Qu’est-ce que le Vatican depuis Paul VI ? Ce dernier canonisé en octobre 2018 n’est-il pas à l’origine de l’implosion de la Chrétienté depuis Vatican 2 ? Qui était vraiment cet homme ?

Les faits rapportés ici ne sont pas issus de sources anticléricales ou antichrétiennes. Elles viennent de l’intérieur même de l’Eglise et de services de renseignements extérieurs auxquels participèrent certains jésuites membres des services secrets du Vatican durant et après la Seconde Guerre mondiale. Tout ce qui est évoqué ici était connu du Général des Jésuites, Pedro Arrupe, ainsi que des congrégations à travers le monde. Ces informations témoignent d’une guerre secrète sans merci à l’intérieur de l’Eglise chrétienne, avant et après Vatican 2.

MEURTRES EN SÉRIE AU VATICAN

PIE XI refusant de s’aligner sur la politique de Mussolini sera assassiné le 10 février 1939.

PIE XII lui succédant, mourra empoisonné le 9 octobre 1958. Son visage était devenu vert, témoignant de la virulence du poison.

JEAN XXIII lui succédant sera à son tour empoisonné. Il mourra le 3 juin 1963. Son corps était violacé et enflé, mais là encore aucune information ne filtrera en direction des fidèles.

Enfin, Paul VI prendra la tête du Vatican. La liste des assassinats s’allongea. Notons ici le meurtre du Révérend Père Tisserant empoisonné, et le meurtre du Révérend Père Daniélou. En fait, nous pouvons parler d’une véritable hécatombe à l’intérieur des cercles jésuites et des services secrets du Vatican jusqu’en 1981, date de l’accident vasculaire cérébral du Général des Jésuites Pedro Arrupe, qui était en possession de dossiers très compromettants concernant Paul VI, alias Giovanni Montini.

LES DOSSIERS DU GÉNÉRAL ARRUPE SUR PAUL VI (GIOVANNI MONTINI)

Si les dossiers internes au Vatican ne sortent jamais de ses murs, en revanche les dossiers jésuites externes au Vatican furent en partie rendus publiques. On peut citer Maurice Guignard comme un des principaux porte-parole des jésuites. Il ne sera jamais démenti par la hiérarchie jésuite. En revanche, il sera taxé de nazi et de calomniateur par la papauté dans des articles de presse. Ces accusations sont largement démenties par les fonctions qu’exerçait Maurice Guignard durant la guerre. Membre de l’Intelligence Service britannique, membre des services secrets du Vatican, proche de De Gaulle, fait prisonnier durant la guerre, le jésuite Maurice Guignard fut un agent très actif supportant l’effort des Alliés contre l’hitlérisme.

Dans une lettre ouverte de juillet 1972, Maurice Guignard évoque les frasques du futur pape Paul VI (Giovanni Montini) alors qu’il était secrétaire d’Etat du pape Pie XII.

« Dans les milieux traditionalistes catholiques français, on aime rappeler qu’autrefois PIE XII chassa Montini de son poste de Secrétaire d’Etat parce qu’il l’avait pris en flagrant délit de compromission et d’espionnage avec les États du bloc soviétique.

En réalité cette affaire de compromission servit à PIE XII de prétexte pour chasser Montini. La cause déterminante était une affaire de moeurs.

Montini (futur Paul VI) et le Prince Orsini Filippo étaient d’intimes amis de débauche et fréquentaient les maisons closes de Rome, en payant des sommes énormes…

Le pape PIE XII ignorait tout cela jusqu’au jour où le pot aux roses fut découvert.

Les deux compères couchaient à tour de rôle sans le savoir avec une actrice britannique très attractive, Belinda Lee (22 ans), femme séparée de Cornel Lucas, producteur de films anglais.

Mais une certaine nuit, en remontant dans sa chambre, le prince trouva son ami Montini dans son lit entre Belinda Lee et une Orsini. La revue « der Spiegel » évoqua cette affaire en 1958, sans préciser si la fille Orsini était une sœur ou une cousine du Prince.

En tous les cas, Orsini fou de rage, jeta le futur pape complètement nu hors du lit et le poussa dans la rue. Il fut arrêté par la police pour atteinte publique à la pudeur. Il fut vite relâché lorsqu’on apprit qu’il s’agissait du secrétaire d’État du Vatican.

Lorsque le pape PIE XII apprit le scandale, il chassa Orsini et Montini du Vatican, sur les conseils d’Albert Polincastre, prince de la Maison de Manche-Normandie. On apprit ensuite que Montini (futur Paul VI), entretenait une Orsini dont il eut un fils qui se lança dans la politique. Dans les milieux diplomatiques du Vatican, on pensa toujours que Montini ne fut pas étranger à la mort de PIE XII et de JEAN XXIII ».

 

Les autres sous-titres :

  • ENQUÊTES JÉSUITES SUR MONTINI (PAUL VI)
  • ÉLECTION ET MÉTHODES DE MONTINI (PAUL VI)
  • ORIGINE DE LA FORTUNE DES MONTINI
  • AMENDEMENT DU CANON 1116
  • MAFIA ET VATICAN
  • PAUL VI ET LES USINES D’ARMEMENT
  • IMPLOSION DE LA CHRÉTIENTÉ AVEC PAUL VI

Intégralité du dossier dans Morphéus n°90 novembre 2018.