulent au dessus de nos têtes, silencieusement, depuis une dizaine d’années en Europe et partout dans le monde aujourd’hui. On les nomme populairement « chemtrails » de l’anglais « chemical trails », ce qui signifie : trainées d’avions chimiques (issues d’épandages aériens d’aérosols délibérés).

C’est ainsi, que de nouveaux nuages sont apparus dans les nouvelles nomenclatures de nuages.

Rappelons qu’en 1977, la convention ENMOD (Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles), a limité les manipulations délibérées de l’atmosphère en cas de guerre ou de conflit et les a autorisées dans un but « pacifique ».

Le terme « techniques de modification de l’environnement » désigne toute technique ayant pour objet de modifier — grâce à une manipulation délibérée de processus naturels — la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l’espace
extra-atmosphérique.

Ainsi, une série d’applications futuristes, étudiées publiquement par la Royal Society de Londres et suivies de près par l’ETC Group, visant à bloquer un pourcentage du rayonnement solaire par des interventions à grande échelle dans l’atmosphère, la stratosphère et l’espace extra-atmosphérique, sont déjà en vigueur et auraient pour effet de modifier les températures de la planète et la configuration des précipitations.

Le 29 octobre 2010, à Nagoya, Japon, lors de la Conférence des 193 parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (CDB), un moratoire a été demandé sur les projets et les expériences en géo-ingénierie par Tuvalu, les Philippines, le Costa Rica, le Groupe africain, la Suisse, le groupe ALBA, la Grenade, Greenpeace, Climate Alliance et ETC Group. Ce moratoire s’insère dans un des trois chapitres de cette convention que les parties ont été tenues de signer le 1er février 2012.

Ainsi, « toute expérimentation, privée ou publique, ou tout aventurisme visant à manipuler le thermostat planétaire constitue une violation de ce consensus soigneusement élaboré dans le contexte des Nations unies ».

Mais qu’en est-il dans les faits ?

Il ne faudrait pas que ce moratoire reste lettre morte et que derrière cette belle et sage volonté, les épandages déjà et toujours en cours soient occultés.

Des épandages de jour, des épandages de nuit… Allons nous laisser, sans rien dire, des avions épandre délibérément dans l’atmosphère, des particules de produits chimiques divers, alors que cela a un impact notable sur le climat, les sols, l’eau, l’air et la santé de tous les êtres vivants ?

Nous sommes tous concernés, sans aucune exception !

Diverses études et analyses et en particulier le rapport Case Orange du 29 mai 2010, réalisé par des professionnels de l’aéronautique ont révélé que les « chemtrails » se distinguent nettement de ce qu’on appelle les « contrails » : les contrails sont les traces de condensation laissées par les avions circulant à haute altitude et s’évaporant rapidement ; les avions civils sont tenus de voler au-dessus de 8 000 mètres.

Or, les chemtrails (traînées chimiques) sont émis par des avions circulant bien plus bas, dans les couloirs militaires ; leur nombre est bien supérieur à celui des appareils civils censés circuler et leur fréquence très aléatoire.

Les traînées blanches, épaisses, visibles à leurs tuyères forment fréquemment un véritable quadrillage dans le ciel, puis s’effilochent en nuages fibreux. Quand le ciel est dégagé, il devient laiteux, nimbé d’un voile artificiel, persistant et blanchâtre.

Lorsqu’il y a des nuages, ceux issus de ces traînées s’y mêlent et produisent, en quelques heures, des sortes de tubulures gris-violet, plus ou moins foncées, voire noires, en longues strates parallèles à l’horizon.

L’effet de ces épandages sur la météorologie locale est directement observable. Par beau temps, le bleu profond du ciel est de plus en plus rare, et l’on perçoit que l’atmosphère est subitement plus chaude, plus lourde, et plus éblouissante.

Par ciel couvert, on distingue, dans les lieux peu bruyants, le ronron de ces avions au-dessus de la couche nuageuse, ce qui trahit leur relativement faible altitude.

Quand le baromètre remonte, les brouillards persistent de plus en plus longtemps.

Ainsi, la chaleur est augmentée par beau temps et diminuée par mauvais temps. C’est ce que nous, membres de l’ACSEIPICA, de toutes les régions de France observons et constatons depuis 2002.

De plus, l’accroissement notable des maladies respiratoires, digestives, neuro-dégénérescentes et des cancers liés à l’environnement, nous interpelle fortement quant aux effets sur la santé de ces cargaisons de nanoparticules chimiques épandues quasi quotidiennement au-dessus de nos têtes.

Des études détaillées ont été réalisées à ce sujet. Il n’est pas concevable d’occulter plus longtemps cette réalité qui est la nôtre aujourd’hui, ni le fait qu’elle relève de cette nouvelle science nommée « géo-ingénierie », laquelle vient de faire l’objet d’un moratorium à l’ONU.

Nous, Citoyens, exigeons de savoir qui décide de ces programmes d’épandages de microparticules chimiques qui modifient le ciel, le climat, l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, sans parler de l’atteinte à la biodiversité dans son ensemble, la faune, la flore et de la chaîne alimentaire complète impactée par ces épandages sur notre propre sol et par delà les frontières.

Nous, Citoyens, exigeons également des comptes sur le financement de ces opérations.
Nous demandons que nos responsables gouvernementaux abordent la question de manière responsable.
Nous demandons expressément que ces épandages cessent.

Pour faire valoir et servir ce que de droit.

Sources : ACSEIPICA – Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques. Leymarie 12300 LIVINHAC. Crée le 18 octobre 2008
http://acseipica.blogspot.com et www.acseipica.fr
http://blogs.mediapart.fr, Snowden révélations à propos des chemtrails, 28 sept 2013
Morphéus n° 60 Novembre 2013