Les informations ci-dessous sont tirées du livre de Thomas Bearden « OBLIVION ». originellement il s’agissait d’un compte rendu sur les armes scalaires soviétiques, armes climatiques comprises, destiné à un conseiller d’Etat et à son ministre des Affaires étrangères.

Le développement de l’Interférométrie Scalaire

Il existe deux articles de E. T. Whittaker, l’un en 1903 et l’autre en 1904, qui détaillent le début de l’interférométrie scalaire. Peu après la Seconde Guerre mondiale, ces deux documents ont été le point de départ du développement par les scientifiques de l’Union Soviétique d’une science secrète d’armes appelées « armes énergétiques », qui a conduit à la mise au point de puissants interféromètres scalaires qui sont aujourd’hui détenus secrètement par au moins 10 nations dans le monde, et même par les Yakuza japonais.

En 1997, le secrétaire à la défense de l’époque, William Cohen, lors d’une conférence sur les armes de destruction massive (ADM), tenue en Géorgie sous les auspices du sénateur Sam Nunn, a publiquement confirmé ce type d’armes électromagnétiques sans en préciser les détails techniques. Il a également confirmé l’ingénierie météorologique, le contrôle du climat, l’induction de tremblements de terre et la stimulation des volcans jusqu’à l’éruption. Le secrétaire d’État Cohen a déclaré :

« D’autres [terroristes] se livrent même à un éco-terrorisme qui leur permet de modifier le climat, de déclencher des tremblements de terre, des éruptions volcaniques à distance, grâce à l’utilisation d’ondes électromagnétiques. Il y a donc beaucoup d’esprits ingénieux qui sont à l’œuvre pour trouver des moyens de semer la terreur dans d’autres nations. C’est réel, et c’est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts, et c’est pourquoi cela est si important ».

C’est la première fois (et à ma connaissance, la seule) qu’un haut fonctionnaire du gouvernement américain a confirmé ouvertement l’existence de ces super-armes. Il est donc évident que certaines parties de notre gouvernement sont au courant de l’existence de ces armes, mais il n’y a eu que peu ou pas de communication au public à ce sujet, sauf par la déclaration éclairante du secrétaire Cohen.

Les médias de l’époque — haletant fortement après le juteux scandale sexuel Clinton-Lewinski — ont totalement ignoré la déclaration stratégique historique de Cohen. Voilà pour la perspicacité de nos médias d’information !

Armes scalaires durant la guerre froide

Avant 1990, le climat de l’Amérique du Nord a été délibérément manipulé par le KGB – particulièrement à partir du 4 juillet 1976 — grâce à l’usage d’interféromètres scalaires géants installés sur le sol russe. Depuis le début du développement de ce programme qui a démarré juste à la fin de la deuxième guerre mondiale, le KGB a pris le contrôle exclusif du développement de nouvelles armes russes, sous l’appellation générique de « programme d’armes énergétiques ». Ce programme était consacré à la recherche et au développement éventuel de nouvelles super-armes hautement avancées, plus puissantes que la bombe atomique.

Les nouvelles super-armes furent développées, produites, adaptées et rendues opérationnelles par le KGB lui-même et ne furent jamais mises entre les mains des forces armées russes. S’adressant au Presidium, en 1960, Krouchtchev fit référence aux futures armes à interférométrie scalaire dans la déclaration suivante :

« Nous disposons d’une nouvelle arme — juste dans les cartons de nos scientifiques, pour ainsi dire — si puissante que, sans un usage restreint, elle pourrait balayer toute vie sur Terre ».

