Alors que Donald Trump représente le seul opposant à la détestée Hillary Clinton, regardons d’un peu plus près dans quel milieu il évolue…

trumpbclinton
Trump et la mafia

Trump a longtemps eu pour mentor un certain Roy Cohn, connu pour avoir été l’avocat de plusieurs grands mafieux, et qui a permis à Trump de se constituer un carnet d’adresses. D’ailleurs, un journaliste qui a travaillé sur le cas de Trump pendant 27 ans, David Cay Johnston, s’interroge sur ses liens avec la mafia, notamment en raison d’investissements dans des casinos et autres buildings du côté d’Atlantic City ainsi qu’à New York. Certains des mafieux avec qui il a fait des affaires étaient des clients de Cohn, et leurs entreprises étaient clairement dans l’orbite de la mafia.

Cohn était lui même un bon ami de Craig Spence, ce lobbyiste qui avait défrayé les chroniques pour avoir organisé un réseau de prostitution de mineurs à la Maison Blanche. Un réseau qui était au moins en partie approvisionné par les gamins placés à BoysTown. Il s’agit du réseau Franklin en lien avec le projet MK Ultra évoqué par Cathy O’Brien (« Pour Cause de sécurité Nationale » éditions Nouvelle Terre page 156, 422). Craig Spence eut cependant l’idée de se suicider avant son procès, en 1989. De fait, parmi les clients de Spence, il y avait de hauts officiels des administrations Reagan et Bush, dans les années 80, mais aussi des militaires de haut rang, des hommes d’affaires locaux aussi bien qu’étrangers. Selon certaines sources, une liste de plus de 200 clients existait, mais elle n’a bien sûr jamais été rendue publique.

Par ailleurs, Cohn aurait  déclaré à un inspecteur de la police de New York, un certain James Rothstein, qu’il avait participé à un réseau de prostitution dont le but était de faire chanter ou de faire pression sur des politiciens, réseau dans lequel des mineurs étaient utilisés. Ce réseau aurait été opérationnel  dans les années 50 et 60.

Cohn a aussi été l’avocat de McCarthy dans les années 50, au moment où ce dernier menait cette chasse aux communistes. Alors que Cohn dénonçait publiquement l’homosexualité, il était lui-même gay et est mort du SIDA en 1986. D’après certains, son réseau de prostitution est toujours opérationnel.

Le réseau de prostitution de Deborah James Palfrey, en partie mis au jour, il y a quelques années, avait également pour but d’accéder à des politiques afin de les manipuler. Cependant Deborah James Palfrey s’est suicidée juste après sa condamnation, en 2008. Elle avait, dit-on, une liste de 10 à 15.000 clients. Si Trump en faisait partie, nous n’en saurons rien, car cette liste n’est toujours pas rendue publique.

D’après certaines sources loin d’être officielles, Roy Cohn aurait aussi été en contact avec des nazis passés du côté US après la guerre lors de l’opération Paper Clip. Rappelons qu’une grande partie de ces « scientifiques » nazis étaient « psychiatres ». Ils travaillaient dans les camps sur le conditionnement par trauma du comportement humain individuel et collectif. Le viol et la pédophilie font partie des outils de programmation d’un être humain. C’est de leurs travaux que sont nés les programmes MK Ultra américains. Roy Cohn aurait, entre autres, été en lien avec Otto Skorzeny, un important financier d’Hitler, Hjalmar Schacht, ou encore Werner Naumann.

En 1971, Trump s’installe à Manhattan pour se lancer dans l’immobilier, et il choisit de prendre Cohn comme avocat. Ce qui a bien aidé Trump à se sortir de poursuites engagées par l’Etat pour diverses malversations. Les liens de Trump avec la mafia, essentiellement la mafia juive, sont toujours d’actualité.

En 2011, Trump aurait renoncé à se présenter à l’élection présidentielle de 2012 en raison de l’implication de deux de ses partenaires d’affaires dans un trafic de cocaïne. Engin Yesil, l’un d’eux, était son partenaire de business pour construire une tour à Istanbul pour 500 millions de dollars et a fait six ans de prison aux Etats-Unis dans les années 90. Un autre de ses partenaires d’affaires dans l’immobilier, Raoul Goldberger, a été arrêté en 2013 pour trafic d’amphétamines et d’ecstasy (spécialité de la mafia israélienne), et avait déjà été poursuivi pour le même genre de trafic en 1999.

Jeffrey Epstein ami de Trump et des Clinton

En avril 2016, une plainte a été déposée contre Trump par une femme, Katie Johnson, qui dit qu’il l’a violée quand elle avait 13 ans, à plusieurs reprises. Les faits se seraient notamment produits en 1994 lors d’une des innombrables partouzes organisées par Jeffrey Epstein. Epstein, qui s’amusait dans la finance, était (avant d’être impliqué dans des viols de mineures) l’ami du prince Andrew, Ehud Barak (ex 1er ministre israélien), Bill Clinton et de bien d’autres gens du gratin.
Katie Johnson déclare que Trump était furieux contre elle et une autre gamine parce qu’il n’a pas été satisfait du rapport. Elle évoque une troisième victime du même âge et précise aussi qu’elle a été menacée ainsi que sa famille, si elle ne répondait pas aux exigences sexuelles de Trump et Epstein.

