Fukushima

Fukushima est sans nul doute le plus grand accident nucléaire de la planète, condamnant théoriquement l’ensemble du Japon et mettant en péril la vie à différents degrés dans l’hémisphère Nord. On estimait la nocivité de cette catastrophe nucléaire à plus de 30 fois celle de Tchernobyl. Jamais autant de combustible nucléaire, (uranium, plutonium, mox) ne s’était retrouvé hors de contrôle, à l’air libre.

Nous avons évoqué dans Morphéus n° 51 le phénomène transmutatoire survenu à l’intérieur du réacteur de Tchernobyl. Plus de 10 tonnes d’aluminium ont été retrouvés et 90 % du combustible nucléaire avait disparu tout bonnement. Ces révélations viennent du Professeur George Lochak, Président de la Fondation Louis de Broglie à Paris, qui tenta de trouver une explication rationnelle à ce phénomène en Ukraine.

Nous savons en Physique que la transmutation de l’uranium en aluminium est possible. Saurions nous maîtriser ce phénomène ? Nous en doutons, sinon des systèmes transmutatoires de sécurité équiperaient toutes les centrales nucléaires terrestres. Sans explication rationnelle viable et suite à l’intervention photographiée, voire filmée, d’ovni sur Tchernobyl, nous maintenons l’idée que ce phénomène transmutatoire inédit est lié à l’intervention d’une exotechnologie. Par cette intervention, la pollution mortelle de l’accident nucléaire de Tchernobyl a été de fait contenue et divisée au minimum par 10. Cela nous donne une idée de ce qu’aurait été l’ampleur des dégâts si aucune transmutation du combustible nucléaire n’avait eu lieu.

Fukushima

Sachant cela et au vu des tonnes de combustible nucléaire en jeu au Japon, Fukushima aurait du être 300 fois plus mortel que Tchernobyl. Mais est-ce le cas ?

Sur la revue Sortir du Nucléaire n° 53, il est mentionné que Fukushima aurait émis 10 fois moins de Césium 137 que Tchernobyl et 100 fois moins de Strontium 90. Le rejet d’Iode 131 à Fukushima aurait aussi été inférieur aux rejets de Tchernobyl. Étant donné les masses de combustible, le nombre de réacteurs touchés, les piscines d’uranium en jeu à Fukushima, ces chiffres ne sont pas compréhensibles. On peut difficilement remettre en cause la probité de la revue anti-nucléaire qui fournit ces chiffres.

Alors comment expliquer cela ? Ce ne sont ni les dispositions stupides prises par TEPCO, ni les mesures du gouvernement japonais qui ont pu avoir un tel impact. C’est tout autre chose qui est à l’œuvre. Nous ne sommes pas loin de la réalité en affirmant que plus de 99 % des effets de Fukushima ont été contenus et continuent de l’être. Par ailleurs, l’activité ovni au dessus de Fukushima est tout bonnement extraordinaire. Tout laisse à penser que ces phénomènes ne sont pas fortuits mais qu’ils témoignent d’une intervention massive sur le site sinistré et sa périphérie.

L’agence Reuters, émanation des Rothschild, affirmait le 6 avril 2012 que le noyau du réacteur 4 était entré en fusion et aurait traversé le socle du réacteur. Il s’agit de ce que l’on nomme le syndrome chinois. C’est la conséquence la plus grave d’une fusion d’un réacteur nucléaire, dans laquelle les éléments combustibles en fusion du cœur percent les barrières qui le confinent et s’enfoncent dans la terre. Les agences de presse de cet acabit ont pour rôle d’effrayer les populations, et de maintenir à tout prix l’ignorance de ces dernières. Qui parvient à insuffler la peur contrôle l’âme. Cette information est logique et cohérente, mais elle ne peut être vraie ! Elle cache des phénomènes qui échappent à nos sordides mondialistes.

Il ne peut s’agir que d’un tout autre scénario. Une très brutale hausse de température du noyau peut être due à un phénomène transmutatoire relevé précisément à Tchernobyl. Cela n’indique pas une descente incontrôlée du combustible en fusion dans la Terre, mais un phénomène transmutatoire contrôlé. Pour confiner cette fusion, il se pourrait bien que l’on retrouve dans ce réacteur une masse d’aluminium protectrice en surface. En tout état de cause, s’il s’agit d’une fusion maîtrisée par une exotechnologie, que la cuve soit percée ou non n’aura aucune incidence. Le tout deviendra inerte, vitrifié sous terre. Cela implique une maîtrise de la transmutation du mox, de l’uranium et du plutonium. Si TEPCO, quelques membres du gouvernement japonais et les Rothschild sont au parfum ; comprenez qu’ils ne peuvent délivrer une information qui impliquerait la reconnaissance d’une exocivilisation venue réparer les dégâts dus aux folies d’un consortium transnational.

Notre analyse ne peut cependant s’arrêter là pour expliquer le fait que 99 % des effets de Fukushima ont été contenus, sur le site, dans l’atmosphère et dans l’Océan Pacifique. Au vu des faibles retombées, un nettoyage des radio nucléides par transmutation dans l’océan et l’atmosphère, a nécessairement eu lieu. Comment ? Le mystère reste entier et le restera aussi longtemps que nous serons sous la chape de plomb du Nouvel Ordre Mondial. Cependant, même si un tiers de son territoire est durement touché par la pollution radioactive, le Japon est sauvé. La force collective, la discipline et le civisme du peuple japonais feront le reste pour redresser un pays qui était condamné.

L’affaire Fukushima est du même acabit que l’affaire BP dans le Golfe du Mexique. Une catastrophe sans doute provoquée avait engendré une faille sous marine de 100 kilomètres d’où s’échappait du pétrole brut. Ni les USA, ni les pétroliers n’avaient les moyens de réparer de tels dégâts. Entendez-vous encore parler de cette catastrophe gravissime ? Non ! Pourquoi ? Cette faille a été colmatée sur 100 kilomètres et le pétrole ne vient pas toucher nos cotes. Qui a pu stopper une telle catastrophe écologique condamnant l’Atlantique ? Si BP prétend être à l’origine de la fin de cette catastrophe en ayant colmaté deux puits, nous vous laissons juger du sérieux d’une telle assertion.

En conclusion, nous ne pouvons que constater la pertinence de notre hypothèse : « des forces dotées de sagesse et de technologies extrêmement avancées veillent sur nous ».

Frédéric Morin