Dans la chapelle du Saint-Esprit à Saint-Sernin, on peut voir une mosaïque où est représenté le monogramme de Saint-Thomas d’Aquin. C’est un Tau entouré par un serpent. Le monogramme se lit donc T-S, soit phonétiquement theos (dieu).  Il représente le marteau de Thor sur lequel s’enroule le serpent Nídhögg.

  L’alchimiste Saint-Thomas d’Aquin (1224-1274) était donc un initié odiniste qui a rencontré le roi de France de l’époque, le godi Saint-Louis (1214-1270).

Saint-Thomas d’Aquin étudia à la Sorbonne de Paris. Au XIIIème siècle, l’université parisienne portait le nom islandais svartiskóli (l’école noire) par opposition à l’école blanche de Chartres. Elle a été fondée par le chapelain de Saint-Louis, Robert de Sorbon et son aumônier, Guillaume de Chartres. La Sorbonne était l’université médiévale où l’on enseignait la magie druido-odinique.

Cette information est révélée par le conte islandais svartiskóli publié par les scandinavistes Ásdis-R. MAGNÚSDÓTTIR et Jean RENAUD. On y lit que l’université se trouvait dans une crypte souterraine : « cette école … se trouvait dans une maison souterraine… il y faisait toujours noir ».

Les étudiants étaient directement enseignés par des émanations magiques : « Il n’y avait pas de professeur et on apprenait tout dans des livres écrits en lettres rouges comme le feu ». Ces écritures brillaient dans l’obscurité. Il se pourrait bien que Saint-Thomas d’Aquin ait eu accès à plusieurs courants de l’ancienne tradition et qu’il dût ensuite choisir entre la lumière et les ténèbres. Les saintetés de Thomas d’Aquin et Saint Louis n’étaient pas semblables, en fonction des choix effectués par chacun…

 

Ces révélations en disent très long sur la manière de pratiquer le pouvoir depuis la nuit des temps. L’école blanche servait à nettoyer et soutenir le pouvoir en place contre l’occultisme d’ennemis potentiels. L’école noire visait à détruire les ennemis potentiel du pouvoir.

Tout cela pourrait paraître relever d’une superstition ténébreuse sans fondement. Cependant au vu des connaissances de l’ancienne tradition sur les potentiels interférométriques et scalaires du cerveau humain, il est vraisemblable que nous ayons affaire à d’authentiques sciences occultes remontant à la nuit des temps. Or, ces savoirs peuvent être retranscrits scientifiquement aujourd’hui.

La mécanique quantique expose la possibilité de chuinter le temps et l’espace. Les porteuses électromagnétiques permettent de soigner ou de rendre malade à distance. Enfin les ondes et armes scalaires permettent d’altérer les champs éthériques d’un individu, son psychisme, sa mémoire et ses paramètres physiologiques par tout une gamme d’infestations manifestées ou non dans notre espace tridimensionnel…

 

Hugo Franco

Morphéus n°87 mai / juin 2018