Le sujet du contrôle mental basé sur les traumatismes a pour point central la maltraitance physique et psychologique des enfants. L’enfant est au cœur de l’œil du cyclone qui s’en nourrit. C’est la boîte de Pandore qui ravage actuellement notre société… La pureté et l’innocence incarnée sont dans le collimateur des sorciers contrôleurs.

De temps en temps, une affaire de pédophilie est jetée en pâture au public, généralement le démantèlement d’un cyber réseau, mais tout ceci est l’arbre qui cache la forêt…

Pourquoi est-ce qu’en France, le système judiciaire semble systématiquement protéger les violeurs d’enfants au détriment des protecteurs d’enfants qui les dénoncent ? Pourquoi, dès qu’il s’agit d’une affaire de pédocriminalité, le rouleau compresseur judiciaire se met en branle pour broyer le dossier mais aussi les gens ? Pourquoi la France a-t-elle été rappelée à l’ordre dans un rapport de l’ONU datant de 2003 ? Une enquête, qui a été menée en France par le rapporteur Juan Miguel Petit et qui a été présentée devant la 59e session de la commission des droits de l’homme de l’ONU. Ce rapport officiel préconisait :

« qu’un organe indépendant mène de toute urgence une enquête sur les carences de la justice à l’égard des enfants victimes de sévices sexuels et des personnes essayant de les protéger (…) Étant donné le nombre de cas laissant apparaître un grave déni de justice pour les enfants victimes de sévices sexuels et les personnes qui tentent de les protéger, il serait bon qu’un organe indépendant, de préférence la Commission nationale consultative des droits de l’homme, mène de toute urgence une enquête sur la situation actuelle ».

Il est par exemple noté en page 14 du rapport :

« Le Rapporteur spécial a évoqué les énormes difficultés auxquelles sont confrontées les personnes, en particulier les mères, qui portent plainte contre ceux qu’elles soupçonnent d’abuser de leurs enfants sachant qu’elles s’exposent à des mesures éventuelles pour accusations fallacieuses, mesures qui, dans certains cas, peuvent conduire à la perte de la garde de leur(s) enfant(s). Certaines de ces mères utilisent les voies de recours légales jusqu’à ce qu’elles n’aient plus les moyens de payer les frais d’assistance juridique ; il leur reste alors seulement le choix, ou de continuer à remettre l’enfant à celui qui, selon elles, abuse d’elle ou de lui, ou de chercher refuge avec l’enfant à l’étranger.

Il semblerait même que certains juges et avocats, conscients des faiblesses du système judiciaire, aient conseillé officieusement à certains parents d’agir de la sorte. Ces parents s’exposent à des poursuites pénales pour de tels actes, en France et, souvent, dans le pays où ils se rendent ».

En effet, de nombreuses mères ont dû littéralement fuir la France faute d’une réelle protection face au réseau pédocriminel institutionnel. Pourquoi autant de mères harcelées et persécutées voire même enfermées en hôpital psychiatrique pour avoir naturellement dénoncé les viols sur leurs enfants ? Pourquoi un dossier aussi lourd que celui des fichiers de Zandvoort reste-t-il dans les cartons du ministère de la justice, sans qu’aucune enquête ne soit lancée ?

 Pourquoi une trentaine de témoins clés ont-ils été retrouvés mort dans l’affaire Dutroux ? Cette célèbre affaire belge est un cas d’école pour comprendre comment on étouffe un dossier lorsqu’il commence à remonter jusqu’aux aux « gros poissons » du Réseau… Pourquoi tout est orchestré pour méthodiquement faire passer les enfants pour des menteurs ? Pourquoi tout est fait pour discréditer systématiquement la parole des survivants adultes, en utilisant par exemple le « syndrome de faux souvenirs » ou en s’appuyant sur leurs troubles psychiques pour réduire à néant leur parole ? Pourquoi le domaine de la psychotraumatologie est-il à ce point laissé de côté par les institutions dites de santé publique ? Pourquoi les conséquences des profonds traumatismes, c’est à dire la dissociation et l’amnésie traumatique, sont-elles globalement occultées et évincées du débat public ?

La consommation et le modelage d’enfants semblerait être la chasse gardée d’une certaine élite insoupçonnable, mais c’est aussi une machine institutionnelle bien huilée qui leur permet de pratiquer leur vice en toute quiétude ; jusqu’à quand ?

Le rapport de l’ONU cité plus haut qui demandait une intervention d’urgence sur la situation française nous apprend également que dans plusieurs cas qui ont été communiqués au Rapporteur spécial, il a été signalé que les individus accusés de commettre des abus étaient étroitement liés à des membres de l’appareil judiciaire ou à des individus occupant de hautes fonctions dans l’administration publique. Ces derniers usaient de leur influence dans les procédures. Mais selon les autorités politiques, journalistiques, policières et judiciaires, il n’existe pas de réseau pédocriminel en France, circulez !… Ne devrions-nous pas plutôt dire qu’il est entre de « bonnes mains » ?…

Dans le documentaire de Karl Zéro, Le fichier de la honte (13e Rue, 2010), on y voit le rapporteur de l’ONU Juan Miguel Petit déclarer : « Il y a eu des plaintes et des dénonciations précises de mères qui se disent poursuivies par des groupes, pouvant être assimilés à des mafias ou à des loges, organisant la pornographie infantile ».

