L’Apocalypse est issue de la Bible guanche et égyptienne protohistorique. Cette Bible A, dont on nous a caché l’existence, fut redécouverte par Maurice Guignard. Il la nommait Bible lydienne. L’Apocalypse de Saint Jean n’est donc pas un texte chrétien originel, mais est une interpolation de textes et révélations existants depuis des milliers d’années avant l’ère chrétienne. Grâce à la graphie grecque, à l’usage des anagrammes et des permutations phonémiques gréco-latines, il nous est possible de retrouver le sens originel du récit de l’Apocalypse.

Drákon

Le delta minuscule δ est l’initiale du mot dragon en grec (δράκων, drákōn). La graphie de cette lettre δ dessine son corps serpentiforme. Ce dragon a trois têtes, car il représente la triade des trois mères. Il est appelé hydra qui est l’anagramme du latin druida. A l’origine, druida était la triade des prêtresses de la flamme divinisée, identifiée avec la déesse Hestía. Notons que Hestía est l’anagramme de thiase qui désigne une guilde religieuse consacrée au service d’un dieu. Il s’agit d’un groupe de prêtresses de la flamme (latin flamma = fla-amma = alpha-amma = A losangé de l’amma). Elles se consacrent au culte de la flamme de la connaissance transcendante. Ce sont des pratiquantes secrètes de Sophia car Hestía (theá-s) désigne la déesse du « s ». Le « s », est la flamme serpentine ou le serpent de feu qui est le dragon…

Extraits Morphéus n° 113 p. 7

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