La transition vaccinale en France sera d’une extrême dureté, émaillée de nombreux procès pour l’ensemble de la classe politique française, nombre de conseillers, média et professionnels « dits de santé ». Elle sera à la hauteur de la violence vaccinale qui tue depuis des décennies. Le gouvernement a été pleinement informé des composants mortels contenus dans les vaccins :

Phénol, thimerosal, mercure, aluminium, éthylène glycol, formol, benzethonium, squalène, SV40, cellules cancérisées, Benzonase, ADN et ARN viraux, édulcorants, traces d’antibiotiques ainsi que des nanocomposants tels que du tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…

C’est pleinement conscient de ces faits qu’un homme politique comme Macron a imposé une obligation vaccinale mortifère. Son cas relève du Code de Nuremberg pour crimes contre son peuple et expérimentation sur cobayes humains.

Frédéric Morin
publié dans Morphéus n°91,
janvier 2019.