Une analyse objective permet vite de comprendre que le transhumanisme n’est qu’une escroquerie intellectuelle qui mène au fascisme numérique. C’est l’avènement d’une ère où une caste de milliardaires gouvernera les citoyens transhumanisés comme des esclaves numériques.

L’escroquerie des promoteurs du transhumanisme

La meilleure preuve de l’arnaque transhumaniste est probablement qu’aucun transhumaniste n’utilise les dangereux implants cérébraux et les innovations technologiques qu’ils promeuvent. Dans les conférences publiques, ils n’effectuent jamais d’expérience sur eux-mêmes avec des implants. Ils n’entendent pas s’appliquer à eux-mêmes ce qu’ils prônent pour les autres. Par contre, ils recherchent activement des cobayes. Leur discours viendrait d’approches théoriques et prédictives comme l’affirme Michio Kaku : « Je fais toutes ces prédictions sur la base de ce que je vois réellement en laboratoire ».

De fait, les promoteurs du transhumanisme comme Michio Kaku, José Luis Cordeiro, Elon Musk et Kevin Warmick n’utilisent pas les implants cérébraux risqués qu’ils promeuvent. Ils ne « téléchargent pas leur esprit » avec le cyber réseau cérébral, comme ils le recommandent, même si cette technologie existe déjà. (Nota : il serait bon de demander aux promoteurs français du transhumanisme de s’implanter eux-mêmes et de faire des démonstrations publiques).

Interface homme/machine : un mystère

Rob Neil, le directeur de l’Université de la Singularité, financée par Google, affirme : « Si vous voulez être à l’avant-garde à l’avenir, vous devrez introduire des améliorations (biologiques) ».

Cependant, il ne mentionne pas comment il développe ses innovations biologiques « d’avant-garde » risquées. La majorité des affirmations transhumanistes sont liées au cerveau humain et à l’intelligence artificielle. Cependant, les affirmations transhumanistes contrastent avec la réalité actuelle de nos connaissances. Le cerveau humain est considéré comme l’objet le plus complexe de l’univers. Il n’existe aujourd’hui aucun modèle humain du cerveau, ni aucun moyen de l’obtenir. En 2013, la DARPA, bailleur de fonds d’IBM, a révélé publiquement qu’il n’existait aucune technologie capable de capter des signaux informant les scientifiques de ce qui se passe globalement dans le cerveau.

La propagande de Musk

Elon Musk promeut l’idée que l’intelligence artificielle va nous dépasser. Pour répondre à cette menace, il prône la transhumanisation pour les autres, mais étrangement, sans se l’appliquer à lui-même :

  • « Les humains se transformeront en cyborgs ou ne seront plus pertinents ».
  • « Les humains doivent se transformer en cyborgs pour survivre ».

Évidemment, ces affirmations n’ont aucun fondement scientifique.

Expériences criminelles

Pour disposer de cobayes et mettre en place ces expériences intra-cérébrales dangereuses, des recherches récentes fournissent la preuve que les entreprises technologiques transnationales ont recours à des méthodes criminelles : violence, escroquerie, kidnapping, extorsion ou crime organisé.

Il est clair que l’expérimentation transhumaniste de cette nouvelle technologie sur l’homme est à haut risque. Les grandes transnationales comme Google, principal promoteur transhumaniste, ont publiquement exprimé leur refus de mener des expériences d’implantations intra-cérébrales aux États-Unis. Sergey Brin, le co-fondateur de Google a déclaré dans un journal : « En général, la santé est tellement réglementée que c’est un métier pénible… Le fardeau réglementaire aux États-Unis est si élevé que cela dissuaderait de nombreux entrepreneurs ».

En raison de la réglementation élevée qui protège les citoyens des pays riches, ces expériences dangereuses sont menées dans les pays pauvres, en Amérique latine ou en Afrique. Les expériences transhumanistes les plus dangereuses et souvent mortelles comme la fusion du cerveau d’un humain avec celui d’une machine, l’utilisation d’yeux bioniques, la modification de l’ADN, sont menées en Amérique Latine.

La Nanomafia

Des recherches récentes alertent sur l’existence d’un réseau mondial du crime organisé pour développer des projets illégaux transhumanistes. En Amérique latine ce réseau est nommé Nanomafia. À leur insu, des citoyens sont intoxiqués avec des boissons et des aliments contaminés par des nanobots cérébraux. Certains sont kidnappés et soumis à des expériences d’implants cérébraux comme « le modem cortical » ou « l’hippocampe artificiel ». Des complices en milieu hospitalier, chirurgiens ou neurochirurgiens procèdent à ces expériences illégales et souvent mortelles.

