Depuis peu, la presse et les sociétés de communication transnationales font la promotion du Brain Net, un moyen de communication développé chez une personne qui possède dans son cerveau, des implants, des nanobots ou des micropuces avec lesquels s’effectuerait une télétransmission de sa vie quotidienne. Ceci est envoyé via wifi aux téléphones portables, ordinateurs et téléviseurs. Le Brain Net est présenté comme un avantage pour la société. Cependant, c’est vraiment une violation permanente de la vie privée. De nombreuses preuves indiquent que les forces armées américaines, les Nations unies, les entreprises technologiques transnationales et les propriétaires de chaînes de télévision ont développé un réseau corrompu pour mettre en œuvre le web technocérébral  dans le monde entier. Dans les universités d’Amérique latine, l’un de leurs principaux objectifs est d’espionner la vie sexuelle des étudiantes universitaires. Ce réseau corrompu a pour opérateurs principaux les recteurs, professeurs et étudiants, qui espionnent les  étudiantes avec le Brain Net. Il est nécessaire que la société soit informée de l’existence de ce réseau technocérébral et que les autorités prennent des mesures préventives. Il faut pénaliser l’espionnage massif des étudiantes universitaires connectées à ce réseau cérébral à leur insu. Il viole leur vie privée, détruisant leur honneur et leur avenir.

Technologies intracérébrales

Le Brain Net est un moyen de communication développé chez une personne qui possède une neurotechnologie invasive, des nanobots, des micropuces ou des implants cérébraux comme le modem cortical. Ces appareils agissent comme une antenne TV traduisant l’information numérique en une information analogique. Ils permettent de diffuser des informations depuis le cerveau et de les envoyer via le Wi-Fi vers des téléphones portables, ordinateurs, téléviseurs et même vers d’autres cerveaux. Ainsi, une télévisualisation de la vie quotidienne peut être réalisée avec le Brain Net. En bref, l’activité quotidienne d’une personne peut être espionnée avec le réseau technocérébral à partir d’un téléphone portable.

Remplacement d’Internet par le Brain Net

Le Brain Net est promu dans la presse par des scientifiques américains comme le physicien américain Michio Kaku, directeur de l’ingénierie Google Ray, le brésilien Miguel Nicolelis et le Vénézuélien José Luis Cordeiro. Certains magazines scientifiques de vulgarisation en font la promotion sous le nom de Web 3.0.

À ce propos Kaku a déclaré : « La télépathie, la télékinésie, le téléchargement de souvenirs sont désormais possibles ». Les promoteurs du Brain Net soulignent : « Internet pourrait être remplacé par un Brain Net, dans lequel les émotions, les sensations, les souvenirs et les pensées seraient envoyés sur Internet ». Brain Net va remplacer Internet. En 2015, le PDG de Google, Eric Schmidt, déclarait : « Je réponds très simplement, Internet va disparaître ». Le grand mystère dans cette affaire est, qu’officiellement, un réseau techno-cérébral n’a été expérimenté que sur des animaux, tels que les singes et les rats.

Expériences secrètes sur les humains

Ni les scientifiques promoteurs, ni la presse, n’expliquent comment un Brain Net pour l’homme a pu être mis au point. Son développement passe nécessairement par des expérimentations humaines risquées. Étant donné la quasi-impossibilité d’avoir des volontaires pour ce type d’expériences humaines illicites, à haut risque, avec des nanorobots cérébraux ou des micropuces, la suspicion d’expérimentations humaines forcées et secrètes dans le monde apparaît, principalement en Amérique latine.

Le problème du réseau cérébral s’aggrave, compte tenu de sa facilité de développement. Des recherches scientifiques récentes alertent sur le fait que les nanobots pourraient être secrètement et illicitement administrés dans des boissons et des aliments, principalement dans des boissons alcoolisées comme la bière, qui facilitent les actions des nanobots cérébraux. (la vaccination est un vecteur d’implantation de nanobots non évoquée ici).

Il faut souligner que, bien que l’Internet cérébral soit promu par la presse comme un avantage, il permet d’accéder à la vie privée principalement sexuelle, d’extorquer du matériel audiovisuel, de voler des informations intellectuelles, d’obtenir des algorithmes cérébraux, des informations judiciaires, des secrets de confession, des prières adressées au divin, des mots de passe de cartes de crédit ou tout autre type d’informations privées.

Le Brain Net vise à devenir l’arme la plus puissante d’extorsion, de contrôle de l’esprit, de destruction de l’honneur et de violation de la vie privée. Cette technologie est détenue par des criminels de droit commun, des mafias du crime organisé, des agences gouvernementales pratiquant un terrorisme d’État et une cyberguerre.

