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Si vous lisez ce texte, il faut vous affranchir des fumeuses circonvolutions du très populaire Da Vinci Code qui ne révèle à peu près rien de vrai. Cette approche superficielle cache une analyse symbolique bien plus réelle qui saute aux yeux quand on observe attentivement la Cène de Léonard de Vinci. Enfin, vous allez comprendre pourquoi un représentant religieux comme le Pape vaticaniste dispose d’une baignoire en or massif décorée des signes du zodiaque finement ciselés.

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Analyse des personnages de la Cène

Tout d’abord, les personnages sensés représenter les apôtres sont par groupe de trois (trois signes zodiacaux ou trois mois, ce qui correspond à une saison). Il y a quatre groupes soit quatre saisons (printemps, été, automne, hiver). L’observation de chaque personnage révèle leur véritable nature symbolique.

1er groupe

Le premier personnage, en partant de la droite, par la position de ses deux mains, symbolise le double signe des Poissons. Le second personnage, en partant de la droite, positionne sa main droite incurvée contre sa poitrine comme le porteur d’eau à savoir le Verseau. Le troisième personnage s’inscrit parfaitement dans la constellation du Capricorne. Ce premier groupe Poissons/Verseau/Capricorne représente l’hiver.

2e groupe

Toujours en partant de la droite, nous avons un personnage légèrement plus grand que les autres dont le bras droit forme un arc et la main gauche simule le port d’une flèche. Nous avons donc affaire au Sagittaire, l’homme-cheval. Le second personnage, au premier plan, positionne ses deux mains comme un balancier, symbole de la Balance. En arrière plan, un troisième sujet pointe le doigt vers Jésus. Cette attitude est extrêmement irrévérencieuse et ne sied pas à une telle situation. En fait, il s’agit par ce geste de symboliser la signe du Scorpion. Ce second groupe Sagittaire/Scorpion/Balance représente l’automne.

3e groupe

La femme à côté de Jésus n’est autre que la représentation du signe de la Vierge. Le personnage qui pose sa main sur son épaule a un profil particulier avec un nez aplati de félin, il symbolise le signe du Lion. Le troisième sujet de ce groupe positionne sa main gauche sur la table comme une pince, le profil de sa tête est aussi très particulier simulant une pince, il s’agir du signe du Cancer. Ce troisième groupe Vierge/Lion/Cancer représente l’été.

4e groupe

Le sujet positionnant ses deux mains parallèlement symbolise un double signe (deux êtres), les Gémeaux. Le personnage féminin juste à côté positionne sa main gauche derrière le premier sujet. Cette main forme deux cornes, celles d’un taureau. Par ailleurs, le Taureau est un signe féminin or c’est bien un femme qui est représentée par De Vinci. L’homme en bout de table à un bouc, une position particulière, il se cabre et symbolise ici le signe du Bélier. Ce quatrième groupe Gémeaux/Taureau/Bélier représente le printemps.

La Cène est clairement une représentation du cycle annuel du soleil et nous permet de situer les équinoxes (jour = nuit) et les solstices d’été et d’hiver. De Vinci identifie donc Jésus comme le symbole solaire de l’ère des Poissons. Cependant, cette configuration zodiacale et des saisons n’est valable que pour l’ère des Poissons, soit 2 160 années. A cause de la précession des équinoxes, les saisons et équinoxes se décalent de 30 °, soit un mois tous les 2 160 ans. Pour figurer ce décalage, nous avons donc recomposé la Cène comme si elle avait été peinte 2 000 ans plus tôt, à l’ère du Bélier. Le cycle annuel du soleil est alors décalé de 30 ° et le symbole solaire de cette ère n’est pas Jésus mais Mithra, Dieu auréolé. A l’ère des Poissons, on sacrifiait l’agneau pour marquer la fin de l’ère du Bélier. Cependant à l’ère du Bélier, on sacrifiait le taureau pour marquer la fin de l’ère du Taureau. Les religions et traditions de l’ère précédente étaient alors abolies ou interdites pour marquer le passage au nouveau cycle solaire. Mithra est souvent représenté tuant le taureau d’un glaive à cette fin. Le culte de Mithra sera lui-même interdit en 391 après J.-C. car il ne correspondait pas à l’ère des Poissons.

