Morphéus a toujours refusé, depuis 2003, de faire la promotion de l’orgone et de ses dérivés, actuellement commercialisés un peu partout. En voici la raison :

Le terme orgone est issu des travaux du psychiatre et psychanalyste Wilhelm Reich. Or, à ce jour, personne ne respecte les recommandations de ce chercheur. Wilhelm Reich insista fortement sur la non utilisation d’aluminium dans ses amplificateurs d’orgone, qu’il présenta à Einstein d’ailleurs. En clair, un milieu pollué à l’aluminium, amplifié à l’orgone, devient nocif.

Que buvons-nous comme eau ? Les agents chimiques de coagulation dans les stations d’épuration sont à base d’aluminium. A la fin, même s’il n’y a plus aucune trace chimique d’aluminium, la mémoire de l’aluminium demeure dans l’eau. C’est là tout le problème ! On retrouve de l’aluminium dans les vaccins, dans l’alimentation, dans les cosmétiques, dans à peu près tout ce qui est fabriqué dans une maison, et même dans l’atmosphère. Nous faisons donc rigoureusement tout ce que Wilhelm Reich proscrivait. Catégoriquement, à savoir utiliser l’orgone dans un milieu totalement pollué à l’aluminium. Ce n’est pas faire honneur à sa mémoire !

Ce chercheur n’a pas expliqué pourquoi orgone et aluminium étaient incompatibles. Cependant nous avons une petite idée à ce propos.

L’orgone est une source de rayonnement éthérique très fine. L’aluminium n’a pas de source de rayonnement en soi, mais exposé à l’orgone, il s’y associe, formant une onde porteuse. Cette onde peut alors être associée à des formes de rayonnements encore plus nocifs que l’aluminium. Cette onde peut ensuite être pilotée comme une arme éthérique contre les personnes jouant avec l’orgonite.

Gérard Pécoul