Le silence des médias mainstream français sur toutes ces questions interpelle. Beaucoup de journalistes, souvent payés par les contribuables, censés nous informer sur la réalité de notre société, semblent aujourd’hui pleinement participer à un programme d’ingénierie sociale visant à maintenir les gens dans une certaine réalité comparable à une matrice.

En avril 2005, François Léotard (ancien ministre de la Défense) a déclaré aux journalistes en face de lui sur une grande radio française :

« Je pense que vous et vos confrères, si vous le permettez, sous-estimez une partie de l’actualité qui est complètement immergée, complètement inconnue des médias. Vous avez actuellement en France 35 à 40 000 personnes qui disparaissent chaque année… qui disparaissent ! C’est assez fascinant et personne ne se penche sur ces milliers de disparitions. Il y a des suicides qui sont de faux suicides, des accidents de voitures qui sont des assassinats, il y a des gens qui partent et que l’on ne retrouve pas car ils ont voulu changer d’identité… Ce que je veux dire, c’est qu’il y a un monde occulte, caché, souterrain, sous-marin, que au fond personne ne cherche à découvrir ».

Lorsque François Léotard parle de « gens qui partent et que l’on ne retrouve pas car ils ont voulu changer d’identité », nous pouvons vraisemblablement mettre dans cette catégorie toutes les mères qui ont fui la France pour protéger leurs enfants de la persécution pédocriminelle institutionnelle.

Le 2 mars 2009, Rachida Dati (alors ministre de la Justice) a donné une conférence de presse à l’occasion de « la journée des enfants ». Lorsque Aude Chaney, la représentante de l’association « Estelle Mouzin », pose la question à la ministre : « Combien de disparitions inexpliquées, tel le cas d’Estelle Mouzin, sont à déplorer en France ? », Rachida Dati semble incapable d’avoir une réponse claire à cette question pourtant simple et précise. Elle se tourne alors vers ses conseillers, mais personne n’est capable d’apporter un chiffre exact à cette question visiblement très embarrassante. Une gêne palpable s’est alors installée dans cette salle remplie de journalistes et de familles de victimes. Il est étonnant que dans un pays comme la France, le nombre d’enfants qui disparaissent chaque année soit ignoré ou alors non rendu public car trop important !

Sur cette troublante question, voici ce que déclare le journaliste Serge Garde : « La France est un pays qui regorge de statistiques, où l’on sait par exemple combien de saumons remontent la Loire chaque année, mais on ne sait pas combien d’enfants disparaissent ».

 En 2001, Serge Garde avait déjà demandé à un parlementaire de poser la même question à la Garde des Sceaux alors en place, Marylise Lebranchu. Elle avait répondu d’une manière embarrassée : « Je ne peux pas vous donner de chiffres, parce que… c’est impossible ».

Le 20 novembre 2001, Marylise Lebranchu a pourtant déclaré devant l’Assemblée nationale que 800 enfants s’étaient volatilisés en France en 2000, tout en confirmant qu’il n’existe aucun chiffre concernant les disparitions de mineurs.

Fritz Springmeier décrit sans détour l’étendue de ce fléau dans notre monde moderne. Sa déclaration semble à première vue alarmante mais, au final, se trouve être plutôt éclairante pour comprendre certains rouages (et certains blocages) de notre société moderne.

« Le contrôle mental consiste à infiltrer et à contrôler la société de derrière la scène. Il faut intégrer cela si l’on veut contrôler une institution comme le lobby médical par exemple. Vous devez placer des gens sûrs à des postes clés parce qu’un maillon faible dans la chaîne finira toujours par lâcher. Vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir des maillons faibles. Si vous souhaitez contrôler le système médical d’un pays, alors vous devez contrôler un très large spectre d’éléments comme le système hospitalier, les facultés de médecine, l’Ordre des médecins, etc. Tout cela exige que des esclaves MK soient disposés à tous les niveaux du système, à tous les points stratégiques… Si l’on ne comprend pas les tenants et les aboutissants de la programmation mentale, on ne peut pas comprendre comment il est possible de disposer d’un tel type de contrôle global sur la société ».

Le célèbre pirate informatique Kevin Mitnick a déclaré : « Le maillon faible dans tout système de sécurité réside dans le facteur humain ». Pour pouvoir sécuriser un système de domination à l’échelle mondiale, il est donc impératif de mettre en place un piratage de l’esprit des pions humains placés aux postes stratégiques, derrière les façades démocratiques.

MK Abus rituels et contrôle mental,
Lebreton, pp. 643-648,
Morphéus n° 102, novembre 2020