Les grands interféromètres scalaires stratégiques soviétiques furent déployés et devinrent opérationnels en avril 1963 — un peu trop tard pour que Krouchtchev puisse y recourir dans le cadre de la crise des missiles cubains, fin 1962. Cependant, la première arme opérationnelle fut utilisée pour détruire le sous-marin nucléaire USS Thresher, au cours de manœuvres au large de la côte Est des États-Unis, en avril 1963. Krouchtchev venait ainsi de faire la démonstration de la suprématie de ses nouvelles armes sur les sous-marins nucléaires (l’un des trois éléments majeurs du feu nucléaire stratégique des États-Unis). L’extension aux deux autres — les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) et les bombardiers stratégiques — était évidente.

Origine de l’accident nucléaire de Tchernobyl

En avril 1986, un petit groupe privé U.S. intervint pour prévenir un tremblement de terre géant, qui devait être provoqué par les interféromètres scalaires du KGB dans les régions de Los Angeles et de San Francisco. A l’aide d’un appareil électronique spécial, le groupe réussit à détruire soudainement l’un des transmetteurs distants de l’interféromètre scalaire soviétique – provoquant ainsi l’incident de Tchernobyl, centrale proche du transmetteur, mais sauvant par la même occasion quelque 200 000 vies américaines à Los Angeles et San Francisco, tout en prévenant de terribles destructions et des dommages économiques.

Acquisition de super-armes soviétiques par les Yakuza

Avec l’effondrement de l’économie de l’ancienne Union soviétique, à la fin de 1989, la situation financière russe était sinistrée. Avec l’aimable autorisation de la mafia russe — qui travaille directement pour le FSB/KGB — un groupe japonais hors-la-loi, composé des Yakuza et de la secte Aum Shinrikyo, s’est rendu en Russie fin 1989, a rencontré le KGB et a loué certains des grands interféromètres scalaires stratégiques du KGB sur place en Russie. L’acompte s’élevait à 900 millions de dollars américains en lingots d’or, et le montant de la location serait d’environ un milliard de dollars par an. Le paiement n’a posé aucun problème à l’équipe japonaise. Les Yakuza avaient arnaqué le contribuable japonais pour des centaines de milliards de dollars, jamais remboursés, et le groupe japonais pouvait donc facilement se permettre un tel leasing.

Les Yakuza et Aum Shinrikyo ont ensuite affecté des équipes à la gestion de ces sites de super-armes puis, ils ont commencé à mener des opérations d’ingénierie météorologique contre les États-Unis et d’autres cibles. La secte Aum Shinrikyo a même créé une petite université en Russie où la théorie et la technologie de l’énergie pourraient être enseignées aux équipes japonaises malhonnêtes par les scientifiques du KGB.

Après un long entraînement, en 1990, les équipes japonaises rebelles ont commencé à faire fonctionner les interféromètres loués, contre le monde entier, sous la supervision du FSB/KGB, à des fins d’ingénierie météorologique et autres.

Fin 2004, les opérations météorologiques artificielles  (notamment les ouragans Charlie, Frances, Ivan, Jeanne, etc.) se sont intensifiées et demeurent intenses, causant d’importants dommages économiques. Le programme consistait à influencer et  contrôler directement la puissance et le comportement de chaque ouragan, ainsi qu’à orienter sa trajectoire et sa vitesse vers sa cible. En effet, Ivan a effectué un virage de 180 degrés et Jeanne a fait une boucle de 360 degrés avant d’atteindre la Floride, démontrant ainsi un niveau de contrôle des tempêtes, sophistiqué et sans précédent.

Les météorologues reconnaissent des périodes d’augmentation de l’activité des ouragans pour diverses raisons, mais très peu d’entre eux considèrent que les humains provoquent délibérément des ouragans ou contrôlent leur direction, leur puissance et leur progression. Heureusement, quelques-uns en sont conscients.