Cette mafia des entreprises technologiques transnationales et des gouvernements corrompus implique des administrateurs d’hôpitaux, des syndicats de santé corrompus, des recteurs, des professeurs, des bibliothécaires et des étudiants universitaires, des policiers mafieux, des parquets, des juges, des services de renseignement et surtout des médias de presse et leur vaste réseau de journalistes.

En Amérique latine, l’une des principales entreprises soupçonnées de développer secrètement et illégalement le transhumanisme est la compagnie d’assurance maladie péruvienne ESSALUD. D’après les preuves d’enquêtes récentes, l’expérimentation transhumaniste aurait commencé en 2009 sous l’administration américaine de Barack Obama et d’Hillary Clinton. Ils auraient tous deux coordonné le crime organisé avec le président Alan García Pérez, associé au président d’ESSALUD, Fernando Barrios Ipenza. Barrios a développé secrètement des unités de recherche dans les hôpitaux péruviens pour procéder à des expériences transhumanistes sur la population. L’unité de recherche de l’hôpital Sabogal où se développent ces types de projets est financé par Bill Gates. Des recherches dites de neurosciences visaient à camoufler des expériences transhumanistes de contrôle mental, d’internet cérébral et de robotisation humaine. L’hôpital Alberto Sabogal est situé à proximité de la base militaire des forces armées américaines en Amérique latine, la NAMRUD.

Tous ces projets transhumanistes illégaux secrets sont financés par les transnationales, les milliardaires, certaines fondations américaines et la DARPA. (Nota : il y a fort à parier que ces recherches sont directement financées et pilotées par des départements du complexe militaro-industriel américain ; il s’agit de « black » programmes à grande échelle).

Les campagnes « Quartiers sûrs »

Au Pérou, le ministère de l’Intérieur, qui dirige la police nationale du Pérou, en partenariat avec l’Université de San Marcos, a lancé la campagne « quartier sûr ». Cette campagne prévoit de développer des projets d’innovation dans 100 régions pauvres du Pérou, sous prétexte de prévenir la criminalité. En réalité, ces campagnes sont des programmes de contrôle mental avec des nanorobots cérébraux chez les jeunes pauvres de ces communautés. Il s’agit de les transformer en esclaves numériques au service des mafias du gouvernement et des grands entrepreneurs péruviens. Chaque quartier pauvre aura son entreprise « pilotée » par les transhumanisés (les élus) de la communauté.

Le projet transhumaniste « quartier sûr » est également appliqué au Chili. Il s’agit de convaincre les citoyens que l’utilisation de l’internet cérébral permet de lutter contre la criminalité. Les « quartiers sûrs » sont l’antichambre des quartiers intelligents et de la Smart City. Il est prévu que tout citoyen vivant dans une Smart City soit implanté et connecté à l’internet cérébral en vue de mettre un terme à la criminalité. Ce programme est mondial. Le Pérou et le Chili servent de laboratoires avant qu’il soit appliqué dans les pays occidentaux.

Les étudiants ciblés

Des enquêtes récentes mettent également en garde contre la présence d’expériences transhumanistes dans les universités dites du « cône nord » de Lima, comme l’Université César Vallejo. Cette université était administrée par Francisco Miroquesada, directeur du groupe El Comercio, principal organisateur des nanomafias au Pérou. Le groupe El Comercio appartient à César Acuña, qui entretient des liens étroits avec IBM, partenaire de la DARPA. La publicité de cette université est très similaire à la propagande menée par le gouvernement américain pour le recrutement militaire. Elle renforce les soupçons d’expérimentation humaine de contrôle mental chez les étudiants dans le but de les transformer en robots soldats pour l’armée américaine.

Des expériences humaines de contrôle mental et d’espionnage de la vie sexuelle seraient également menées dans d’autres instituts destinés aux jeunes Péruviens à faibles ressources économiques, comme les étudiants des instituts Avansys, institutions également liées au groupe El Comercio et à America Televisión. Sur fond de publicité du film « Avatar », il s’agit de trouver de jeunes cobayes pour l’implantation de nanobots cérébraux.

Des cyborgs dans l’armée américaine ?

L’armée américaine a annoncé de manière surprenante qu’elle créerait une armée de robots soldats et de cyborgs. Cependant, la manière dont elle mène ses recherches biomédicales en laboratoire reste un mystère. L’expérimentation transhumaine clandestine et forcée dans les universités latino-américaines serait le secret de ce programme de robotisation.

