Nous vous présentons ci-dessous un macro convertisseur Bedini à 30 bobines publié sur le site eveilhomme.com.

 

Au symposium du centenaire de l’arrivée de Tesla aux USA, en Août 1984, John Bedini avait présenté un convertisseur dont plusieurs ingénieurs attestèrent un rendement de 800 %, soit 8 fois l’énergie injectée. Ce convertisseur, de type Tesla, de la taille d’une boîte à cigares, a fourni du courant pendant 24 heures, lors du symposium ; pourtant, après cela, ses batteries cadmium / nickel restèrent complètement chargées ! C’est Ronald Brandt, un ami de Tesla, qui a donné l’idée de cet appareil à Bedini. On dit que Brandt lui-même utilise un convertisseur depuis des années, sans aucune perte de charge des batteries.

Au lieu de breveter son système, Bedini a présenté puis offert aux assistants du symposium les schémas permettant de construire son appareil. Il aussi donné la méthode de construction d’un tube amplificateur de Moray. John Bedini a travaillé avec Floyd Sweet et le colonel Thomas Bearden de l’armée US.

Plus de 26 chercheurs indépendants ont pu reproduire avec succès, et à peu de frais, son appareil. On peut obtenir ce rapport  « Générateur à Energie Libre de Bedini » auprès de Tesla Book Company 1580 Magnolia Avenue P.O. Box 121873, Chula Vista, CA 91912 USA. Pour les enregistrements de la présentation historique de Bedini, ceux de Watson et d’autres chercheurs, s’adresser à  « The Tesla Centennial Symposium 1984 », PO Box 38445, Colorado Springs, CO 80937 USA.

 

Rappel

La science académique explique qu’il n’est pas possible de créer plus d’énergie qu’on en consomme. C’est un principe de physique incontournable dans une physique 3D et elle est vraie. Cependant, les systèmes dits à « énergie libre » créent une singularité et puisent une énergie émergeant d’une quatrième dimension. Ce nouveau principe plonge ses racines dans les équations quaternioniques de Maxwell qui furent étudiées par Tesla et évoquées dans Morphéus. En chaque point de l’espace, grâce à une singularité, on dispose donc d’une énergie infinie. Telle sera la nouvelle révolution copernicienne du 21ème siècle qui mettra un terme au problème d’énergie sur notre planète. Pour les sceptiques, vous disposez des adresses ci-dessus pour fabriquer un Bedini et vérifier par vous-même !

 

Problèmes énergétiques créés de toute pièce

Selon l’ancien rapporteur de l’ONU Jean Ziegler, nous produisons sur Terre suffisamment de nourriture pour nourrir 12 milliards d’individus. Nous produisons trop et gaspillons une énergie considérable pour ce faire. Comme nous produisons trop, pour répondre aux logiques de marché, nous devons dépenser une gigantesque énergie pour détruire le surplus de production. On organise ainsi la pénurie et le maintien des prix. A l’échelle mondiale le gâchis est la norme pour répondre aux logiques hyper-capitalistes.

 

Si l’énergie vient à être gratuite, nous changeons de logique économique. Nous passons à une économie distributive planétaire. Elle impliquera que nous produisions la juste quantité de nourriture nécessaire à l’humanité. Cette dernière devra être distribuée et garantie à tous en échange d’un travail pour la collectivité. L’équilibre retrouvé, nous ne dépenserons plus d’énergie à trop produire, et à détruire les  surplus de production. Appliquer ce système à tous les besoins humains sera la règle, en interdisant pénalement toute obsolescence programmée des produits. D’ailleurs, l’obsolescence programmée est déjà punie par la loi depuis 2015 mais non appliquée. Telle est la seule vraie voie écologique raisonnable qui fera disparaître naturellement toute éco-taxe.

 

Taxe carbone et réchauffisme

Rappelons que l’atmosphère terrestre est composée de 78 % d’azote et 20 % d’oxygène. Le CO2 qui ne représente que 0,03 % est essentiel à la croissance des plantes. Or, tout est focalisé sur ces 3 centièmes de l’atmosphère terrestre pour inventer une taxe. Après la taxe carbone pourquoi ne pas inventer une taxe krypton, une taxe argon ou que sais-je encore ? Notons que ce sont les lobbies qui nous contraignent à utiliser des véhicules à essence ou à fuel, alors que bien d’autres systèmes cachés totalement non polluants, existent depuis plus d’un siècle (voir nos précédentes publications).

 

Par ailleurs, personne ne se demande comment Al Gore a été financé pour faire sa tournée mondiale alarmiste. Qui a financé le GIEC (Groupements d’Experts sur l’Evolution du Climat) ? Ce n’est autre que Goldman Sachs. Cette banque qui a ruiné le peuple grec et tant d’autres, cette banque qui ne vise que les profits aux dépens de la planète et des populations se serait subitement convertie à l’écologie pour le bien de tous ? Vous y croyez ? Où est le loup ?

 

Bienvenue chez Machiavel

Dans toutes les négociations entre états et banques, un paramètre essentiel est toujours sur la table. La banque demande comme garantie pour ses prêts, une augmentation des taxes sur la population. Elle prête en général à cette condition. En clair, puisque nous empruntons sur les marchés internationaux (Goldman Sachs en est un des principaux acteurs), le jeu est simple. Si vous appliquez la taxe carbone à vos populations, vous aurez des prêts à taux avantageux. Si vous refusez d’imposer cette taxe, on vous oppose un refus de prêt. La messe est dite et l’idéologie réchauffiste est de mise pour faire avaler la pilule aux populations. Pire, l’entourloupe est telle qu’une frange de la population réclame elle-même une taxe. C’est du grand art, bienvenue chez Machiavel !

 

Toujours plus d’argent toujours moins d’écologie

Plus on injecte d’argent dans le système actuel, plus ce système ravage la planète, puisqu’il fonctionne sur la surproduction et la destruction des surplus pour répondre aux intérêts de 1 % de la population. On ravage des régions entières pour avoir des métaux rares, on construit des systèmes éoliens non performants, on impose le moteur à explosion et la high tech pour tous en détruisant toutes nos ressources terrestres. On nous présente des programmes de transition écologique abscons, stériles et destructeurs à terme mais sous étiquette verte. Dans un monde d’hommes libres, le terme « liberté » n’existe pas. Dans une civilisation naturellement en symbiose avec sa planète, le terme « écologie » n’existe pas. Tout est dit !

 

Violence du vieux système

Bahnion Andrew, Biefeld Brown, Charles F. Casimer, Otis T. Carr, Dr. Richard Clarke, Stanley Meyer, De Palma Bruce, David Hooper, Huaro Yamashita, Jones Hutchinson, Keely John, Laithwite Eric, Lazar Robert, Li Nuig, Francis Nieper, Marcel Pages, Searl John, Schauberger Vicktor, Nikola Tesla, Henry Woodward, Henry Bull, Roschin Vladimir, Godin S, Volfson Boris, etc., nous pourrions citer plus d’une centaine de génies qui développèrent des systèmes à énergie « quaternionique » et qui déposèrent des brevets. Le vieux système aura été d’une violence extrême avec tous ces hommes qui ne visaient qu’une seule chose : le bien de l’humanité. Le choc en retour pour ceux qui bloquent toujours notre technologie terrestre sera à la hauteur de ce qu’ils ont fait subir à ces hommes de génie…

 

Source : eveilhomme.com

F. Morin

Publié dans Morphéus n°98 mars avril 2020