MESSAGE À LA COMMISSION 3AF-SIGMA EN CHARGE DES OVNIS : SI, MESSIEURS, DES TECHNOLOGIES ANTIGRAVIFIQUES TERRESTRES EXISTENT !

Près de 1 600 membres ingénieurs, scientifiques, chercheurs, professeurs, Air France, Arianespace, Dassault Aviation, Eurocopter, Sagem, services de renseignement militaire ou industriel se penchent sur ces engins qui violent en toute impunité les espaces aériens les mieux défendus du monde. La commission 3AF Sigma formée de militaires de haut rang tient à tirer la sonnette d’alarme. Cependant, le niveau d’information livré au public est très en-deçà des informations civiles déjà connues et diffusées par d’autres biais…

Les conclusions de la commission 3AF-Sigma sont très insatisfaisantes :

Vous mentionnez que « ces engins emploient une forme inconnue de sustentation et manifestent des performances dont aucune technologie terrestre n’est capable à ce jour. »

Est-il utile de mentionner Messieurs, qu’avec vos accréditations vous êtes assis sur une pile de brevets antigravifiques et autres technologies dont certains datent d’avant la Seconde Guerre mondiale ? En acceptant simplement de lever votre séant et en daignant vous pencher sur des documents qui doivent être déclassifiés aujourd’hui, vous pourriez diffuser au public une information bien plus pertinente et bien plus constructive.

Comment se fait-il que vous vous alarmiez tant pour des engins inaccessibles dites-vous, pendant que des engins interceptables diffusant des toxiques dans le ciel ne sont jamais inquiétés ? Les diffuseurs de chemtrails sont pour la plupart des avions classiques que l’armée de l’air de notre pays devrait intercepter et abattre s’ils n’obtempèrent pas. Sans doute que l’OTAN — avec ses 200 programmes de chemtrails depuis 30 ans — a une telle influence de dissuasion sur nos armées nationales qu’aucune n’ose défendre efficacement ses citoyens contre des attaques nano-bioterroristes de ce genre. Mais sachez que l’OTAN a aussi ouvert des boîtes de Pandore qu’elle ne parvient plus à refermer. Pour les refermer il faudrait pour certains mériter le nom d’être humain, mais ce programme n’est pas encore à l’ordre du jour.

Et pour une information factuelle relative aux systèmes antigravifiques, il est étonnant qu’aucun élément technique n’ait été mentionné dans le rapport Cométa ou dans vos propres rapports. L’incomplétude du second principe de la thermodynamique est manifeste dès lors qu’on accepte l’idée de ces engins volants comme les Vimana. La relativité générale en prend également un coup ; quant à notre cosmologie vous serez bien tenus d’admettre qu’une cosmologie gémellaire s’impose à nos sciences terrestres si nous avons le souhait d’avancer dans nos compréhensions du phénomène.

Enfin, pour compléter notre information et pour satisfaire la curiosité de nos lecteurs, nous tenons à présenter l’histoire de l’antigravité terrestre qu’en tant que spécialistes vous n’êtes pas censés ignorer.

1860 : Démonstration d’un phénomène surnuméraire par Gaston Planté avec ses machines rhéostatiques et éclateurs (voir page 226 de Recherche sur l’Électricité Gautiers-Villars du bureau des Longitudes de l’École Polytechnique édition de 1883, Transformation complète d’une certaine quantité d’électricité dynamique en électricité statique). Je vous rassure, ces travaux ont fait l’objet de multiples vérifications depuis 150 ans. La dernière date de 2010, pour 1 kilowatt en entrée, une charge de 14 kilowatts est relevée en sortie. Une énergie non usitée en physique est à l’œuvre et démontre l’incomplétude du second principe de la thermodynamique. Mais nous nous doutions déjà que les ovnis n’étaient pas branchés sur EDF…

1920 : La soucoupe de Schauberger : usage d’un vortex particulier qui par orientation axio-gyroscopique de molécules d’air, permet la dégravitation.

1935 : La sphère lévitative de Henry Bull, une propulsion inertielle verticale ridiculement simple.

1924 à 1945 : L’Allemagne se lance dans les génératrices surnuméraires et des engins dégravifiques à partir des travaux de Schauberger ; ce sont pendant la guerre les fameuses « armes secrètes » d’Hitler, fils adultérin prodige des Rothschild. L’usage de vortex de vapeur de mercure pose des problèmes pour l’armement embarqué et la guerre qui fait rage empêche l’industrialisation militaire de ces engins à grande échelle. Ils seront récupérés par les russes et les américains en 45. Tous les éléments de cet épisode de la Seconde Guerre mondiale devraient être déclassifiés mais ils ne le sont pas. Faut-il s’en étonner ?

1940-1971 : Brevets US 03626605, US 03626606, US 03823570 de Henry Wallace. Ce dernier proposera d’embarquer dans les chars US des systèmes à impulsion inertielle gyroscopique contre gravifique pour alléger considérablement ces engins (brevet US 2.371.368). Le Pentagone refusera, la technologie étant bien trop avancée et impliquant la levée du voile sur des projets tenus secrets déjà à l’époque. L’effet gravito-gyroscopique était connu et à l’étude dans les milieux militaires bien avant la Seconde Guerre mondiale.