« Apprendre à désapprendre » : un programme militaire de la DARPA

La DARPA ne fera pas que transformer des étudiants universitaires, soumis au contrôle mental, en robots humains pour servir l’armée américaine. Il semble que son programme soit plus ambitieux. Son véritable projet est de les transformer également en « soldats clones ». Il s’agit de standardiser l’activité cognitive, de modéliser la mémoire, l’émotivité et d’effacer ainsi toute identité ou individualité pour optimiser l’obéissance et le contrôle.

La campagne « apprendre à désapprendre » fait partie intégrante de ce projet de la DARPA. Elle a comme objectif d’établir des normes psychiques, émotionnelles et culturelles via des nanorobots cérébraux pilotés par intelligence artificielle. Une fois ces standards mis en place, chaque individu transhumanisé devient une simple unité normée, interchangeable, connecté à l’internet cérébral global.

Nota : Notre Education nationale en France fonctionne selon ce même programme « apprendre à désapprendre » qui vise à faire « des enseignants clones » interchangeables. Quant aux élèves, il s’agit de dissoudre toute individualité et différence culturelle afin qu’ils soient formatables selon le standard d’interchangeabilité piloté par intelligence artificielle. Notons par ailleurs, que ce type de programme d’abêtissement orienté, n’existe pas dans les écoles privées, destinées aux enfants de l’élite ou de la caste mondialiste.

« La ville du savoir »

La récente création des soi-disant « Silicon Valleys » d’Amérique latine, comme Yachay en Equateur, aurait pour objectif secret de développer l’expérimentation humaine transhumaniste risquée avec des implants intra-cérébraux. En Équateur, le gouvernement a créé Yachay, « la ville du savoir ». Yachay a éveillé les soupçons. En effet, le comité directeur de cette université n’est composé que de professeurs du California Technology Institute (Caltech). Cet institut travaille en étroite collaboration avec la DARPA, agence gouvernementale américaine chargée du développement de nouvelles armes humaines cyborg.

Le programme Mars

Arati Prabhakar, directeur de la DARPA (2012-2017), est diplômé du Caltech, une institution militaire qui finance plusieurs projets. D’un autre côté, les États-Unis sont intéressés par la colonisation de Mars ; c’est pourquoi ils ont organisé une vaste campagne en Amérique latine pour promouvoir le voyage vers Mars. Contrairement au voyage sur la Lune, le voyage vers Mars est plus long et plus risqué. De plus, il s’agit d’un aller simple, sans possibilité de revenir sur Terre. Il est probable que des Latino-Américains mentalement contrôlés par des implants cérébraux seront envoyés comme colons sur Mars. La preuve la plus symbolique est peut-être que José Andrade, professeur de Caltech, membre principal de la mission de colonisation de Mars, est le recteur de l’Université Yachay Tech. Sa présence à Yachay vise, très certainement, à recruter des étudiants équatoriens pour les envoyer sur Mars.

Transhumanisme pendant du mondialisme

D’une manière générale, les preuves indiquent que le réseau d’expérimentation transhumaine est un réseau mondial interconnecté, étonnamment organisé par les milliardaires du monde tels Carlos Slim, George Soros, Marck Zuckerberg, Larry Page, Sergey Brin, Bill Gates ou Jeff Benzos.

Bill Gates, à travers sa fondation, finance des projets de neurologie à l’hôpital Sabogal au Pérou. Il s’agit en fait de projets transhumanistes de contrôle mental et d’internet cérébral.

Jeff Benzos, propriétaire d’Amazon, finance un institut de neurosciences à Princeton, une université étroitement liée à l’Amérique latine.

Marck Zuckerberg, Carlos Slim, Larry Page, Sergey Brin et George Soros sont soupçonnés d’avoir organisé l’Internet cérébral en Amérique latine en implantant des citoyens à leur insu. Cette expérimentation transhumaniste secrète et illicite explique probablement la controverse qui existe autour de la réussite financière suspecte de plusieurs d’entre eux, dont le Mexicain Carlos Slim. En effet, ces individus seraient devenus milliardaires en touchant des subsides liés au programmes secrets dits « black program » du complexe militaro-américain.

Le réseau mondial d’expérimentation transhumaniste est connecté aux réseaux de télévision les plus importants comme Discovery Channel, History Chanel et aux éditeurs des plus importantes revues scientifiques comme Science, Nature, Neurology, et des revues de divulgation scientifique comme Scientific American, New Scientist et National Geographic. Ces médias divulguent leurs découvertes en cachant les réalités d’expériences illicites sur cobayes humains. Ce réseau criminel d’expérimentation humaine serait connecté à la Fondation Nobel qui nobellise des scientifiques opérant dans la sphère des nébuleux projets transhumanistes.