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Les Apocalypses

On peut affirmer que la plupart des religions et traditions ont, de tout temps, été liées aux cycles solaires. De grands changements dans l’inconscient collectif ont lieu lors du passage d’une ère à une autre. Nous allons passer bientôt dans l’ère du Verseau, cela signifie la fin de la figure solaire de Jésus de l’ère des Poissons. Le soleil entrera dans la Maison du Verseau dans environ 140 ans. C’est un phénomène astronomique qui changera l’inconscient collectif planétaire. Et alors, au même titre que les chrétiens abolirent le culte de Mithra pour passer à l’ère des Poissons, l’émergence de symboliques nouvelles du Verseau ombragera l’ancien culte des Poissons.

Ainsi, pour toutes les religions qui s’inscrivent dans la symbolique solaire d’un seul cycle, elles comportent toutes une Apocalypse, c’est à dire la prévision de la fin d’un cycle de 2 160 ans. Selon la tradition chrétienne, nous sommes à l’aube de l’Apocalypse, souvent mentionnée comme fin du Monde. Le terme exacte n’est pas « fin du Monde » mais fin d’un âge, fin d’une ère de 2 160 années. Or, même si les pouvoirs terrestres ont beaucoup manipulé la religiosité pour s’instaurer en respectant peu les peuples, la réalité du changement d’ère se trouve dans le ciel…

Horus et Jésus

Horus figure solaire mythique égyptienne est représenté avec un cercle solaire au- dessus de la tête. Ce cercle solaire deviendra progressivement l’auréole attribuée aux figures mythiques solaires des ères nouvelles. Par ailleurs, Horus et son entourage sont vêtus d’habits couverts d’écailles de poissons. Ce fait démontre qu’Horus était la figure mythique du passage de l’ère du Bélier à l’ère des Poissons tout comme le Christ. Cependant, le culte d’Horus remonte à 26 000 ans avant J.-C., soit une grande année platonicienne complète antérieure. Qu’est ce qui nous permet d’affirmer que Horus est l’équivalent de la figure du Christ avec 26 000 ans d’écart ?

Jésus est selon les termes chrétiens ; « la Lumière du Monde », il en va de même pour Horus, il s’agit de la lumière pour la nouvelle ère, celle des Poissons mais ici à 26 000 ans d’écart. Jésus était le Bon Pasteur, Horus était également le Bon Pasteur. Ceci fait référence à l’ère antérieure du Bélier pour laquelle le Bon Pasteur rassemble les êtres imprégnés de cette ère (les brebis égarées) afin de les amener à la nouvelle ère celle des Poissons. Horus était l’agneau de Dieu, Jésus était l’agneau de Dieu et dans les deux cas l’agneau fut sacrifié pour marquer la fin de l’ère du Bélier et l’avènement de l’ère des Poissons. Jésus est identifié à la Croix, Horus est également identifié à la Croix. Cette Croix marque le cycle solaire des quatre saisons et elle est représentée sur les antiques symboles du zodiaque (quatre groupes de trois séparés par une Croix). Sept pêcheurs sont embarqués avec Jésus sur un bateau, il en va de même pour Horus embarqué également avec sept pêcheurs. Le chiffre 7 correspond à une perfection ou une adéquation parfaite. Quant au symbole des pêcheurs, que font-ils sinon sortir des poissons de la mer ? Une fois de plus l’on retrouve la symbolique de l’ère des Poissons. Jésus était l’enfant d’une vierge, Marie, Horus était l’enfant d’une vierge, Isis. Or, dans le zodiaque, le signe des poissons (signe solaire) est en face du signe de la Vierge (signe terrestre).

