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Outre le fait que des instituts civils et militaires développent des nanotechnologies implantables et potentiellement parasites pour l’humain, nous sommes bien obligés d’admettre que des essais sur cobayes sont réalisés ici et là depuis des années. Aux USA, on dénombrerait environ 60 000 personnes atteintes dans leur chair par des nano fibres, nano cristaux, nano élastomères, hydrogel, nano objets intra-cérébraux, selon le docteur Hildegarde Staninger. La plupart du temps, faute de trouver des médecins en capacité de faire un diagnostic, ces individus finissent par être placés en psychiatrie. Ils sont la plupart du temps si atteints dans leur chair et dans leur esprit qu’ils ne peuvent mentalement avoir la force d’engager des actions en justice contre les instituts civils et militaires soupçonnables de les utiliser comme cobayes. Par ailleurs, il reste à établir le modus operandi d’implantation utilisé. Parallèlement, il y a fort à parier que 99 % des politiciens en charge de la santé publique ignore totalement cette sorte de nano-contamination qui ne peut venir que de la toute puissante industrie militaro-industrielle.

L’Europe n’est pas épargnée par ce qu’on appelle communément « la maladie de Morgellon ». Nous ne disposons d’aucune statistique quant au nombre d’européens atteints par cette nano-contamination. Néanmoins certaines personnes commencent à parler et nous tenons ici à présenter des extraits du témoignage poignant de Madame V citoyenne allemande.

« Mon objectif est de sensibiliser le public au développement rapide des armes neutroniques dans le monde entier et aux programmes de harcèlement urbain représentant une grave menace pour les droits constitutionnels et les libertés des citoyens dans le domaine de la santé, de la sécurité, de la vie spirituelle ainsi que de la conscience individuelle, la conscience de groupe et la conscience sociale. »

Je voudrais dire en préambule que j’étais quelqu’un de très joyeux, dynamique et sportif qui aimait organiser des événements sportifs comme des marathon-relais en tant que capitaine d’équipe pour notre société.

En mai 2008, lors d’un examen gynécologique, je suis informée de la présence d’un fibrome utérin à croissance rapide, cause de crampes abdominales et douleurs pelviennes mettant ma fertilité et mon désir d’enfant en péril. La décision est prise d’enlever ce fibrome chirurgicalement. Le 17 juin 2008, l’opération est pratiquée dans l’hôpital bruxellois HIS Molière-Longchamps.

À peine 2 à 3 mois après, je constate la première apparition de fibres et filaments noirs et de granules sortant de ma peau, d’abord au niveau du vagin et aux alentours de la cicatrice de l’opération. Je suis choquée et confuse.

Le 19 décembre 2008, mon médecin m’annonce que je suis enceinte.

Entre mars et septembre 2009, apparaissent des symptômes assez déconcertants comme des palpitations cardiaques, sans aucune anomalie cardiaque antérieure, des mouvements du corps subits et involontaires ainsi que d’étranges mouvements réguliers de soulèvement du ventre qui sont trop rythmiques, mécaniques et à intervalles bien trop réguliers pour pouvoir provenir de la nouvelle vie que je porte dans mon ventre. En même temps, j’expérimente de grandes difficultés à me concentrer et des trous de mémoire inquiétants, moi qui avais toujours eu une excellente mémoire jusque là. Je souffre d’un sentiment d’étranges piqûres « électriques » sur tous le corps comme si l’on m’enfonçait des aiguilles dans la peau.

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Mon fils naît le 1er septembre 2009. Je prends instantanément conscience de l’importance de mon rôle de maman et l’amour que j’ai pour lui balaye tout. Mais l’instant de grâce est de courte durée, dans les jours et les mois qui suivent, j’assiste incrédule à la présence renouvelée de fibres, granules, hexagones et petites pelotes de filaments colorés entremêlés sortant de ma peau à fréquence de plus en plus régulière. Cette matière va souvent de pair avec un éclatement d’un liquide gluant en forme de gouttes sur la peau rappelant un gel ou de l’huile. Je souffre de frissons sur tout le corps, je n’arrive pas à me réchauffer malgré le chauffage allumé en permanence. J’ai des démangeaisons atroces qui rendent tout sommeil impossible et contre lesquels pommades ou antihistaminiques que les médecins me prescrivent, n’ont aucune efficacité.