1947 : A 14 ans, John Searl conçoit un générateur magnéto-électrostatique selon les principes même de Gaston Planté. Surprise, lorsque ce générateur développe des tensions électrostatiques dépassant les 1,4 millions de volts par centimètre linéaire, l’engin décolle arrachant tout sur son passage. Searl développera donc un IGV (Inverse Gravitic Vehicule) qu’il mettra en orbite pendant 10 ans dans les années 60. Ce petit engin civil aurait pu atteindre la Lune en 11 minutes selon l’étude d’un physicien japonais. Les travaux de Searl sont inspectés par l’armée britannique, des démonstrations ont été réalisées devant des pontes de l’armée de l’air US. Un brevet international numéro WO 2006/054973 A1 déposé par les scientifiques Vladimir Roschin et Sergi Godin, démontre avec essai de prototype en Suisse, la validité de tous les travaux de Searl depuis 1947. Enfin dans une interview du 25 juillet 2010 Searl annonce l’industrialisation d’un générateur électrique domestique pour maison individuelle (voir www.blogtalkradio.com)

1947 : L’effet Bielfield Brown sous brevet US 02949550 permet de concevoir des lifters grâce à de forts voltages sur de fines surfaces métalliques. L’usage pourrait sembler anecdotique mais un groupe d’étude, le LIFPORT GROUP, envisage d’utiliser cet effet en vue de satelliser du matériel…

1958 : Brevet US 02912244 de Otis T Carr, ancien membre de la NASA. Il réalise plusieurs prototypes opérationnels d’engins volants à propulsion inertielle gyroscopique contre gravifique. Il sera arrêté dans son élan ; en effet, il souhaitait monter une entreprise de transport trans-américaine avec ces engins.

1961 : Le brevet 1.253.902 sous la référence du PV N814.855 du français Marcel Pagès est déposé. Il s’agit d’un engin dégravifique dont les principes sont parfaitement identifiables et vérifiables aujourd’hui. Pagès affirme qu’en maintenant sur son orbite à 75 000 km/s l’électron d’un atome d’hydrogène, on fait tout bonnement dégraviter ce même atome d’hydrogène.

1970 : Première démonstration de l’effet Hutchinson. De très basses fréquences appliquées localement font littéralement dégraviter des objets. Ces démonstrations seront faites devant des docteurs en physique sans qu’aucun ne trouve d’explication à ce phénomène.

1971 : Démonstration d’un effet dégravitatif à l’Institut Royal de Londres par Eric Laithwaite. Son dispositif gyroscopique rudimentaire permet de faire perdre 10 % du poids de l’engin. Eric Laithwaite déposera jusqu’à sa mort un grand nombre de brevets sur la propulsion inertielle gyroscopique (US 5.860.317).

1980 : Brevet de Geoffrey Colin Russell (GB 2.090.404A) : Système à propulsion gyroscopique

1980 : Brevet de Robert Cook (US04238968) sur les champs antigravifiques

1987 : Brevet de Harold Aspen (GB 2.209.832A) sur une soucoupe lévitative à propulsion gyroscopique

1988 : Brevet de David Morgan (GB 2.207.753A) sur une force contre gravifique par effets gyroscopiques

1989 : Brevet de Delroy Mortimer (WO 91/02155) système de propulsion gyroscopique

1990 : Brevet de Cox James (US 4.891.600) sur un engin antigravifique

1997 : Brevet de Richard Foster (US 05685196) modules antigravifiques inertie gyroscopique

2005 : Brevet de Boris Volfson (US 6960975B1) Engin cosmique empruntant les travaux de Pagès si on y regarde de plus près.

Il existe bien d’autres brevets aujourd’hui accessibles aux civils via internet. Que penser donc des brevets militaires déposés depuis 90 ans ? Combien y en a-t-il, 1 000, 10 000 ou plus encore ? Où sont développées ces technologies ? Dans les armées nationales ? Il ne semble pas, même si vous possédez quelques miettes de technologies surnuméraires… Alors ce qui vole à mac 10 au-dessus de vos têtes est-ce nécessairement du non terrestre ? Pas sûr, et on vous refuse l’accès à l’information dans ce domaine, n’est-il pas vrai ? !

De deux choses l’une : soit vous vous trompez honnêtement, et l’expérience démontre qu’on ne manque pas d’hommes honnêtes et dignes dans l’armée, soit vous jouez au jeu Werner Von Braun qui sur son lit de mort affirma :

« Ils utiliseront la mise en scène du terrorisme, puis du risque cosmique et enfin la menace extranéenne pour circonvenir l’Humanité et la réduire à « l’Ordre Nouveau », qu’ils ont préparé via l’ONU et un gouvernement mondial sur mesure. » Cet Ordre est moribond comme vous pourrez le constater par vous-même au fil des mois à venir. Il nous faut jouer cartes sur table. L’Ordre Nouveau était un choix involutif nous faisant perdre la main sur notre destin terrestre. Des choix évolutifs courageux sont possibles et alors il n’y aura plus aucun obstacle infranchissable. Ceci est valable pour nos armées, nos autorités, pour l’OTAN et pour ces consortium transnationaux qui ont été subtilement dupés.

Post-scriptum : Ayez bien à l’esprit, messieurs, que ce sont des journaux indûment taxés fiscalement à hauteur de centaines de milliers d’euros qui accueillent et véhiculent sereinement vos informations…

Frédéric Morin, publication Morphéus