Une propagande musclée est déployée pour marteler que la covid 19 est naturel et non issu de manipulations génétiques à partir du SRAS-CoV-1. Cependant, dès le début de l’épidémie, nombre de publications et de scientifiques ont affirmé que ce virus n’avait rien de naturel et qu’il s’apparentait donc à une arme biologique.

Voici ce qu’écrit Natural News à ce propos :

« Chaque laboratoire de virologie dans le monde, ayant effectué une analyse génomique du coronavirus, sait désormais que ce dernier a été conçu par des scientifiques. La preuve se situe dans le virus lui-même, à savoir dans son code génétique. Comme ses séquences génétiques uniques n’ont pas pu se produire par hasard, elles prouvent que ce virus a bien été conçu par des scientifiques dans un laboratoire. Sans surprise, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le CDC ont cherché à dissimuler ce fait embarrassant, afin de protéger la Chine communiste et son programme d’armes biologiques. Aucun gouvernement ne veut que le public connaisse la vérité sur la fréquence des épidémies dans les laboratoires gérés par les gouvernements… »

Autre révélation de Natural News en décembre 2019 :

« Croyez-le ou non, la souche de coronavirus qui se propage actuellement dans toute la Chine et à l’étranger, est un virus breveté (https://patents.justia.com/ patent/10130701) appartenant à une entité appelée The Pirbright Institute, partiellement financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. La page du brevet pour le coronavirus explique qu’il « peut-être utilisé comme vaccin pour traiter et/ou prévenir une maladie, telle que la bronchite infectieuse, chez un sujet »… Un examen attentif de la page des brevets montre également que l’institut Pirbright détient toutes sortes d’autres brevets sur les virus, y compris un pour le virus de la peste porcine africaine, répertorié comme un « vaccin ». Il n’est donc pas surprenant que Bill Gates soit un important bailleur de fonds de l’institut Pirbright, car c’est l’un des « philanthropes » les plus agressifs en faveur d’une vaccination intensive pour toute la planète. La façon dont prend forme cette situation de coronavirus semble être exactement ce que Gates a proposé par ailleurs comme une « solution » au problème présumé de « surpopulation » ».

Plusieurs virologues chinois ont, dès le départ, évoqué l’origine artificielle de ce virus.
Par la suite ils furent contraints de se taire.

Le scientifique Yuhong, docteur en maladies infectieuses de l’Université de Pékin, a écrit dans Epoch Times : « Le coronavirus n’est pas une mutation aléatoire survenue dans la nature. Il a été conçu ! De nombreux autres scientifiques du monde entier ont étudié les séquences génétiques trouvées dans le coronavirus et tous ont conclu à l’unanimité que des éléments du virus avaient été modifiés. Il y a beaucoup de pression pour éviter la publication de leurs recherches qui pointent vers une manipulation génétique du coronavirus… ».

La responsabilité de cette pandémie mondiale n’est donc pas à imputer au monde animal. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé le journal The Lancet. En analysant en détail 41 patients victimes du coronavirus, des chercheurs ont découvert que le tout premier cas datait du 1er décembre… et n’avait aucun lien avec le marché aux poissons de Wuhan. Par contre, il est possible qu’un patient ait contracté le virus en dehors du marché, puis que ce dernier l’ait introduit dans le marché… ce qui a accéléré l’épidémie. L’article du Lancet a été supprimé d’Internet.

Le chercheur James Lyon Weiler, a mis en ligne le 30 janvier 2020 ses observations concernant le coronavirus. À partir de l’observation de l’ADN de la nouvelle coronavirus (2019-NCoV), il conclut qu’il est peu probable que ce virus soit « naturel ». En examinant le code ADN de la coronavirus, il déclare avoir repéré une séquence déjà utilisée en 2008 pour créer un vaccin contre le coronavirus SRAS, et faisant l’objet d’un brevet chinois. Sa conclusion personnelle est la suivante : « Les données dont on dispose soutiennent fortement l’idée que le virus 2019-NCoV est une souche de vaccin. Soit elle s’est accidentellement échappée du laboratoire, soit les Chinois ont réalisé des études cliniques d’un vaccin coronavirus sur des humains ».

