« Les neurosciences sont de plus en plus reconnues comme constituant une menace potentielle pour les droits de l’homme, tout comme un autre domaine de la biologie — la recherche en génomique humaine — peut conduire à une focalisation excessive sur le déterminisme génétique et soulève le spectre de la discrimination génétique.

« C’était l’une des conclusions de la réunion publique annuelle du comité national français de bioéthique, qui s’est tenue à Paris le 22 janvier 1998 sur le thème « Science et racisme ». Jean-Pierre Changeux, président du comité et neuroscientifique à l’Institut Pasteur de Paris, a déclaré à la réunion que comprendre le fonctionnement du cerveau humain est susceptible de devenir l’une des disciplines les plus ambitieuses et les plus riches de l’avenir.

« Mais les neurosciences présentent également des risques potentiels, a-t-il déclaré, affirmant que les progrès de l’imagerie cérébrale rendent possibles des atteintes inégalées à la vie privée. Bien que l’équipement nécessaire soit encore hautement spécialisé, il deviendra monnaie courante et pourra être utilisé à distance, a-t-il prédit. Cela ouvrira la voie à des abus tels que l’atteinte à la liberté psychique, le contrôle du comportement et le lavage de cerveau.

« Ce sont loin d’être des préoccupations de science-fiction, a déclaré Changeux. Cela constitue « un risque sérieux pour la société ». Denis Le Bihan, chercheur au Commissariat à l’énergie atomique, a déclaré à la réunion que l’utilisation des techniques d’imagerie a atteint le stade où « nous pouvons presque lire les pensées des gens ». Le comité national de bioéthique prend ces menaces si au sérieux qu’il lance une étude pour examiner les problèmes et recommander d’éventuelles précautions.

« L’étude couvrira également des questions plus immédiates telles que la question juridique de savoir si les criminels sont responsables de leurs actes. Changeux prédit une augmentation des arguments de défense basés sur l’irresponsabilité due à une prédisposition génétique à certains types de comportement. En clôturant la réunion, Claude Allègre, le ministre de l’Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie, a fait allusion à la création d’un bureau parlementaire remanié de l’évaluation technologique, arguant que l’approche du comité national de bioéthique dans les sciences de la vie devait être appliquée à d’autres domaines de la science ».

Espoir déçu

Ce petit article de Declan Butler, traduit de l’anglais, pouvait nous donner l’espoir de voir toutes les technologies électroniques de neuro-influence être reconnues et combattues par des comités de bioéthique. Il pouvait laisser entrevoir une remontée de débats sur la psychotronique à l’ONU même.

Le voile a à peine été levé qu’une chape de plomb est venue le recouvrir. Pourquoi ? Messieurs Le Bihan, Changeux et Allègre n’ignoraient en rien que depuis 1975, l’avènement de la technologie V2K, révélée par Eléanore White permettait de modifier les pensées de tout à chacun par les ondes. Entre 1975 et 1998, des milliers de brevets militaires furent déposés, concernant la télépathie synthétique, le craquage du cerveau, la lecture de la pensée, l’hypnose silencieuse, la cartographie cérébrale, l’imagerie mentale, la modulation des facultés psychiques et parapsychiques, etc. En 1998, près de 14 000 sites internet japonais, américains, britanniques, russes, australiens, canadiens, constituaient un front mondial d’alerte en direction des populations. Pilotés par d’éminents scientifiques ayant travaillé pour l’armée, cette coordination visait à prévenir les peuples de l’épée de Damoclès que constituaient les armes psychiques. Un grand nombre de citoyens ont fait les frais des expériences psychotroniques militaires et beaucoup en sont morts. Sur le site censuré www.brazilboycott.org, figurait une liste et un mémorial pour toutes les victimes de ces expériences sauvages.

La course à l’armement psychique

Au lieu d’ouvrir le débat public sur ces technologies psychiques, une guerre sans merci fut déclarée aux lanceurs d’alertes. 10 à 20 000 sites internet ont été la cible de cyber attaques militaires. Les scientifiques qui diffusaient ces informations en direction du public ont été neutralisés psychiquement ou tués. De fait, les directions générales des Armées ont considéré que les armes psychiques étaient le fer de lance de toutes les stratégies militaires futures. En effet, si vous pouvez piloter les cerveaux de l’ennemi, vous pouvez aisément le retourner et le neutraliser. Nul besoin d’armes conventionnelles, d’armes nucléaires, pas de destructions matérielles, aucun déploiement militaire coûteux. Si vos armes psychiques sont supérieures à celles de votre ennemi, vous pouvez discrètement l’envahir sans heurts en laissant intact toutes ses infrastructures, en maintenant même ses structures politiques et institutionnelles. N’est-ce pas la stratégie politique de la Chine, en ce moment même, en direction des Etats-Unis et de l’Europe ? La Chine est-elle en train de gagner la course à l’armement psychique ?