Étonnamment, le transhumanisme se consolide dans le monde entier avec le soutien des Nations Unies avec son projet Millenium. Il en va de même pour l’UNESCO. Il faut souligner que le terme « transhumanisme » a été inventé par Julian Huxley, alors directeur de l’UNESCO. (Notons pour compléter les propos de l’auteur que les groupes Vanguard et Blackrock avec 16 000 milliards de dollars (PIB de la Chine), sont totalement impliqués dans le financement du transhumanisme).

L’escroquerie de « la fracture numérique »

De fait, le transhumanisme est une vaste et dangereuse escroquerie mondiale. Il ne cherche pas à améliorer l’individu comme l’affirment ses promoteurs mais, au contraire, à transformer l’être humain, doté d’implants technologiques, en un esclave numérique au service d’une oligarchie mondiale. Les transhumanistes affirment que les êtres humains qui utilisent les implants technologiques et le génie génétique seront des hommes supérieurs. Ceux qui ne les utilisent pas seront des hommes inférieurs, des inutiles. Ainsi, les pauvres doivent se battre pour obtenir « cet avantage » et obtenir ces implants miracles. Telle est la propagande actuelle de la soit-disant future « fracture numérique ».

Le véritable modèle transhumain souhaité par l’oligarchie

L’élite de milliardaires et affiliés n’utiliseront jamais de puces cérébrales, ou nanobots cérébraux pour eux-mêmes et leurs enfants. Par contre, ils auront accès aux stations vidéo, clouds et systèmes permettant de contrôler mentalement, d’espionner et d’asservir les citoyens « améliorés ». Les « surhommes », les « hommes bioniques », la « nouvelle race numérique », seront de facto, des robots humains sans pensée propre. L’obligation d’être doté de nanobots, de puces cérébrales, avec de constantes mises à jour, deviendra la norme pour obtenir un emploi et pour accéder aux Smart Cities disposant de biens et services. Ces ghettos numériques de contrôle mental visent la surveillance permanente de la pensée, des rêves, l’élimination des émotions, une vie d’enluminures virtuelles et la suppression de toute sexualité reproductive. La production d’humains sera assurée par des incubateurs. Leur nombre sera défini par l’oligarchie, en fonction du besoin d’esclaves nécessaires au bon fonctionnement des Smart Cities.

Que deviendront les non transhumanisés ?

Ceux qui auront refusé « le progrès » n’auront pas accès aux biens de consommation. Il seront pour la propagande globale devenus « des sauvages », « des sous hommes », « un impact carbone illicite », qu’il sera légitime d’éradiquer pour le bien de la planète. Notons que déjà des « zones sauvages » interdites à l’habitat humain sont décrétées par les mondialistes du Forum de Davos. Par ailleurs, les zones de Smart Cities sont déjà prévues et donnent lieu, comme en Hollande par exemple, à l’éradication progressive de toute activité agricole sur ces terres.

Notre conclusion

Il ne fait aucun doute que tous les dirigeants de la planète ont eu connaissance de ce programme transhumain de « développement durable » à l’échelle planétaire. Le lancement mondial de la vaccination Covid n’a pu se faire sans leur coopération. Cette étape devait constituer une amorce expérimentale de transhumanisation par biologie synthétique et nanorobots retrouvés dans les vaccins. Cependant, certains dirigeants acquis à ce programme, semblent faire marche arrière. Pourquoi ?

Ont-ils constaté que l’expérience de robotisation humaine était un échec total, un désastre mondial ? Considèrent-ils que ce projet va provoquer l’extinction de l’humanité, balayant leur pays et toutes leurs prérogatives ? Que deviendrait l’oligarchie livrée à elle-même sans peuple, sinon une cohorte d’inutiles incapables de survivre sur Terre ? Sans doute ont-ils compris que la robotisation de l’humain est un leurre de la science occidentale et que seuls des citoyens non implantés, cultivés, souverains, sont les garants d’une civilisation prospère et créative. Il n’y a pas trop d’humains sur Terre, il y a simplement trop d’escrocs milliardaires psychopathes qui se prennent pour des dieux…

Source :
www.medcraveonline.com
Transhumanism the big fraud towards digital slavery,
Dr. David Salinas Flores, sept. 2018,
Morphéus n° 121, janvier/février 2024