En effet, en mars 2004, l’ouragan Catrina (le premier jamais enregistré dans l’Atlantique Sud) s’est formé et a touché terre au Brésil le 28 mars avec des vents de 150 km/h, causant des dégâts considérables. Ainsi, alors que l’on s’accorde à dire que les ouragans ne peuvent pas se former (naturellement) dans l’Atlantique Sud, celui-ci a fini par « battre tous les records ». Il semble que les Yakuza aient délibérément cherché à produire et  faire débarquer un ouragan là où les manuels indiquent qu’il est impossible de le faire, afin de vérifier si les gouvernements et les scientifiques occidentaux reconnaissent l’ingénierie météorologique artificielle. La réponse, bien sûr, est que — comme prévu — l’Occident n’a pas reconnu son importance ni qu’il s’agissait d’un « stimulus » artificiel. Les météorologues et les gouvernements occidentaux ont tout simplement ignoré l’ouragan Catrina considéré comme un petit phénomène intéressant mais sans importance.

Quelque temps après leur location des interféromètres russes en 1989, les Yakuza ont ramené au Japon la science et la technologie de l’électromagnétisme scalaire (énergétique). Là, ils ont créé leurs propres installations clandestines pour fabriquer de telles armes, y compris de petits interféromètres scalaires portables, des armes à impulsions électromagnétiques.

Prévenir une attaque d’armes à impulsions électromagnétiques

Des armes portables sélectionnées de ce type sont probablement déjà introduites aux États-Unis. Elles sont destinées à détruire le système d’alimentation électrique centralisé américain. La perte de notre système national d’alimentation électrique est destinée à provoquer l’effondrement catastrophique de toute l’économie américaine, suivi par la chute des économies d’autres nations occidentales par effet domino. (Le colonel Bearden parle ici d’un plan des Yakusa visant à détruire toutes les centrales électriques US avec des armes interférométriques. Selon lui, cette attaque devait survenir en 2006. Ce ne fut pas le cas. Persuadé qu’une telle menace pesait sur les Etats-Unis, il tenta de convaincre le gouvernement de changer de mode de production électrique en passant à des systèmes d’énergie du vide (EFTV).)

Malgré le risque, le gouvernement américain, la communauté scientifique, les services de renseignement et l’industrie électrique semblent totalement incapables de faire face à l’exigence désespérée de remplacer le plus rapidement possible l’ensemble de notre système d’alimentation électrique centralisé par des systèmes d’« énergie du vide » (EFTV) autonomes et sans carburant. Le simple fait de mentionner cette exigence évoque un glissement psychologique, un déni et des attaques personnelles féroces contre le promoteur. Elle suscite également une forte opposition de la part des puissants cartels de notre société — énergie, science, gouvernement, communauté environnementale, communauté financière et industrielle, etc. Ainsi, les États-Unis continuent de faire du « business énergétique » comme d’habitude, alors que l’horloge tourne au ralenti pour nous détruire.

Retrait de « l’énergie du vide » dans les systèmes électriques

Les systèmes d’alimentation électrique qui tirent librement leur énergie du vide, plutôt que du carburant, sont supprimés dans le monde entier par plusieurs grands et puissants cartels — y compris dans la communauté scientifique américaine — et depuis quelque temps, les Yakuza ont supprimé tous les systèmes EFTV développés avec succès au Japon.

Dans le cadre de leur plan prévu pour détruire l’économie américaine en anéantissant notre approvisionnement en électricité, les Yakuza ont retié plusieurs de ces systèmes légitimes d’alimentation électrique surunitaire japonaise (tels que le moteur magnétique Wankel de Takahashi et le moteur Kawai) pour empêcher leur commercialisation.

Si ces systèmes japonais déjà développés étaient autorisés sur le marché, ils résoudraient rapidement la crise énergétique mondiale et permettraient le démantèlement et le remplacement rapide du système électrique américain centralisé, horriblement vulnérable. Il va sans dire que la disponibilité de tels systèmes permettrait d’assainir la contamination de la biosphère due aux opérations et aux développements liés à l’énergie…

« Oblivion », colonel Thomas Bearden 2004,
© retranscription et traduction Morphéus,
Morphéus n°101, septembre 2020