Selon la version officielle, ce virus serait apparu sur un marché de Wuhan où s’échangent des animaux vivants. Son génome a été intégralement séquencé. Il est baptisé 2019-nCov. Ce virus serait proche du Sras selon la scientifique Sandrine Belouzard. Comme toujours, c’est un animal qui serait responsable de la transmission à l’homme. La nature qui nous supporte depuis des millions d’années serait plus dangereuse pour l’homme que les laboratoires militaires de recherches bactériologiques dont le seul objectif est de trouver des agents pathogènes tueurs, aussi bien pour les animaux que pour les humains. D’ailleurs quelques brevets circulent concernant ces recherches militaires qui visent à associer des gènes de virus très contagieux à des gènes de virus très mortels. Ces inventions virales inondent le marché des armes biologiques et le marché mondial des vaccins. Création de virus mortels et création de vaccins associés brevetés vont de paire… C’est un marché très lucratif pour l’industrie pharmaceutique.

 

Wuhan et son laboratoire P4 de bio-sécurité

Cet événement, aux conséquences pour l’instant inconnues à l’échelle du globe, rappelle la dangerosité des laboratoires développant secrètement des armes biologiques. Les autorités de Pékin se sont bien gardées de révéler qu’un laboratoire de niveau P4 de bio-sécurité étudie les agents pathogènes les plus dangereux au monde à Wuhan. C’est précisément l’épicentre de l’épidémie de coronavirus en Chine. Il a été conçu pour servir de « laboratoire de référence » pour l’Organisation Mondiale de la Santé.

Un laboratoire P4 franco-chinois à Wuhan

La construction de ce laboratoire à coûté au gouvernement communiste la bagatelle de 300 millions de yuans, soit l’équivalent de 44 millions de dollars. « La France est fière et heureuse d’avoir contribué à la construction du premier laboratoire de haute sécurité biologique P4 en Chine. Conçu par des experts français, puis mis en chantier à Wuhan en 2011. Cet outil de pointe constitue un élément central de la réalisation de l’accord intergouvernemental de 2004 sur la coopération franco-chinoise en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses émergentes ». (Bernard Cazeneuve, Hôtel  Matignon, 23 février 2017). Le Ministre évoque également l’assistance du laboratoire P4-Inserm français dont le PDG n’est autre que M. Yves Levy, mari du Ministre de la santé, Mme Buzyn…

Mise en quarantaine à échelle continentale

Wuhan (11 millions d’habitants), Huanggang (7,5 millions) et une vingtaine de villes sont mises en quarantaine. Des dispositions sont prises pour Pékin et Shanghai. Au moment où nous écrivons, selon certaines sources, environ 400 millions de chinois sont touchés par une mise en quanrantaine. C’est l’équivalent de la population européenne. Déclarer une pandémie est une arme absolu de contrôle social et financier : interdiction de toute manifestation pour raisons sanitaires, déploiement des armées, obligation vaccinale à tous les étages et ponctions des épargnes bancaires pour officiellement juguler la crise. C’est l’outil parfait du petit dictateur financier.

 

Des faits bien étranges

Jacques Delacroix relate des faits plus que troublant :

« Notre rédaction a été approchée par un service d’analyses étrangers pour nous « acheter ». En retour, ils nous garantissait des soins de santé dans les meilleurs hôpitaux et de bénéficier du vaccin « adéquat » lors de la prochaine grande pandémie… Nous ajouterons encore un témoignage confirmant le jeu sordide s’organisant autour de pandémies opportunes. Un jour où la grippe H1N1 faisait l’actualité, l’une de nos sources avait déjeuné avec un membre de la famille Rothschild. Lors de l’apéritif, il l’avait interrogé sur ce point. Ce dernier eut un sourire et répondit : « Non, nous n’en sommes qu’à l’étape des essais… »

« …Le processus pandémique auquel nous pensions devait survenir en pleine débâcle monétaire et condamner ainsi les gens à rester chez eux. Ils seraient alors spoliés à l’issue d’un effondrement économique et monétaire sans pouvoir s’opposer aux mesures que les gouvernements prendraient pour « réinitialiser » le système défaillant ».

 

Mr Delacroix est loin d’être un plaisantin et nous accordons  crédit à ce qu’il avance. Madame Lagarde, aujourd’hui Présidente de la BCE, évoque depuis plusieurs années une réinitialisation du système bancaire. Cela consiste à prendre l’intégralité de l’épargne des citoyens en ramenant les comptes à zéro. Si une telle manœuvre, aussi risquée, était opérée aujourd’hui, tous les états sauteraient sans exception. Par contre, associez à cela une vraie ou fausse pandémie « dite mortelle », interdisant à tout citoyen de sortir de chez lui et le tour est joué. La pandémie sera désignée comme la cause d’un crash bancaire généralisé.

 

Le coronavirus attendu

Deux mois avant l’épidémie de coronavirus à Wuhan, un exercice du Forum de Davos s’est tenu à New York, le 18 octobre 2019. Il s’agissait explicitement de planifier la réaction de sociétés transnationales et de gouvernements face à une épidémie de coronavirus. 15 leaders mondiaux participaient à cet exercice, dont les deux responsables officiels chinois et états-unien de lutte contre les épidémies.

 

Des sénateurs médium

La proposition de loi n°180 du 5 décembre 2019 du sénateur LREM, Michel Amiel, vise en cas d’épidémie, à instaurer « un maintien à domicile » (article 6) et des « mesures exceptionnelles d’isolement contraint » (article 7). En pleine crise de coronavirus, trois mois plus tard, la médiumnité de nos sénateurs nous interroge. Nous ne savions pas que le Sénat était devenu l’oracle de Delphes.

Sources :

LIESI n°439 du 31 janvier 2020

& www.voltairenet.org

 

Publié dans Morphéus n°98 mars avril 2020