Les femmes principales cibles

L’un des principaux groupes cibles de la mafia Brain Net est la population féminine. L’objectif des mafias journalistiques est la vie sexuelle des jeunes femmes.  Les étudiantes universitaires latino-américaines ont été leurs premières cibles. Ces mafias s’intéressent à leur vie sexuelle en utilisant le Brain Net. On soupçonne fortement qu’il existerait un vaste réseau mondial d’espionnage des étudiantes universitaires, principalement en Amérique latine. Il serait organisé par les forces armées américaines et les bureaux des recteurs des universités latino-américaines, en association illicite avec des mafias de journalistes, de professeurs et d’étudiants, qui procéderaient à l’espionnage et à l’édition de vidéos de la vie privée de ces jeunes femmes sur Internet.

Étudiants victimes de l’Université San Marcos au Pérou

Les criminels du réseau Brain Net administrent secrètement aux étudiantes universitaires des nanorobots cérébraux par le biais de la nourriture et des boissons. Une fois ingérés, ils se connectent aux neurones et agissent comme « antenne TV » ; les informations du cerveau sont transmises via Wi-Fi directement aux ordinateurs ou aux téléphones portables. Des mafias de journalistes obtiennent ainsi leur butin : la vie sexuelle des étudiants universitaires.

La nanomafia

Des recherches récentes mettent en garde contre une organisation terroriste organisée par les puissances économiques et les entreprises technologiques transnationales. Ces dernières développent secrètement et illicitement des expérimentations humaines neuroscientifiques avec des micropuces cérébrales et des nanobots dans le monde. Ce groupe terroriste est appelée « la nanomafia ». Cette expérimentation neuroscientifique, selon des publications récentes, serait des expériences utilisant le Brain Net.

Incitation à détruire la vie privée

La campagne publicitaire subliminale incitant à abandonner sa vie privée, en Amérique latine, est promue par des entreprises technologiques transnationales comme Facebook et la grande presse. Elle vise probablement à obtenir un consentement public pour le Brain Net. Il s’agit d’accepter d’être espionner toute sa vie. Il est courant de voir, dans les centres commerciaux, péruviens comme Plaza Real, des phrases comme : « Laissez le monde vous regarder ! »

Il y a une puissante campagne publicitaire qui cherche à habituer les citoyens à « faire partie d’un film », participer à une série télévisée. L’objectif réel est de rechercher le consentement volontaire pour que le citoyen accepte la télévisualisation de toute sa vie. A titre d’exemple,  dans les centres commerciaux péruviens comme Megaplaza, DirecTV a lancé une campagne avec le slogan : « Fais partie de la programmation ! » invitant les passants à venir sur le plateau TV.

Des étudiants-cobayes

L’Université de Harvard a décrit l’Université nationale de San Marcos, la plus ancienne d’Amérique du Sud, comme « la meilleure université avec des projets d’innovation ». En 2018, elle a accordé un grand nombre de bourses à 142 étudiants, afin de développer des projets « d’innovation ». En fait, ces étudiants boursiers servent de cobayes pour l’expérimentation de micropuces cérébrales, dans le cadre de projets nanotechnologiques dangereux comme le Brain Net et le contrôle mental. Ils participent malgré eux à l’espionnage américain, la cartographie cérébrale et le contrôle de l’esprit via un réseau cérébral. La terminologie transhumaniste utilisée dans cette université vise à trouver des étudiants pour l’expérimentation de robotisation humaine. En clair, des mafias de neuroscientifiques américains s’infiltrent dans les universités et les grandes écoles, en vue de déployer un vaste programme de transhumanisation.

Meurtres d’étudiants

Récemment, à l’Université de San Marcos, il y a eu une série de mystérieux meurtres d’étudiants. Un étudiant, participant à des campagnes d’intelligence émotionnelle (terme utilisé comme camouflage du contrôle mental chez les enfants avec des nanobots et un réseau cérébral) a été sauvagement tué par un criminel. Ce meurtre violent est une vendetta de la nanomafia contre un étudiant qui avait compris trop de choses.

Projet Millennium des Nations unies

Il s’agit de mettre en oeuvre le Brain Net dans le monde entier. Ce projet sert les appétits des multinationales et, au-delà, l’objectif mondialiste de contrôle global par le Brain Net développé avec des puces cérébrales et des nanobots.

