Des radars spéciaux ont été créés pour les personnes ayant un certain niveau de luminosité spirituelle. Une fois détectées, elles sont ciblées par ce radar et commencent à subir une certaine intensité de traitement psychotronique, qui se traduit par de la fatigue, un esprit obscurci, de l’apathie, de la dépression et même des pensées suicidaires. Dans certains cas, selon Alexander Matantsev, le radar peut également contribuer à implanter des entités démoniaques qui suppriment la personnalité jusqu’à 80 à 90 %. La personne ciblée devient agressive et incompétente.

Pourquoi les personnes les plus évoluées psychiquement sont-elles des cibles ?

Toute faculté parapsychique humaine constitue un danger pour le complexe militaro-industriel des armes psychotroniques. Sans aucun matériel électronique de détection ou autre, une personne douée de facultés parapsychiques peut voir les effets d’une onde psi sur ses corps physique, psychique et subtils. Elle peut remonter les ondes jusqu’aux émetteurs, les décrire, les dénombrer, les géolocaliser et décrire les technologies employées.

Elle peut, par ondes psychiques, renvoyer la charge à ses harceleurs qui vont alors subir en retour tous les effets destructeurs de leur propre technologie ondulatoire. Tous les opérateurs de harcèlement électronique s’exposent à de tels risques. Ils doivent être régulièrement remplacés à cause de cet effet ondulatoire boomerang.

Un individu doué de facultés supérieures peut, par définition, décrire des technologies psychiques classées secret défense. Les facultés parapsychiques sont donc considérées comme un danger pour la sécurité nationale des pays industrialisés qui visent l’emprisonnement psychique des populations.

Ainsi, les individus reconnus évolués sont généralement cooptés par des services spéciaux en relation avec des unités militaires psy. Si ces individus n’obtempèrent pas et refusent de travailler pour l’armée, ils deviennent des cibles privilégiées et sont harcelés toute leur vie.

Dans un entretien accordé à la Rossiyskaya Gazeta, le général russe Boris Ratnikov explique les choses en ces termes :

« Au XXe siècle, la pratique magique des anciens prêtres est devenu un sujet de recherche scientifique qui a immédiatement attiré l’attention des services spéciaux. Une attention particulière a été accordée à ce problème en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Union soviétique. Dans notre pays, par exemple, presque toutes les personnes dotées de capacités surnaturelles étaient contrôlées par les autorités de la sécurité de l’État. Vous ne pouvez même pas imaginer quel genre de guerre des cerveaux s’est déroulée dans ce domaine dans la première moitié du siècle dernier.

« J’exagère à peine si je dis que parfois de véritables batailles « astrales » ont eu lieu. Et tout cela était classifié et camouflé, probablement pas moins que le projet nucléaire. Publiquement, la science a qualifié ces recherches d’obscurantisme. Mais secrètement, des scientifiques s’y sont sérieusement engagés dans des laboratoires spéciaux et des instituts fermés. Au milieu des années quatre-vingt, les problèmes de création de psycho-générateurs et d’influence à distance sur le psychisme humain ont été étudiés dans presque tous les pays développés.

« De sérieuses expériences scientifiques ont été menées. Et le cercle de ceux qui ont réussi par rapport au début du siècle s’est considérablement élargi. En URSS, en général, ils ont réalisé à temps l’importance de ce problème, ainsi que le danger posé par la possibilité d’envahir la conscience de quelqu’un d’autre et de la manipuler. Les possibilités d’influence à distance sur le psychisme dans notre pays ont été étudiées par une cinquantaine d’instituts. Les crédits à ces fins s’élevaient à des centaines de millions de roubles ».

Gazette Russe, N4254. Secrets de magie du KGB,
par Sergey Ptichkin, source : https://rg.ru.

Guerre à l’homéopathie

Certains académiciens se donnent beaucoup de mal pour créer des commissions destinées à lutter contre les pseudosciences et la falsification de la recherche scientifique. Ces organismes agissent comme des écrans de fumée pour cacher la réalité des armes psychiques et leurs capacités de manipulation mentale. En France, la guerre contre la médecine homéopathique est liée au fait que l’homéopathie empiète sur les champs d’action psychotroniques et informationnels.

