disquesearl.jpg

Les russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, travaillent depuis plusieurs années pour vérifier les travaux de John Searl, un scientifique britannique qui, dès 1968, mit au point un système capable de léviter. Bien que de nombreux journalistes et scientifiques témoignèrent d’essais concluants réalisés par Searl, ses découvertes furent violemment occultées et critiquées. Des films et des milliers de photos de la première soucoupe volante civile avaient pourtant fait plusieurs fois le tour de la planète. Searl perdit dans l’espace son premier disque volant qui avait coûté l’équivalent de 12 millions de Livres Sterling et tout fut fait pour cacher ses fantastiques réalisations touchant à une Nouvelle Physique.

Le brevet international de Roschin et Godin, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système surunitaire est réalisable. Il ouvre des perspectives sur une nouvelle technologie aérospatiale et remet au goût du jour les travaux de Searl.

Les russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, travaillent depuis plusieurs années pour vérifier les travaux de John Searl, un scientifique britannique qui, dès 1968, mit au point un système capable de léviter. Bien que de nombreux journalistes et scientifiques témoignèrent d’essais concluants réalisés par Searl, ses découvertes furent violemment occultées et critiquées. Des films et des milliers de photos de la première soucoupe volante civile avaient pourtant fait plusieurs fois le tour de la planète. Searl perdit dans l’espace son premier disque volant qui avait coûté l’équivalent de 12 millions de Livres Sterling et tout fut fait pour cacher ses fantastiques réalisations touchant à une Nouvelle Physique.

Le brevet international de Roschin et Godin, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système surunitaire est réalisable. Il ouvre des perspectives sur une nouvelle technologie aérospatiale et remet au goût du jour les travaux de Searl.

disquesearl.jpg

volSEG.jpg

Homopolar System

Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capable de convertir diverses formes d’énergie, dès lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. Ceci s’accompagne de variations locales du poids de la structure totale, d’une diminution de la température de l’air environnante, et de la formation « de murs magnétiques » concentriques au-dessus de l’installation expérimentale.

Ce système s’inspire directement des travaux de John Searl mais la fabrication d’un tel système est bien moins onéreuse et beaucoup plus accessible à tout un chacun. Il est conçu par ailleurs pour servir de générateur électrique de courant continu. Ce brevet est libre et tout individu souhaitant se lancer dans l’aventure d’une telle expérimentation y est invité. Nous mettons sur le site l’intégralité du brevet pour tous nos lecteurs et internautes.

Les tests expérimentaux

Les deux scientifiques russes ont construit un convertisseur d’énergie utilisant les rouleaux magnétiques de Searl. Ils ont cherché à vérifier expérimentalement les travaux de Searl qui affirment qu’un disque peut voler grâce à un générateur surunitaire qui convertit l’énergie de l’espace environnant en électricité. L’appareillage expérimental mis au point par Roschin et Godin pèse 350 kilogrammes. Quand ils ont lancé électriquement le rotor à 200 tours/minute, la plateforme soutenant tout l’appareillage s’est légèrement soulevée sur ses glissières verticales. Une perte de poids était notable ! À 550 tours/minute l’ampèremètre dans le circuit du moteur indiquait que la consommation électrique de l’appareil était tombée à zéro. Ils ont alors débranché le moteur de son alimentation électrique externe et ont relié le générateur à l’axe du convertisseur. Le rotor a alors accéléré brusquement. Il n’a pas ralenti jusqu’à ce qu’ils aient relié le générateur à un chauffage de 10 kilowatts. Ainsi, l’appareillage débranché de toute alimentation électrique externe fonctionnait de manière autonome et fournissait 10 kilowatts d’énergie en plus. Lors d’une expérience dans l’obscurité, une lumière rose et bleue se formait autour de la machine et de l’ozone émanait de l’ionisation de l’air. Il fut noté également que la machine perdait jusqu’à 35 % de son poids lors des expériences. L’air environnant se refroidissait et formait des anneaux concentriques de 15 mètres. Des sondes thermiques ont révélé un net refroidissement de l’air à l’intérieur de ces anneaux concentriques. Searl avait déjà mesuré les effets de ces anneaux qu’il appelle « des murs magnétiques ».

Aucune théorie de la physique classique ne peut expliquer ces phénomènes. Ceci prépare donc le terrain pour une Nouvelle Physique. Le docteur Anatoli Rykov, chef d’un laboratoire de séismologie à Moscou, a constaté que l’unité de Godin-Roschin non alimentée électriquement avait fourni six kilowatts pendant quinze minutes.

Rykov considère que la perte de poids de l’unité intervient quand l’éther est déformé localement par la direction de la rotation du rotor. L’effet sur la pesanteur est notable lors des expériences.

Les grands chercheurs de la surunité

Tirer de l’énergie de l’éther ou de l’énergie du vide est la préoccupation de nombreux chercheurs. On peut citer Mesyats, Baraboshkin, Koldomasov, Aleksandr Chernetskii, Alexandre Ilyanok, Harold Aspden, John Searl, Gritskevitch, Zlatko Loncar. Tous, avec des approches différentes, constatent une surunité dans certaines conditions d’expérience. Les premières grandes expériences civiles de surunité s’ouvrent à un monde qui recherche de nouvelles sources d’énergie. Même si la surunité fut l’apanage d’un certain Nikola Tesla à la fin du XIXe siècle, au vu du nombre de chercheurs dans ce domaine, le nouveau millénaire porte l’espoir d’une technologie respectueuse de l’environnement. Des générateurs qui fabriquent plus d’énergie qu’ils n’en consomment sont à portée de main. Le grand public doit le savoir. Pour ceux qui estiment que c’est chose impossible au vu de la physique actuelle, ils ont raison. Mais ce qu’il y a à changer aujourd’hui c’est la physique et non les résultats d’expériences obtenus par tous ces chercheurs. Au XIXe siècle, les Académiciens prétendaient faire la démonstration rationnelle qu’un plus lourd que l’air ne pourrait jamais voler. C’était sans doute sans observer les oiseaux. Plus tard, certains affirmaient qu’aller sur la Lune était impossible, nous l’avons fait. Aujourd’hui, ils affirment que produire plus d’énergie que l’on en consomme est impossible. C’est déjà fait, même si la Nouvelle Physique n’est pas encore mathématiquement établie. D’ailleurs, tout observateur du monde un peu perspicace, s’aperçoit que toute forme vivante est surunitaire. Est-ce que la nourriture dégénérée que nous ingurgitons tous les jours fournit assez d’énergie pour toutes nos fonctions métaboliques et autres ? Bien sûr que non ! Alors, d’où vient l’énergie qui permet à un homme de vivre 80 ans et plus ? Certains l’appelleront Prana, d’autres énergie du vide, d’autres éther, peu importe le nom. Toute vie est surunitaire, et c’est en s’inspirant de la vie elle-même que nous pourrons établir solidement les fondements d’une Nouvelle Physique.

« Il existe maintenant une technologie vérifiée et méticuleusement documentée qui peut produire plus d’électricité qu’elle n’en consomme. »

Dr Eugene Mallove
F. Morin & G. Pécoul

Sources : www.aetherometry.com,
www.jeanemanning.ca,
www.vortexscience.com,
http://ovni007.com/searl_generateur.

Brevet International n° WO2006054973A1
de Roschin et Godin, publié le 26 mai 2006.