Le docteur Alan Cantwell fait la même analyse : « J’ai rapidement découvert que les scientifiques ont modifié génétiquement depuis plus de dix ans les coronavirus animaux et humains pour produire des virus mutants et recombinants pathogènes. Pas étonnant que les scientifiques de l’OMS aient découvert la nature du virus si facilement. Ces recherches non supervisées produisent des virus artificiels dangereux dont beaucoup ont le potentiel de devenir une arme biologique ».

Par ailleurs, sur le site de l’Université de Wuhan, il est aisé de trouver les publications du virologue chinois Yu Chen essentiellement orientées sur le coronavirus. Une publication de mai 2005 traite des problèmes respiratoires liés au syndrome coronavirus (Journal of Virology, May 2005, p5288-5295, American Society for Microbiology.) Cet article scientifique utilise une référence d’études de 1986 réalisées par le scientifique S. Makino sur le réordonnancement de séquences d’ARN du coronavirus des chauves-souris Murin (Proc. Natl. Acad. Sci USA 83 : 4204-4208). L’ARN et l’ADN du coronavirus de chauves-souris sont donc étudiées, réencodées et manipulées génétiquement depuis 34 ans dans différents laboratoires P3 et P4, en Chine, en Europe, aux USA, au Pakistan, au Japon, en Russie, etc. Les milliers de publications sur les coronavirus sont l’objet d’études civiles et militaires depuis des décennies, souvent afin de créer des armes biologiques.

Francis Boyle, docteur en droit international de l’université de l’Illinois, a été conseiller de plusieurs gouvernements, dont celui de Bosnie-Herzégovinne et de l’Autorité Palestinienne. Il a représenté de nombreux organismes internationaux dans le domaine des crimes de guerre et de génocides, mais encore dans la politique nucléaire et la guerre biologique. Il est aussi l’auteur d’un ouvrage à succès : « Détruire la Libye et l’ordre mondial ».

Pour Francis Boyle, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une arme biologique conçue au sein d’un laboratoire P4 de Chine, et notamment celui de Wuhan, et qui a échappé à son contrôle. Depuis les années 80, Francis Boyle met en garde contre la recherche sur les armes biologiques, notamment celles lancées après les événements du 11 Septembre 2001.

« Depuis le 11 septembre, les États-Unis ont dépensé 100 milliards de dollars pour la recherche sur la guerre biologique. L’Union soviétique a également beaucoup investi dans ce domaine, mais également le Royaume-Uni, la France, Israël et la Chine. Ils sont tous impliqués dans la recherche sur les armes de guerre biologique ».

… « Même l’Afrique est concernée, puisque les États-Unis y ont mis en place des laboratoires d’armes biologiques pour travailler sur Ebola, en pleine illégalité à l’égard du droit international ».

« Tous ces pays ont-ils l’intention d’utiliser des arme biologique ? Bien évidemment, c’est la seule raison pour laquelle ils les développent. C’est comme le projet Manhattan, nous avons investi tout cet argent dans le développement d’une bombe atomique. Et même si elle n’a pas été nécessaire pour mettre fin à la Seconde Guerre mondiale, nous avons cependant eu Hiroshima et Nagasaki ».

« J’ai rédigé la législation nationale américaine pour la mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques, approuvée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès des Etats-Unis et promulguée par le président Bush père. Il semble que le coronavirus dont nous traitons ici est une arme de guerre biologique offensive, développée dans le laboratoire de Wuhan. Je ne dis pas que cela a été fait délibérément. Je ne sais pas comment et qui est à l’origine d’une fuite, mais il y a plusieurs rapports précédents témoignant de problèmes avec ce laboratoire… ».

