Au moment où la Commission à l’Environnement, la Santé publique et la Sécurité alimentaire du Parlement européen s’apprête à soumettre au vote une résolution sur « les réticences à la vaccination et la baisse du taux de vaccination en Europe », un pavé tombe dans la mare des certitudes vaccinolâtres.
Ce pavé, c’est le rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018.
Après 18 années d’enquête pour déterminer les causes de milliers de décès dans l’armée, cette Commission parlementaire a identifié un risque significatif de développer des cancers et des maladies auto-immunes après l’administration de vaccins combinés et multi-doses, tels que recommandés dans le calendrier de prévention militaire.
Les résultats de l’examen de la Commission sont un sérieux signal d’alarme dans le contexte actuel de l’extension des obligations vaccinales en Europe.
Extraits des Conclusions de la Commission
La Commission n’a pas pu trouver une seule étude démontrant la sûreté des vaccins combinés…
– Les vaccins qui ont un nombre important de composants en termes quantitatifs, mais aussi en variété de composants étrangers, déterminent un nombre plus élevé d’effets secondaires.
– Entre autres, la Commission s’inquiète de l’usage et de la sécurité des vaccins à base d’adjuvants aluminiques
La Commission recommande :
– L’utilisation de vaccins et de doses isolés plutôt que de vaccins combinés.
– Ne pas administrer plus de 5 vaccins (souches vaccinales différentes) lors d’une seule visite.
– Une évaluation individuelle des risques avant la vaccination.
– Un suivi à long terme de chaque vaccin individuel.
– De ne pas revacciner pour une maladie pour laquelle l’immunité est déjà existante, comme pour les personnes ayant fait des maladies d’enfance.
– Le développement de vaccins « purifiés » pour limiter l’accumulation de composants toxiques.
– Des études permettant d’évaluer les effets et la sûreté de la vaccination à moyen et long termes.
– De meilleures études sur les composants des vaccins, notamment les adjuvants et contaminants.
Les autorités européennes peuvent-elles en conscience ignorer les conclusions de ce rapport ? Vont-elles s’engager résolument dans une fuite en avant qui consiste à opposer toujours plus de coercition pour imposer la vaccination ? Des mesures sanitaires drastiques concernant la sécurité vaccinale vont-elles être enfin prises ?
Extraits de Alternative Santé n°55, le 16 mars 2018
Tous les Vaccins sont Expérimentaux !
Voici les quatre grandes raisons qui font de tous les vaccins, depuis toujours, des produits expérimentaux et de la vaccination en général, la plus grande expérimentation sans consentement jamais réalisée dans toute l’histoire de l’humanité.
1°) On ne compare jamais les vaccins à des placebos réels (= substances neutres, inertes) pour évaluer scientifiquement leurs effets secondaires réels.
2°) Aucune étude des effets secondaires à long terme n’existe.
3°) Les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique, contrairement aux autres médicaments. Cette analyse est pourtant capitale puisqu’elle consiste très précisément à étudier le devenir et la répartition des différents composants du médicament une fois administré. (Comment les composants se diffusent-ils ? Où vont-ils se loger ? Persistent-ils ou non ? Comment sont-ils métabolisés ? Comment sont-ils éliminés et par quelle voie ? etc.).
4°) Les vaccins sont aussi dispensés, là encore contrairement aux autres médicaments et même aux cosmétiques qui eux ne sont jamais obligatoires, de tests destinés à évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène, c’est-à-dire leur capacité d’induire un cancer, une mutation de notre ADN et des maladies chez la descendance (alors qu’on préconise désormais la vaccination aux femmes enceintes).
Le Dr Deborah Novicki de Novartis a confirmé que ces tests pour évaluer la cancérogénicité n’avaient pas été effectués sur l’adjuvant à base de squalène des vaccins H1N1 (le MF59) ni sur aucun des vaccins du groupe et qu’il n’était pas prévu que cela se fasse. « Nous n’avons pas testé le potentiel cancérogène du squalène MF59 de notre vaccin H1N1 ni d’aucun autre de nos vaccins et nous n’avons pas l’intention de le faire » a-t-elle déclaré lors d’une réunion à l’Agence Américaine du Médicament (FDA).
Sans aucune évaluation scientifique des vaccins, la vaccination de masse s’apparente à une expérimentation sur humains sans leur consentement. Juridiquement cela relève du Code de Nuremberg.
Source : initiativecitoyenne.be
Publié dans Morphéus n°87 mai / juin 2018