Dans le carnet d’adresses d’Epstein, on trouve les noms et les numéros d’Ivana Trump, la première femme de Trump, et d’Invanka Trump, sa fille, ainsi que plusieurs adresses et numéros de Donald Trump, notamment à Mar a Lago, son ranch où diverses partouzes ont eu lieu. Dans ce carnet, il y a également les coordonnées de nombreuses victimes d’Epstein et de ses copains pédophiles, aux USA ainsi qu’à Paris.

Alfredo Rodriguez, qui a été un assistant proche de Trump, avait en 2009 essayé de revendre ce carnet d’adresses, aux avocats de la défense pour 50.000$. Mais c’est le FBI qui est venu voir Rodriguez afin de récupérer le carnet, et l’a envoyé en prison 18 mois pour obstruction à la justice. Fort opportunément, Rodriguez est mort juste avant de témoigner devant le cour, d’une maladie nous dit-on. Il avait déclaré avoir vu des filles mineures nues chez Epstein, alors qu’elles venaient pour donner des « massages » dans les soirées du pervers.

Aujourd’hui, quatre femmes ont porté plainte contre Epstein et certains de ses copains, et toutes ont eu le même parcours, recrutées alors qu’elles étaient mineures pour faire des massages, ou en tant que mannequins. Car Epstein est lié à des agences de mannequins sulfureuses.

D’autres accusations contre Trump ont été faites par une femme qui décrit un comportement à la DSK. Une certaine Jill Harth, compagne d’un autre partenaire d’affaires avec lequel Trump était en délicatesse, a porté plainte car il aurait tenté de la  violer en 1992 à l’hôtel Plaza à New York puis en 1993 dans sa résidence de Mar-a-Lago. Elle affirme que Trump a essayé de faire d’elle une esclave sexuelle. La plainte a été retirée suite à un arrangement à 125 millions de dollars.

C’est d’ailleurs dans cette résidence de Trump à Mar-a-Lago que Virginia Roberts, aurait été recrutée en tant que « masseuse », en 1998, à l’âge de 15 ans.

Virginia Roberts a ensuite été trimballée en jet privé dans les divers pieds à terre d’Epstein, où elle l’a vu abuser de très jeunes filles à moult reprises, y compris, dit-elle dans sa plainte, de deux gamines françaises de 12 ans. Virginia Roberts a aussi déclaré qu’Epstein la forçait à avoir des rapports sexuels avec des gens du gratin, politiciens et hommes d’affaires notamment, un peu partout à travers le monde. Parmi eux, le prince Andrew.

Bien qu’il le nie aujourd’hui, en 2002, Trump disait qu’il connaissait Epstein depuis 15 ans et que comme lui « il aime les jolies filles » (mineures). Les deux ont évidemment continué à se fréquenter après, au moins jusqu’à ce qu’Epstein ait de petits ennuis avec la justice, en octobre 2007. D’ailleurs, dans le carnet d’adresses d’Epstein, il n’y a pas moins de 14 entrées rien que pour Trump. Cependant, quand la justice lui a demandé s’ils se fréquentaient, Epstein en a appelé au 5ème amendement, qui permet de ne pas répondre.

D’autres amis violeurs et pédophiles de Trump

Trump est également un vieil ami de Hugh Hefner, le patron de Play Boy, dont certains affirment qu’il est directement relié au programme Monarch. On notera d’ailleurs que Bill Cosby, accusé de viol par plus de 54 femmes dont certaines mineures, était un très grand ami de Hefner, ce pervers adepte des playmates parfois à la limite de la puberté.

Certaines des femmes qui accusent Cosby de les avoir violées, la plupart du temps après les avoir droguées, accusent aussi Hefner des mêmes faits ou d’avoir facilité lesdits viols. De fait, certains faits qui se seraient déroulés à la « Playboy Mansion » remonteraient à 1974. Plusieurs des « bunnies » de Hefner, des playmates qui vivaient à la Playboy Mansion, poursuivent aujourd’hui Cosby pour des viols et/ou des agressions sexuelles.

Fiona Barnett a dénoncé, fin 2015, un vaste réseau pédophile satanique et nazi en Australie. Elle a expliqué qu’elle a été emmenée aux USA et notamment au Bohemian Grove, à plusieurs reprises. Elle dit qu’elle a assisté à diverses cérémonies, et qu’elle a été droguée et violée par le révérend évangélique Billy Graham grand ami de Trump. A cette occasion, elle dit qu’elle a assisté à un meurtre rituel commis par des politiciens en robe.

Graham dit de Trump, qu’il est « certainement » le président dont le pays a besoin. Il ne tarit jamais d’éloges sur Trump. Trump et Sarah Paulin étaient d’ailleurs présents le 7 novembre 2013 pour le 95ème anniversaire de Graham.
D’après le docteur Loreda Fox (en charge de patients ayant subi des abus rituels), sous l’évangélisme de Graham Billy se cache un véritable programme de manipulation mentale MK de type religieux. C’est une autre branche spécifique des programmes MK Ultra mise en place après l’opération Paper Clip de 1947. A cette époque Graham avait 30 ans. Or, pour avoir un tel niveau de « compétence » dans ce domaine, il est tout a fait vraisemblable que Billy Graham ait régulièrement consulté les psychiatres nazis exfiltrés et assidûment étudié leurs travaux dans le cadre d’un programme gouvernemental…

Sources : dondevamos.canalblog.com
Pour cause de sécurité nationale, éditions Nouvelle Terre
theforbiddenkwoledge.com