Pour le Dr Francis Boyle, la thèse de l’accident est à privilégier, « même s’il faut savoir que le gouvernement chinois ne fait que de la propagande et dit des mensonges. Même l’OMS est impliquée dans ce drame et quoi que disent ses porte-parole à ce sujet, on ne peut pas les croire. L’Organisation Mondiale de la Santé est très dépendante de Big Pharma. Il faut savoir que 50 % du financement de l’OMS provient des sociétés pharmaceutiques. Quant au CDC, il est également gravement compromis. ».

« On vous raconte n’importe quoi. Je puis vous assurer que le vaccin existe déjà. J’ai le brevet ici et il fait 25 pages, mais les grandes sociétés pharmaceutiques veulent gagner de l’argent et donc on va vous dire que cela prendra plusieurs mois. Tous les hauts responsables de l’OMS et du CDC, comme de Fort Detrick, laboratoire militaire P4 américain, savent qu’il existe déjà un vaccin breveté… »  (www.brighteon.com)

Il est à noter que le scénario conçu avec le concours du Johns Hopkins Center for Health Security et de la Bill & Melinda Gates Foundation anticipait une pandémie mondiale. Francis Boyle est sans équivoque à ce propos :

« La guerre biotechnologique, peu importe comment on peut l’appeler, peut-être utilisée comme un prétexte pour la centralisation du pouvoir politique et la suppression de nos libertés civiles. Je rappellerai qu’à l’époque des attaques à l’anthrax, en octobre 2001 aux États-Unis, ce sont des agences secrètes du gouvernement américain qui en furent à l’origine. Il s’agissait d’un anthrax de qualité supérieure, flottant dans l’air uniquement comme un pur produit de laboratoires d’armes biologiques sophistiquées que l’on produit à Fort Detrick. Les politiciens ont ensuite utilisé cette attaque à l’anthrax, y compris le Congrès américain, pour justifier le USA Patriot Act qui a transformé les États-Unis en un état policier, ce que nous avons toujours actuellement ».

Conflit Soros/Xi Jinping

George Soros, a eu plusieurs démêlés avec certains des dirigeants les plus puissants du monde, dont le président chinois Xi Jinping. En octobre 2019, alors que les dirigeants mondiaux se réunissaient au Forum économique mondial de Davos, George Soros dénonçait le régime autocratique de Pékin, le décrivant comme « l’ennemi le plus dangereux car le plus développé en intelligence artificielle ». Soros a lancé à plusieurs reprises des menaces ouvertes contre la Chine.

Si l’intelligence artificielle est utilisée à échelle transnationale pour contrôler les masses, c’est semble-t-il acceptable pour Soros. En revanche, faire un usage national de ces technologies est inacceptable pour les mondialistes. Par conséquent, le torchon brûle entre mondialistes et nationalistes chinois qui n’entendent pas se plier aux exigences de réseaux transnationaux. Cette guerre larvée est sans doute à l’origine de la pandémie de coronavirus.

À Wuhan, il existe un laboratoire P4 travaillant sur les coronavirus associé à l’Université de Wuhan. Il s’agit de Wuxi Pharmatech Inc. Soros a pris des participations dans ce laboratoire comme l’atteste le rapport de l’United States Securities and Exchange Commission du 31 mars 2011. L’homme n’est plus actionnaire de Wuxi depuis quelques années. Mais tout laboratoire P3 ou P4 est stratégique pour le Club des milliardaires mondialistes. De ces laboratoires sortent directement ou indirectement les vaccins et les armes biologiques, des marchés très lucratifs. Le réseau transnational des milliardaires auquel Soros appartient, agit comme un seul homme influençant tous les domaines de notre société via des milliers de holding et entreprises à travers le monde.

Cette caste mondialiste a la capacité stratégique de saboter des laboratoires P4 sur tous les continents y compris en Chine. Ces mondialistes fous ont toujours évoqué une crise économique ou une pandémie qui leur permettrait d’instaurer un Ordre Mondial Unique. Cette pandémie est artificielle. Des souches différentes de coronavirus essaiment essentiellement dans les pays industrialisés équipés de laboratoire P4. Serait-ce un hasard ?

Sources : Natural News, The Lancet, Kla.tv, Journal of Virology

Publié dans Morphéus n°99, mai-juin 2020