Horus est l’Étoile du Matin, Jésus est l’Étoile du Matin. Jésus était l’enfant de 12 ans enseignant au Temple, Horus était l’enfant enseignant au Temple. A midi, lorsque le soleil est au zénith, les égyptiens disaient que le Soleil accomplissait l’oeuvre de son père dans le temple. Pour Jésus à 12 ans (midi), il accomplit l’œuvre de son père dans le temple.

Horus a douze adeptes, Jésus a douze apôtres (ici les douze signes zodiacaux, douze mois de l’année). Jésus a été tenté sur la montagne de Satan, Horus a été tenté sur la montagne de Seth. Horus est le levé du soleil à l’Est pour les égyptiens. Le terme « horizon » découle d’Horus. Mais lorsque le soleil se couche il est représenté par Seth, à savoir les forces du mal d’où découle le terme anglais « sun-set » coucher de soleil. Il est à noter que nous avons toujours gardé la marque du culte solaire pour le « Jour du Seigneur » en anglais Sun-Day c’est-à-dire le jour du soleil (dimanche).

Horus est le Krst et Jésus est le Christ. Krst et Christ ont la même signification, il s’agit de « l’Oint de Dieu », l’onction divine. Il s’agit de l’aval divin pour le nouvel enseignement qui correspond à la nouvelle ère.

Horus et Jésus sont nés un 25 décembre, au moment où le soleil est à son plus bas niveau dans l’hémisphère Nord, chose somme toute logique puisqu’ils sont des symboles solaires. A cette date, les anciens représentaient le soleil par un nouveau né, ceci bien avant l’avènement du christianisme. D’autres symboles similaires pourraient être ici exposés mais vous l’avez compris Horus et Jésus correspondent à 26 000 années d’écart à rigoureusement la même configuration zodiacale.

En dépit des allégations qui affirment que Jésus est une mystification inspirée du culte d’Horus, il est évident à présent qu’il n’en est rien. Il s’agit du retour à la même ère, après la révolution complète d’une année platonicienne soit 26 000 ans. Tous les symboles correspondent et viennent marquer l’inconscient collectif terrestre, par l’émergence de religions ou cultes en concordance avec la nouvelle ère.

Les Dieux Solaires

Depuis 26 000 ans et plus, tous les Dieux solaires ou « Fils de Dieu » ont les mêmes caractéristiques. Ils naissent d’une vierge trois jours après le solstice d’hiver, identifié de tout temps à la mort du soleil. Le troisième jour après le solstice d’hiver correspond au 25 décembre date récurrente de leur naissance.

La représentation de la vierge et l’enfant Dieu est demeurée la même depuis Babylone, seuls les noms changent : Sémiramis/Tammuz, Isis/Horus, Marie/Jésus.

Le symbole de la Croix est systématique, il marque les quatre saisons du cycle solaire. Mithra « Fils de Dieu » fut crucifié, Virishna « Fils de Dieu » fut crucifié, Horus « Fils de Dieu » était représenté allongé sur une croix, Adonis « fils de Dieu » fut crucifié, Quetzalcoalt et Krishna sont aussi représentés cloués à une croix. La mort des Dieux sauveurs pour racheter nos péchés est une donnée commune, et ils ressuscitent des morts à Pâques, jour où le soleil est le plus proche de la Terre.

Selon vous, que recèlent les trésors si bien gardés du Vatican ? Tout simplement la panoplie complète des représentations « des fils de Dieu » crucifiés de Horus à Jésus en passant par Quetzalcoalt, de quoi perturber un bon nombre de chrétiens, non ?

Si, symboliquement, on admettait ensemble que le soleil lui-même est crucifié sur la croix des quatre saisons de toute éternité, nous pourrions peut-être faire l’économie de certaines dissimulations et avoir, en conscience, la clef de presque toutes les figures solaires mythiques appelées « Fils de Dieu ». Il nous resterait ensuite à simplement situer la Maison dans laquelle se trouve astrologiquement le soleil pour décoder la symbolique de l’ère concernée de n’importe quelle tradition ou culte terrestre.

