Le 6 mars 2015, des centaines de parents de jeunes filles ayant connu des problèmes de santé après la seconde injection du Gardasil, ont défilé dans Carmen de Bolivar pour attirer l’attention sur les graves problèmes de santé auxquels leurs filles étaient confrontées.

Le 8 mars 2015, en conjonction avec des défilés célébrant la journée internationale de la femme, ainsi qu’avec la marche pour la vie, les parents de Carmen de Bolivar ont été rejoints par d’autres marcheurs qui avaient manifesté à Bogota, Cali, Medelin et Sincelejo.

Selon Jaun Carlos Jimenez du Comité des parents de filles de Carmen de Bolivar, toutes les marches ont été axées sur les demandes suivantes au gouvernement :

  • Mener des études pour déterminer la cause exacte des problèmes de santé qui ont touché un si grand nombre de personnes après l’administration des vaccins contre le HPV.
  • Fournir un traitement adéquat pour les 800 filles connues à ce jour pour être affectées par des problèmes de santé.
  • Suspendre l’utilisation des vaccins contre le HPV en Colombie jusqu’à ce que les problèmes de sécurité soient résolus.

Beaucoup de jeunes filles défilaient en chaise roulante dans les rues. Les autorités sanitaires gouvernementales éliminent toute possibilité d’établir de véritables diagnostics ouvrant sur la mise au point de traitements pour ces enfants. Elles indiquent que le vaccin n’a aucun rapport avec ces maladies qui seraient en fait dues à un syndrome psychogène de masse. (sic !)

Source : Health Impact News & SaneVax.org