Je ressens une fatigue sévère et permanente très inhabituelle chez moi, si invalidante que le simple fait de conduire mon fils en poussette à la crèche le matin me demande un effort considérable. À une ou deux reprises, je perds même le contrôle de mes jambes et me blesse en tombant. Désespérée, je consulte beaucoup de médecins, de dermatologues mais aucun ne peut m’aider ni me donner une explication aux filaments et particules qui me sortent de la peau. Toute recherche de parasite ou de maladie tropicale s’avère négative.

Au niveau de mon rein droit, j’ai une étrange sensation d’électricité et de vibration sous-cutanée. Mon inquiétude va grandissante. Je retourne chez le Dr de Jaegher qui procède à un grattage de la peau de ma main et me dit qu’elle ne voit rien de spécial sauf un sarcopte « coupé en deux » ; elle diagnostique une gale. Le Dr m’explique que ma maladie est très contagieuse et que je dois faire très attention à chaque contact physique avec mon enfant. Elle prévoit un traitement de deux à trois semaines me prescrivant également une pommade à appliquer à tous les membres de la famille.

… En août 2010 mes symptômes s’aggravent, mon corps rejette toujours des quantités de substances…Je perçois un mouvement très organisé sous ma peau, comme si quelque chose prenait « possession » de mon corps, s’y installait, m’envahissant complètement. Aucun médecin ne semble pouvoir m’aider !

Mon état ne fait qu’empirer. En janvier 2011, je prends une décision radicale : J’arrête tout traitement, cesse d’aller consulter les docteurs et je commence à faire mes propres recherches sur cette maladie qu’aucun médecin ne peut diagnostiquer. Je comprends tout de suite le mal dont je suis victime. Rapidement, je m’oriente vers les recherches de la toxicologue américaine, le Dr Hildegarde Staninger. Médecin spécialisé dans l’étude des nanopathologies, experte devant les tribunaux, elle a soutenu plusieurs victimes d’implantation non-consensuelle par nanotechnologie, en justice. Dans la même période, je réalise que j’émerge de mes assoupissements souvent avec des marques de piqures sur le corps avec éruptions sous-cutanées et extériorisation de ce que je sais désormais être des nanoparticules. Je constate aussi des cicatrices chirurgicales sur mon corps comme derrière les oreilles, sous le menton et sur l’abdomen, que je ferai ensuite constater par des médecins. Les hématomes sur tout le corps sont également fréquents. Un matin, en me réveillant, je ne peux presque pas me mettre debout car je sens des mouvements mécaniques sous la plante des pieds qui sont si douloureux qu’ils me rendent la marche quasi impossible. Plus ça va, plus le mal s’accentue, mon corps rejette même des filaments de ma langue, de mon visage, de ma tête.

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De la tête au pied, je peux suivre des mouvements très coordonnés sous ma peau, comme un courant électrique qui traverse mon corps provoquant d’atroces douleurs en permanence. Des changements de ma vision se mettent en place. Toute une nouvelle réalité virtuelle commence à se développer. Pendant la nuit, mais de plus en plus, également le jour, on me projette des images virtuelles ou des vidéos dans la tête. Ce sont généralement des discours d’Adolf Hitler, des scènes de tortures, des scènes de rituel sataniques, d’abus sexuels, des symboles sataniques ou liés à l’idéologie nazie comme des croix gammées, des serpents, de grandes chauves-souris vampires ou d’autres monstres. Le cheval ailé, Pégase, revient toujours.

De temps en temps je vois également des images d’extra-terrestres à l’aspect inquiétant, qui semblent m’inspecter avec leurs grands yeux noirs. Mes oreilles rejettent à leur tour cette matière inerte, je commence à avoir des acouphènes avec un son très aigu et désagréable en permanence, des cliquetis, des claquements, des grésillements et d’autres sons saccadés. Parfois, surtout au moment où je commence à m’endormir, j’entends des voix d’hommes et de femmes parlant différentes langues.

D’avril 2011 à décembre 2012, mon corps se couvre de petites cicatrices. Mon crâne se déforme dans d’atroces douleurs et je remarque de très fines cicatrices juste en dessous des arcades sourcilières, des filaments noirs sortent même de mes yeux qui piquent en permanence comme transpercés par des aiguilles. Avec les doigts, en dessous des arcades et au niveau des paupières près du nez, je peux sentir des choses qui semblent être des fils menant dans mes yeux. Dès que je les ferme, je vois constamment une couleur rouge très agressive et un grand œil qui me regarde en permanence.