Les Nations unies considèrent la nanotechnologie comme faisant partie des tendances mondiales pertinentes pour l’avenir des pays pauvres et cherchent à établir un Internet mondial avec des nœuds dans 54 pays. Promu comme une « intelligence globale », il s’agit en fait d’un déploiement du Brain Net. « L’intelligence globale » sera un réseau de nanobots cérébraux et de micropuces installés chez l’homme pour effectuer un contrôle mental et un espionnage télépathique constant. On transforme ainsi les citoyens du monde en esclaves numériques au service d’une oligarchie mondiale. L’UNESCO sous couvert de programmes de responsabilité sociale, participe très activement à la mise en place de Brain Net et au transhumanisme dans les écoles et universités du monde entier.

Transhumanisme à l’Université

Carlos Rodríguez Pastor, l’homme péruvien le plus riche, est propriétaire d’Intercorp, groupe qui possède les écoles Innova School (écoles à promotion transhumaniste) et l’Universidad Tecnológica Peruana (UTP). Cette université promeut l’effacement de la mémoire son slogan est « désapprendre à apprendre ». Sa publicité met en scène et présente des étudiants universitaires comme des robots-clones.

UTP et l’Universidad Cesar Vallejo, de César Acuña, ont des liens étroits avec IBM. De nouvelles universités de la « zone nord de Lima » auraient été créées dans le but secret d’en faire des « fermes humaines des sociétés transnationales de nanotechnologies ». Il s’agit de centres de cobayes humains pour développer le Brain Net et la robotisation humaine.

Chantage à la biographie

La presse péruvienne appelle le Brain Net « le téléphone », « l’œil », « le micro », ou « la télévision humaine ». Les victimes sont nommées « les connectées ». Maguiña et la mafia d’El Comercio développent des « biographies » et  des « documentaires » basés sur des vidéos de la vie privée des victimes obtenues avec le Brain Net. Il s’agit de détruire l’honneur de la cible. « La biographie » est une puissante arme d’extorsion et de chantage.

Les neuro-cours

La promotion de « neuro-cours » universitaires est utilisée pour forcer les étudiants universitaires à utiliser le Brain Net comme « outil académique ». Il y a une grande promotion de livres orientés vers le public académique axés sur les neurosciences. Leurs couvertures et le contenu révèlent clairement qu’il s’agit d’une préparation pour convaincre que le Brain Net est utilisé comme « outil universitaire ».

Nestor Braidot, l’un des principaux auteurs de ces ouvrages, fait une promotion presque explicite du Brain Net, avec le spot « BrainTv ». La couverture d’un de ses livres montre une image qui simule une transmission d’informations du cerveau vers un téléphone portable avec la phrase : « Pensées qui se lisent, se voient, s’entendent ».

Camouflage infectiologique

Des recherches récentes conduisent à soupçonner que l’apocalypse « Zombie », promue par le CDC lui-même, serait en réalité une épidémie mondiale de contrôle mental utilisant des nanobots. Camouflée en épidémie « virale », elle serait organisée par le CDC lui-même et l’armée américaine.

Un autre exemple de camouflage militaire « par l’infectiologie » est le fait que l’US Navy dispose au Pérou d’une base militaire nommée NAMRUD. Cette base justifie sa présence en affirmant que son objectif est la recherche sur les maladies infectieuses. En fait, des recherches récentes conduisent à soupçonner que le travail principal de NAMRUD est d’organiser les mafias US de la nanotechnologie au Pérou.

L’Institut de médecine tropicale de la Universidad Nacional Mayor de San Marcos est parrainé par l’US Navy. Son objectif est de développer les nanotechnologies, la télémédecine, la génomique, la bio-informatique, la simulation informatique et le calcul de masse. Ces spécialités scientifiques sont nommées : « technologies NBIC ». Par coïncidence, ces genres de technologies sont celles qui promeuvent le transhumanisme. Par conséquent, son véritable objectif serait l’expérimentation humaine neuroscientifique à haut risque, avec des implants technologiques et du génie génétique. Tout cela sous la direction secrète de gouvernements étrangers.

Brain Net et Hollywood

Les mafias d’Hollywood développeraient des séries télévisées avec des expérimentations humaines illicites, en utilisant le Brain Net en Amérique latine.

Des recherches récentes laissent également suspecter qu’un réseau de scénaristes et de producteurs de séries télévisées et de films hollywoodiens serait le principal bénéficiaire de cette expérimentation neuroscientifique avec les nanotechnologies. Les scripts ne seraient pas le résultat de l’imagination de leurs scénaristes comme ils l’affirment, mais seulement une recréation de cette expérimentation humaine illicite avec des nanobots cérébraux en Amérique latine et ailleurs.

Des films récents comme « The Circle » prépareraient vraiment les jeunes universitaires à accepter l’espionnage de leur vie avec le Brain Net. Emma Watson, qui joue le rôle principal, a fait des déclarations à la presse qui laissent vraiment entendre que l’actrice serait au courant de cette expérimentation secrètement développée par les bureaux de renseignement américains utilisant le réseau Brain Net en Amérique latine.