Block-out en France

Ce qui caractérise le plus la France, de 1998 à aujourd’hui, c’est la culture de l’ignorance et de la médiocrité concernant ces questions cruciales. L’ignorance crasse de nos hommes politiques n’est pas logique, n’est pas normale. Plusieurs sources confidentielles font état de dispositifs d’influences psychotroniques sous notre Assemblée nationale, sous ou en direction du Sénat ; il en va de même pour tous nos ministères. Les grandes écoles administratives de notre République sont ciblées également.

Toutes les écoles de formation de nos médecins seraient sous l’influence de dispositifs mis en place par les multinationales pharmaceutiques. Il est important de comprendre qu’une multinationale dispose de son propre service de renseignement, de sa propre armée privée usant d’armes psychiques.

Tous les soignants sortant des écoles de médecine seront de parfaits petits soldats pour défendre les intérêts de Big Pharma, sans même s’en rendre compte. Un médecin bien formaté est psycho-émotionnellement dans l’incapacité d’émettre une quelconque critique concernant la vaccination ou même l’usage d’une thérapie génique expérimentale devenue obligatoire (en dépit du Code de Nuremberg).

Sur 8 années d’études, chaque médecin formé n’a en réalité que quelques heures de formation sur les vaccins, alors qu’il s’agit d’un acte médical intrusif extrêmement lourd de conséquences pour tout patient. La confiance aveugle des médecins envers l’industrie pharmaceutique, condamnée régulièrement à des milliards d’amende pour fraude, est illogique et non rationnelle. De notre point de vue, elle est issue d’un conditionnement électroniques de neuro-influence subi par l’ensemble de notre corps médical. Il serait irrationnel de croire que tout notre corps médical est simplement corrompu par l’argent.

Guerre psychique multivectorielle

Si les armées ont compris l’enjeu des armes électroniques d’influence neuronale, d’autres l’ont également compris. Les yakusa japonais et d’autres mafia ont très tôt investi massivement dans les technologies psychotroniques après la chute du mur de Berlin. Le colonel Thomas Bearden en témoigne. Les multinationales, dont l’industrie pharmaceutique, ont également développé des armes psychiques d’influence, voire pire, comme des technologies émettant des ondes porteuses contenant les signatures électromagnétiques de maladies (la maladie étant leur fond de commerce). Toutes les téléphonies mobiles, par relais terrestre ou satellite, sont des supports de telles armes. Tous les services secrets occidentaux, les armées secrètes de l’OTAN, disposent de telles armes électromagnétiques, ainsi que tous les services spéciaux des grandes religions. Le Gouvernement mondial occulte a encouragé le déploiement et l’amélioration continuelle de ces technologies, jusqu’à donner à des noyaux d’intelligence artificielle le soin d’optimiser le conditionnement des cerveaux humains à l’échelle planétaire.

Dans la cacophonie des multiples sphères d’influence techno-psychiques, qui contrôle qui ? Qui manipule qui ? C’est la question centrale. De notre point de vue, l’intelligence artificielle pilotant des armes interférométriques en capacité de conditionner tous les cerveaux, est aujourd’hui au-dessus de la mêlée. Les mondialistes ont créé un golem qui les absorbera tous jusqu’au dernier. Or, il n’y a aucune prise de conscience possible dans leurs rangs. Ils pensent avoir gagné la partie, alors qu’ils ont déjà tout perdu faute de discernement.

Comment s’arrêtera cette folie ?

Nous ne voyons pas comment, dans la densité du smog électromagnétique d’influence neuronale, une prise de conscience mondiale pourrait émerger. Toutes les consciences sont atrophiées et, au fil des développements technologiques, sous conditionnement toujours plus puissant. Une large majorité de l’humanité fonctionne déjà avec des pensées artificielles induites qui ne lui appartiennent pas.

Le salut ne pourra venir que du ciel. Une gigantesque impulsion solaire pourrait détruire toutes ces technologies et sauver l’humanité. Les consciences ainsi libérées pourront reprendre pied sur Terre et envisager une toute autre civilisation. L’interdiction absolue de toute forme de psychotronique sera sans doute la première mesure prise pour la nouvelle ère.

Frédéric Morin
© Morphéus n° 107, sept.-oct. 2021