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Une fois le cadre théorique planté, il nous faut tenter de savoir par quelle technologie il nous est possible de modifier localement la couche relais et générer une contre pression gravitaire anticosmique. Nul besoin de cinq centrales nucléaires ; les choses sont beaucoup plus simples en réalité. Quand vous marchez, vous créez sans le savoir une légère modification de la couche relais. Si maintenant vous faites marcher un bataillon de soldats au pas cadencé, sur un pont, le jeu de contre pression va se faire ressentir, mettant à rude épreuve la structure même du pont. Ce phénomène étant connu, aucun bataillon dans le monde ne marche au pas sur un pont.

Henry Bull

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Sans cadre théorique et par pure intuition, Henry Bull eut l’idée de tester un système mécanique qui s’avéra léviter verticalement. Son procédé n’est compréhensible que dans le cadre théorique présenté ici. La physique classique et mono-cosmique ne peut en effet rendre compte d’un tel phénomène. Elle a donc évacué ces expériences de 1935, les considérant comme des élucubrations d’individus ne connaissant rien aux sciences.

Henry Bull a construit des cylindres mécaniques, qui envoient une masse de même poids vers le haut et vers le bas. La masse du haut est cependant projetée contre un ressort, alors que la masse du bas est projetée contre une surface plate. Or, un ressort transmet 3 fois mieux l’énergie qu’une surface plate, d’où l’impulsion inertielle verticale qui en résulte (voir schéma). Il s’agit de reproduire ici le pas cadencé sur un pont, en l’amplifiant et en l’orientant avec un système astucieux…

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Henry Wallace

Faisant appel aux mêmes principes, Henry Wallace présenta des systèmes plus élaborés pour l’armée, durant la seconde guerre mondiale. Ses brevets n°US03626605, US03626606 et US03823570, sont consultables sur notre CD-Rom Engins Cosmiques et Antigravité, Morphéus 2008.

Le Gyroscope

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C’est un appareil qui fournit une direction invariable de référence. Or, si cette direction est précisément contraire à la gravité terrestre, vous l’avez compris, on dispose d’un instrument utilisable pour la sustentation. Cette effet gravito-gyroscopique a été compris par de très nombreux chercheurs et a donné lieu au dépôt d’un assez grand nombre de brevets (CD-Rom Engins Cosmiques et Antigravité, Morphéus 2008). Nous pouvons citer Otis Carr, Eric Laithwaite, Harold Aspden, Leonard Francis Holihan, David Raymond Morgan, Siritky Alain, Geoffrey Collin Russell, William Dawson, Delroy, etc.

Otis Carr a cependant finalisé une technologie d’engin cosmique dès 1958, ce qui en fait un précurseur dans ce domaine, (voir ci-dessus).

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Eric Laithwaite ne présentera des travaux sur l’effet gyroscopique, à l’Institut Royal de Londres, qu’en 1974.

Vortex à vapeur de mercure

Une opinion relevant plus de la psychologie que d’une approche scientifique, affirme que l’antigravité de Hanebau, ou engins du IIIe Reich, n’est que de la pure propagande nazie. L’étude de brevets et l’exposé ici présenté, semblent pourtant infirmer cette position.

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Pourquoi les allemands auraient-ils utilisé des vortex à vapeur de mercure confinés dans des champs électromagnétiques ? Il est vraisemblable que les atomes de mercure, modulés par de puissants champs, se comportent alors comme des nanogyroscopes et impulsent une force inertielle comme tout gyroscope. Pour changer de direction, il suffit alors de modifier le vortex de mercure, afin d’orienter l’axe d’impulsion inertielle. Or, un Hanebau comporte bien trois puissants électro-aimants à sa base, pilotés par un système électromécanique complexe qui était nommé tachyonator. Si notre analyse est juste, nous sommes alors en face d’une technologie qui apparaît parfaitement cohérente. Si cette technologie relevait d’une propagande, nul doute que les plans et engins présentés auraient été fantaisistes et faussement scientifiques…

Frédéric Morin