Les portiques et émetteurs psychotroniques

Outre les émetteurs HAARP et GSM bien connus, un type d’émetteurs des plus courants est le portique détecteur de métaux utilisé dans les aéroports et les gares, qui s’est généralisé après les célèbres événements de Volgograd. Il intègre des dispositifs psychotroniques. Ces portiques font partie d’un réseau destiné à surveiller les déplacements de certaines personnes répondant à certains critères. Ils s’activent pour cet usage, ils sont intégrés au sein d’un vaste réseau. Bien sûr, ils peuvent aussi fonctionner comme un outil de suppression de la conscience. En substance, le portique est semblable au dispositif d’une tour GSM mais sa construction est légèrement différente.

Certains ouvrages d’art sont équipés de dispositifs psychotroniques. Le « pont pittoresque » de Moscou est équipé d’un belvédère très particulier. Toute personne sensible ressent l’influence du dispositif. Il s’avère que ce dispositif pose des balises dans l’aura. Il contrôle les flux entrants et sortants, accordant une attention particulière aux personnes possédant un potentiel psy. C’est une sorte de douane mentale moscovite.

Des psycho-générateurs dans le mobilier urbain ?

Outre les antennes relais qui peuvent potentiellement être équipées de dispositifs psychotroniques agissant sur les populations, d’autres technologies plus profondes sont envisageables. Des psycho-générateurs nouvelle génération utilisent un rayonnement électromagnétique pour influencer le cerveau et l’organisme humain dans son ensemble. Le corps est vu comme un circuit électro-mécanique. Ce type d’appareil peut littéralement interrompre les impulsions électromagnétiques du cerveau. Il peut faire de l’humain un bio-robot.

Ces types de technologies, et bien d’autres sont intégrées dans les Smart Cities (villes intelligentes). Dans ces villes du futur, tous les réseaux électriques, lumières, équipement urbain, téléphonie,  aduction d’eau, internet, sont couplés à des appareils psychotroniques assistés par intelligence artificielle. Dans un tel milieu, l’individu ne sera plus qu’un bio-robot connecté de manière permanente à toutes ces technologies de calibrages psycho-corporels. Il s’agit de véritables prisons psychiques servant les intérêts d’une caste mondialiste.

Y a-t-il un consensus international pour robotiser l’humanité ?

Les projets de Smart Cities et de robotisation de l’humain sont constamment débattus au Forum de Davos sensé réunir toute l’élite mondialiste. Les velléités occidentales pour démanteler, à terme, la Russie et la Chine, se sont heurtées à un regain de nationalisme dans ces pays. L’opération spéciale russe en Ukraine a marqué un coup d’arrêt aux programmes de Davos en février 2022.

Un second coup d’arrêt est venu de la Chine avec l’éviction de Hu Jintao (branche mondialiste chinoise) en octobre 2022. Enfin, en janvier 2023, la Chine et la Russie ont définitivement tourné le dos à Davos. Depuis, nombre de pays africains, asiatiques, sud américains et moyen-orientaux se tournent vers le duo Xi/Poutine pour sortir des griffes des mondialistes occidentaux.

En clair, à ce jour, plus de 80 % de la population mondiale est parfaitement consciente des plans sordides de Davos et les combat. Un nouvel ordre international est en train de naître. Dans cette nouvelle ère, la question des armes psychiques devra être un thème central. Il devra être porté par des citoyens conscients qui devront se faire entendre par tous moyens à l’échelle internationale. Si ce thème n’est pas porté par la nouvelle élite internationale, il faudra alors la combattre aussi, jusqu’à obtenir le droit sacré de la liberté psychique et spirituelle sur cette planète…

Frédéric Morin
Sources : Articles et travaux de Boris Krutikov,
Alexander Matantsev & le général Boris Ratnikov
(traduit du russe :  R. Skotarek)

Morphéus n° 116, mars 2023