Exemple de Samson

Samson tenait sa puissance de ses longs cheveux. Il perdit sa force lorsqu’il pénétra dans la maison de Dalila et que ses cheveux furent coupés. Dans un dernier sursaut, il ébranla deux piliers…

Avec la symbolique solaire, cette histoire se retranscrit ainsi :

Sam (sun) est le Soleil ou Dieu Soleil qui tient sa puissance de ses puissants rayons. A l’automne, quand il passe dans la maison astrologique de la Vierge, sa puissance rayonnante diminue. Son dernier sursaut se fait à l’équinoxe quand le jour est égal à la nuit. Il est alors juste à égale distance entre le solstice d’été et le solstice d’hiver (les deux piliers). Puis, inexorablement il perd progressivement sa force jusqu’au solstice d’hiver…

Qu’en est-il des écrits sacrés ?

Si chaque Saint, Dieu, Déesse, Messie, Prophète, renvoie à une symbolique solaire et zodiacale, alors, il est temps que chacun interroge ses propres textes sacrés et les relise à cette nouvelle lumière. Cette démarche devrait s’appliquer à toutes les religions terrestres en général.

Nous avons eu déjà l’occasion de parler de la Bible telle que nous la connaissons. Or, au vu des tablettes sumériennes qui furent retrouvées dans la bibliothèque de Ninive et des connaissances actuelles en égyptologie, il apparaît clairement que la Bible de notre ère en est une copie tronquée. Cette copie recodifiée nommée Bible, fut réalisée à Babylone par les Lévites au VIe siècle avant J.-C. La Genèse est empruntée aux sumériens, tandis que le nom Jéhovah est empruntée aux écoles de mystères de l’Égypte, Ehova étant le terme désignant les grands prêtres des temples égyptiens. Un initié égyptien était appelé Muse, Mose ou encore Moïse… Ce nom vous dit-il quelque chose ?

Quant à l’Apocalypse, il apparaît évident d’après ce que venons de développer que de hauts initiés, même il y a 2 600 ans, connaissaient la précession des équinoxes. Ils connaissaient le passage d’une ère à une autre et pouvaient, par conséquent, prévoir l’apocalypse, à savoir la fin d’une ère pour la religion qu’ils avaient codifiée. Reste à savoir si cette codification visait à asservir les peuples ou à les servir. Les milliers de guerres qui ont secoué et secouent encore, aujourd’hui, l’humanité suffisent peut-être à répondre à cette question.

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L’ère du Verseau

Il est impensable que les figures solaires mythiques soient des personnages historiques. D’ailleurs, tous les « Fils de Dieu » depuis Horus doivent ressusciter, renaître. Espérons qu’ils ne le feront pas tous en même temps… Ces symboles solaires ont le plus souvent servi des pouvoirs cherchant à s’imposer en dupant les peuples. Il est fascinant de voir à quel point ces pouvoirs, depuis des milliers d’années, ont tout fait pour soustraire la connaissance mondiale depuis les origines. Les peuples ne peuvent lire et écrire que depuis peu. Auparavant, ils devaient s’en remettre à une caste ecclésiastique pour avoir, par bribes, des enseignements religieux filtrés et orientés. L’idée consistant à penser qu’une figure mythique se réincarnera à notre époque est impensable.

La fin de l’ère des Poissons s’orientera soit vers une manipulation religieuse mondiale avec un maître incarné fantoche, soit vers une prise de conscience des peuples quant aux manipulations qu’ils subissent depuis des lustres.

Si les peuples s’éveillent, la symbolique solaire sera admise en conscience. Il n’y aura alors plus aucun Messie ou « Fils de Dieu, Déesses » s’opposant, par peuples interposés, à un autre. Toute symbolique sacrée étant assumée et conscientisée, l’idée de tuer un être vivant deviendra une aberration innommable. Alors, d’ici 150 ans, une véritable civilisation planétaire terrestre prendra forme, trouvant enfin la place qui lui revient au Panthéon des intelligences cosmiques.

G. Pécoul, P. Douillet & F.M.