Il y a 8 ans déjà, un article annonçait la couleur : « le remplacement des smartphones par des puces cérébrales compatibles wifi ». Ce qui semblait futuriste, voire fantasque à l’époque, trouve tout son sens aujourd’hui.

Jenaro Garcia, fondateur de Gowex, leader dans la création de villes connectées sans câbles, les Smart Cities, déclarait que « les nanopuces cérébrales avec wifi seront les héritières des smartphones ». L’article n’évoque pas les perspectives du Brain Net, développées et mises en œuvre discrètement au Pérou, déjà à l’époque.

« Dans un monde de plus en plus technologique, la nanopuce cérébrale avec wifi a tous les suffrages pour devenir l’héritière des smartphones, même si c’est impensable maintenant, a déclaré  le magazine Efefuturo. La société espagnole Gowex, fournisseur de services de télécommunications, créée par Jenaro Garcia à la fin des années 90, est en pleine expansion, avec la mise en place et la gestion de réseaux wifi, dans plus de quatre-vingts villes du monde, entre autres, Madrid, Barcelone, New York, San Francisco et Edimbourg ».

Il s’agit pour chaque ville de fournir une connexion wifi gratuite pour des millions d’habitants et ainsi, amorcer le projet des Smart Cities (villes intelligentes). Le PDG et fondateur de Gowex est un entrepreneur à succès qui a débuté avec la vente de petits appareils connectés. La prolifération de cette technologie concerne les téléphones, les tablettes, les ordinateurs, les télévisions et une multitude de petits objets connectés facilement transportables.

Une fois que tout le milieu est connecté, reste alors à connecter au système l’homme lui-même. Ainsi, Garcia affirme que l’avenir est sans aucun doute dans les citoyens eux-mêmes, qui seront intelligents par eux-mêmes, grâce à des dispositifs tels que des puces électroniques dans le cerveau. Ce nouveau système leur éviterait d’avoir à porter des artefacts entre leurs mains (plus besoin de smartphone, de carte de crédit ou d’identité). Il s’agit d’un business modèle et d’un nouveau marché des multinationales High Tech, avec la conception de nanotechnologies intracérébrales fabriquées à cet effet.

« Les gens sont “choqués” et effrayés quand on parle de “l’aboutissement du citoyen intelligent”. Garcia se veut rassurant. Il ne s’agit pas d’une clé USB insérée dans la tête, mais de nano-implants intracrâniens avec une connexion wifi… Cela permettrait des choses qui sont aujourd’hui impensables, comme comprendre une autre personne avec une langue différente, en autorisant l’accès à Internet pour la traduction automatique tout en conversant. De manière générale, cela faciliterait l’accès à toutes sortes de documentations sur Internet et en temps réel : données biographiques d’une personne que vous venez de rencontrer, documentation sur un produit que vous souhaitez acheter, etc. Il existe déjà des fonctionnalités possibles avec l’utilisation de certains accessoires intelligents ; par exemple, le contrôle et la surveillance des paramètres biologiques, l’état des organes vitaux et bien d’autres en dehors de la santé, comme appeler directement un taxi ou connaître l’état de la circulation dans les rues de la ville… »

Cette technologie serait une extension cérébrale connectée aux objets, aux services publics, bancaires et surtout aux autres connectés. Évidemment, dans cet article, il n’est jamais fait mention de la perte totale de liberté et d’intimité psychique. Par ailleurs, les nouveaux codes sociaux dans ce collectif psychique artificiel seront dictés par les multinationales High Tech, telles que Google, Twitter, Metaverse, etc., avec en arrière-plan la DARPA et toutes les technologies militaires de contrôle mental. Quant à notre santé sous surveillance, on est en droit de se demander s’il ne s’agit pas d’une farce au vu des millions de morts et handicapés qu’a engendré l’injection de ces technologies via la vaccination covid-19…

Source : elconfidential.com, janv. 2014

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