Le 16 juillet 2020, sur LewRockwell.com, l’homme d’affaire Gary Barnett écrivait à propos de ce qu’il nomme le complot de la covid 19 :

« C’est la période la plus dangereuse de l’histoire de l’homme. La gravité de ce complot ne peut être sous-estimée. Il n’est pas dû à une menace de guerre conventionnelle ou de décimation nucléaire, il est basé sur le fait qu’il s’agit d’une guerre psychologique menée par des psychopathes contre toute l’humanité, et qu’elle est avancée par un petit groupe de monstres qui ont pris le contrôle de l’esprit des masses par un endoctrinement à long terme avec des politiques destinées à engendrer la dépendance ».

« La peur est la nouvelle arme de destruction massive, non pas parce qu’elle est légitime, mais parce que les gens ont perdu toute volonté d’être libres, ont perdu toute capacité de penser, et cherchent refuge et confort en tant que troupeau collectif uniquement capable d’exister dans une société basée sur un régime totalitaire ».

« Aspirer à la liberté sans avoir le courage de la revendiquer est une entreprise vide de sens, car toute demande réelle des masses laisserait l’élite au pouvoir nue et effrayée. Tout ce qui est nécessaire pour atteindre la liberté, c’est de la vouloir, et elle seule peut vaincre la tyrannie ».

 Casser la terreur du coronavirus et retrouver la liberté, c’est ce que firent les Serbes au mois de juillet. Ils se sont rebellés contre leur président lorsqu’il leur a ordonné de retourner en résidence surveillée. Après deux jours de batailles de rue, les robustes manifestants Serbes ont gagné. Les autorités ont capitulé, renonçant à leurs plans de bouclage pour Belgrade.

« À l’échelle d’une population entière, si l’on réduit à néant le patrimoine d’un pays, ses structures sociales et économiques, après ce chaos planifié et contrôlé, on peut y construire une nouvelle société, un nouvel ordre. Une fois le peuple privé de ses points de repères, mis en état de choc et infantilisé, il se retrouve sans défenses et devient facilement manipulable. Ce processus peut s’appliquer suite à une grave crise économique ou politique, une catastrophe environnementale, un attentat, une guerre ou une crise sanitaire ». Ce procédé décrit par Alexandre Lebreton relève des techniques de manipulation mentale par trauma applicables individuellement ou collectivement.

Morphéus n° 101, septembre 2020