Quelque temps plus tard, lors d’une rencontre avec une victime anglaise de la même technologie, Mike M. me parle spontanément d’un « grand œil de taureau » qui semble l’observer en permanence. Quelque chose de dur et de douloureux s’installe dans ma langue, lié à l’intérieur de mes joues qui montrent les mêmes petites blessures, en dessous et au-dessus de la langue. On y a visiblement placé des capteurs électroniques. Mes seins n’ont pas non plus été épargnés, ce qui leur donne un aspect gonflé et asymétrique constaté lors d’un examen IRM que mon gynécologue demande, car lors d’un examen au toucher, il me confirme qu’il y sent également des masses et des grosseurs potentiellement inquiétantes et plus prononcées du côté gauche.

Durant l’été 2011, je me réveille un matin en constatant de petites cicatrices au niveau de mon cou par lesquelles sortent une quantité considérable de granules et graines noirs accompagnés par ce qui semble être de petits cristaux. Peu après, je sens quelque chose bouger sous la peau à l’intérieur de mon cou et dans ma thyroïde. J’ai l’impression d’avoir un énorme vers ou un serpent très dur et puissant dans mon cou qui commence à me suffoquer. A partir de ce moment- là, j’ai en permanence un sentiment de strangulation et de mort par suffocation. Je vis dans la terreur continue d’être assassinée par constriction de la trachée.

Plus tard, l’experte en nanotechnologie, le Dr Hildegarde Staninger me préparera une déclaration sous serment dans laquelle elle décrit cette technologie en détails. Elle confirme qu’en dehors d’enregistrer toutes les paroles de la victime par un nano-micro placé dans la thyroïde, elle peut aussi provoquer la suffocation de la victime à distance.

Je décide de consulter un toxicologue de la clinique universitaire de Louvain, le Prof. Benoît Neméry de Bellevaux. Après avoir prélevé 2 fois à plusieurs jours d’intervalle, une importante quantité de particules et filaments qui sortaient de ma main, il me dit qu’il y a 15 jours d’attente pour les résultats…. Pour résumer une longue histoire, je n’ai jamais pu avoir de résultats concernant ces analyses. Mr Neméry me répond que les pathologistes sont perplexes, car il s’agit d’une matière inconnue qu’ils ne sont pas parvenus à identifier. Les analystes, quand je les appelle pour essayer d’en savoir plus, affirment n’avoir jamais procédé à des analyses à mon nom ! Les prélèvements ne sont, paraît-il, jamais arrivés au laboratoire ! J’ai le sentiment que l’on se moque vraiment de moi.Après avoir introduit une plainte auprès des services de médiation de l’hôpital, je reçois finalement les rapports de laboratoire m’indiquant qu’il s’agit d’une matière synthétique de nature inconnue. Le dossier est clôturé sans avoir été résolu et le Prof. Jan Tytgat m’informe que conduire de plus amples analyses est impossible.

Depuis le printemps de l’année 2012, je fais partie des membres fondateurs d’une organisation à but non lucratif, « International Center against Abuse of Covert Technologies » (Centre International contre l’Abus des Téchnologies Secrètes). L’objectif de l’ICAACT est de sensibiliser le public à l’implantation non-consensuelle des citoyens par de nouvelles technologies ainsi que de fournir aux victimes les preuves scientifiques des crimes commis contre eux. Pour ce faire, l’ICAACT organise régulièrement des scannings gratuits pour les membres du public afin de détecter d’éventuelles radio-fréquences émises par les implants placés à leur insu.

En juin 2013, avec l’avocat allemand Me Henning Witte, le médecin Dr Rauni Kilde, l’activiste suédois Magnus Olsson, nous fondons une autre association à but non lucratif afin de défendre les droits des victimes du terrorisme électronique et du harcèlement criminel en réseau. L’organisation s’appelle EUCACH (European Coalition against Covert Harassment.)

Le 20 novembre 2014, en collaboration avec Peter Mooring de la fondation néerlandaise STOPEG (Stop Electronic Weapons, Stop Gangstalking), EUCACH organise le premier congrès mondial sur le thème de l’expérimentation non-consensuelle avec la technologie de l’implant électronique, les armes à énergie dirigée et le harcèlement criminel en réseau des citoyens.

À peine deux mois après son intervention à la conférence de Bruxelles où elle paraissait en pleine forme, le 8 février 2015 exactement, le Dr Rauni Kilde, membre du conseil d’administration et conseiller médical d’EUCACH, décède brusquement d’un cancer généralisé dans son pays natal, la Finlande. Sur la base des courriels envoyés par le Dr Kilde peu de temps avant son décès, un assassinat par armes à énergie dirigée est suspecté par une large partie de ses amies et connaissances.

Pour en savoir plus :

eucach.org
www.stopeg.fr
www.icaact.org
http://stopthecrime.net