Elle a récemment déclaré :

« Ce n’est pas un futur dystopique qui se déroule en 2050 ou quelque chose comme ça. Cela pourrait essentiellement être demain ».

Le silence entourant Brain Net

Les Fondations US qui ont en charge le déploiement de Brain Net ont tissé des liens avec les universités latino-américaines et d’autres dans le monde. Les multimillionnaires comme Carlos Slim, Bill Gates et George Soros sont les principaux dirigeants de la nanomafia qui organise le Brain Net dans le monde. Sans doute faut-il rajouter à cette liste Elon Musk et quelques magnats du Forum Economique Mondial.

Par des pots-de-vin, des investissements dans les télécommunications et la création d’associations et syndicats, Soros a tissé une toile d’influence en Amérique latine. Des syndicats médicaux, des responsables hospitaliers, les bureaux du procureur, la grande presse, des juges, des avocats et des enseignants seraient devenus les principaux acteurs de cette nanomafia. Cela explique le silence et la dissimulation, sachant que des parquets latino-américains participent au développement du réseau Brain Net financé et organisé par Soros.

Développement mondial du Brain Net

Le Brain Net se développe comme un réseau de crime organisé interconnecté dans le monde entier. On soupçonne fortement que les mafias des parquets, de la justice et de la police nationale font partie de ce réseau criminel.

Au Pérou, le High Tech Crimes Investigation Division of National Police, serait le principal organisateur du Brain Net dans la société péruvienne. À ce jour, le FBI, la CIA, le SVR, le MOSSAD, INTERPOL et le FSB n’ont pas mentionné le danger d’espionnage massif et sans contrôle que représente Brain Net.

Les institutions policières internationales, ainsi que le reste des promoteurs du Brain Net s’attendent probablement à ce que la société soit escroquée et accepte le Brain Net pour différentes raisons fallacieuses :

  1. la sécurité (promotion des « Smart-City ») ;
  2. la santé (médecine personnalisée et surveillance de la santé par des nanobots et des micropuces) ;
  3. l’éducation (la neuro-éducation) ;
  4. la gestion humaine (neuromanagement).

Vaccination de masse : une opération pour le Brain Net

Les preuves indiquent que le Brain Net transformera la vie privée en un luxe et un droit uniquement réservé à l’élite milliardaire qui entend gouverner le monde sans partage. Les informations du Dr David Flores ont été révélées juste avant l’épisode covid-19. Depuis, nombre de scientifiques ont découvert que les injections contre le covid-19 contenaient des micropuces, des nanobots, des hydrogels mutagènes et programmables.

Selon toute vraisemblance, la vaccination presque forcée de milliards d’individus a été une expansion massive et mondiale du Brain Net. Au prétexte d’une « plandémie », les mondialistes ont procédé à la plus grande opération mondiale de piratage cérébral de milliards d’individus à leur insu. Des chiffres officieux font état de 12 millions de morts à ce jour. Des centaines de millions de personnes souffrent d’effets secondaires graves, dont l’effet « Zombie » évoqué par le CDC.

L’étape suivante vise à détruire Internet avec l’opération « Pentagone » préparée par le Forum Economique Mondial. Tout sera basculé vers le Brain Net. Seuls ceux qui auront des micropuces et implants intracrâniens, suite aux vaccinations de masse, auront accès à des services publics, bancaires et autres, via le réseau technocérébral.

Blocage du projet Brain Net

Il semble que les services de renseignement russes et chinois aient réévalué les dangers que pouvait représenter Brain Net sur la sécurité nationale des nations. Notons qu’avec son application, le secret Défense saute puisque les cerveaux des agents, militaires et scientifiques connectés au réseau deviennent des livres ouverts à l’oligarchie pilotant Brain Net. Notons que le contrôle social à la chinoise est géré par le pouvoir central, ce ne serait plus le cas avec un réseau cérébral global. Il semble donc bien qu’un titanesque bras de fer ait lieu entre l’Occident promoteur du Brain Net et le reste du monde qui entend préserver sa souveraineté et surtout ses secrets défense. Cette lutte se traduit dans les médias par l’opposition entre globalistes et souverainistes et, sur le terrain, par une guerre froide qui graduellement monte en intensité…

Frédéric Morin

Source : Dr David Salinas Flores de la Faculté de médecine,
Universidad Nacional Mayor de San Marcos, Pérou
(extraits de « Le Brain Net : violer la vie privée des étudiants universitaires »,)

https://medcraveonline.com publication du 6 août 2018.
(trad. adaptation Morphéus)

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