Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vaccin contre le SRAS-CoV-2, maintenant appelé SRAS-CoV-19. Ces fabricants et leurs vaccins sont Pfizer (vaccin ARNm), Moderna (vaccin ARNm), Astrazeneca et le vaccin covid-19 Janssen. L’objectif de ces vaccins est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SRAS-CoV-2, désormais appelé SRAS-CoV-19.

Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas divulgué aux autorités de santé un bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins.

Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le vaccin Astrazeneca et le vaccin Janssen, en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vaccin. L’information sur les ingrédients spécifiques contenus dans ces vaccin est requise et nécessaire. Tout être humain doit être parfaitement informé sur ces injections expérimentales afin de prendre une décision éclairée.

Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vaccin et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués, qui sont contenus dans ces quatre vaccins contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vaccins sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier, en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays, sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg.

Méthodologie et techniques

Quatre « vaccins » ont été analysés, à savoir le vaccin Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent : la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire. Ils ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des « vaccins ». Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées, afin d’obtenir des résultats validés.

Explication des illustrations ci-dessus

Figure 1 : Vous pouvez voir à quoi ressemble une bombe à fragmentation d’oxyde de graphène réduit (rGO) dans le sang humain vivant. L’inoculation du vaccin anti-covid provoque une coagulation sanguine pathologique ! Il s’agit ici d’une micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO), visualisé dans le sang humain avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie « empiler ».

Figure 2 : Images de fractions aqueuses contenant de l’oxyde de graphène réduit provenant de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite). (Microscopie optique à contraste de pHase, 600X.)

Figure 3 : La figure 3 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l’oxyde de graphène, en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L’image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

Figure 4 : Pour une identification définitive du graphène par TEM, il est nécessaire de compléter l’observation par une caractérisation structurelle, en obtenant un échantillon standard caractérisé par diffraction électronique (figure 4b).

L’échantillon standard, correspondant au graphite ou au graphène, a une symétrie hexagonale et présente généralement plusieurs hexagones concentriques. La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19.

Figure 5 : En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre la figure 5. Il s’agit d’un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées. Les zones linéaires plus sombres semblent être un chevauchement local des feuilles et un arrangement local des feuilles individuelles parallèlement au faisceau d’électrons.

Figure 6 : Elle montre des débris de 20 microns de longueur, identifiés dans le soi-disant « vaccin » Pfizer, contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

Figure 7 : Elle montre des parasites Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Ce type de parasite est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote. La figure 7 est une micrographie par microscopie à contraste de pHase : parasite trypanosoma cruzi vivant dans du sang.

Figure 8 : Elle montre un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable. Il est composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le « vaccin » d’Astrazeneca. Il a été observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie, qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

Figure 9 : Elle  montre un agrégat organique-inorganique identifié dans le « vaccin » de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une « colle à base de carbone » d’oxyde de graphène réduit. Cet agrégat hautement magnétique peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et « l’effet Corona » ou « l’effet protéine en pointe », créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles.

Figure 10 : Il s’agit d’une analyse plus détaillée du « vaccin » Moderna. Elle révèle un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore.

Figure 11 : Entités d’oxyde de graphène réduit, à base de carbone dans le « vaccin » Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium. C’est un complexe d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium, vu par microscopie électronique à transmission.

Figure 12 : « L’effet Corona » et la « protéine de pointe » créés de manière endogène, sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique, dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes ! Il s’agit de « l’effet Corona » sur les globules rouges. Il est causé par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires, provenant d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques de 2,4 GHz ou d’un empoisonnement chimique. Ce dernier provient de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique et, pour couronner le tout, d’une inoculation de vaccins CoV-19 à base de nano-particules chargées de produits chimiques !

Conclusion

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont pas des « vaccins » mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène. Ils sont composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés (ARNm) provenant de cellules animales et de cellules fœtales humaines avortées. Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vaccins sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires (plantes, insectes, oiseaux, animaux et humains), ainsi que pour leur génétique. Cette toxicité a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions dans le monde) selon le docteur Robert Young.

Le dossier complet du Dr Robert Young est utilisé comme pièce aux dossiers juridiques défendus par l’association Réaction 19 dirigée par maître Carlo Brusa.

Ce dossier est téléchargeable sur le site de réaction 19 :

https://reaction19.fr
Morphéus n°109, janvier 2022