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Depuis des années il est demandé aux autorités politiques et militaires françaises de prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger notre espace aérien de milliers d’avions volant hors des couloirs aériens commerciaux et diffusant des métaux lourds et autres substances toxiques sur notre territoire. Ces actes sont assimilables à du bio-terrorisme à très grande échelle. Nikola Aleksic, directeur du mouvement écologique serbe du Novi Sad, depuis 2 ans a demandé l’arrêt de la pulvérisation de chemtrails par des avions banalisés au-dessus de son pays. D’autres élus serbes plus radicaux demandent à l’armée de positionner des batteries de missiles sol-air pour abattre tout appareil qui diffuserait des substances chimiques sur leur territoire.

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En France, malgré des demandes pressantes en direction de tous les politiques, rien n’est fait pour stopper les épandages aériens nommés chemtrails. Nous en sommes rendus à devoir faire le bilan de l’ampleur des dégâts, année après année, sans aucune intervention des pouvoirs publics et sans intervention de nos armées pour protéger notre espace aérien d’un phénomène qui relève du bio-terrorisme sur notre propre territoire.

Dans des secteurs où il n’y a absolument aucune activité industrielle sont retrouvés des taux élevés d’aluminium, de baryum, de strontium, de titane, et certains polymères ou nanofibres à l’origine de la maladie des Morgellons. Les neiges des montagnes, nos rivières, nos lacs, nos champs, nos forêts sont touchés par cette pollution qui s’accumule, changeant le PH des sols, altérant en profondeur notre biotope et tuant nos insectes. Cette pollution directement venue d’épandages à haute altitude touche tous les pays de la zone OTAN. C’est à croire que cet organisme militaire institué au-dessus de nos armées nationales, pilote un programme de contamination des populations et des sols. Nos états-majors en partie informés de ces épandages aériens toxiques ne font absolument rien pour empêcher ce fléau. Ils en ont pourtant les moyens techniques et militaires. Si rien n’est fait par nos armées, demain, qu’est-ce qui pourra empêcher ces avions d’épandre des virus, des matières radio-actives cancérigènes, des polymères mutagènes, des nanites cérébralo-formante ou autres bio-neuro-toxiques destructeurs ? Si tous les politiques de notre pays ont déserté, qu’en est-il de notre armée ? Va-t-elle aussi déserter et laisser les populations être victimes d’un bio-terrorisme qui ne dit pas son nom ?

L’information en direction des politiques étant vaine et stérile malgré l’urgence sanitaire, nous suggérons à toutes les associations scientifiques et citoyennes de haute probité, telle l’ACSEIPICA, de transmettre tous leurs dossiers relatifs aux chemtrails à nos états-majors nationaux, à la Direction des Armées, à l’Armée de l’Air en particulier. Faudra-t-il se résoudre à attaquer l’Etat en Justice comme le font des citoyens suédois, concernant l’épandage sur leur propre territoire ? (voir : cielvoile.fr)

État des lieux

Vous pouvez trouver une multitude de vidéos d’informations sérieuses relatives au problème des chemtrails sur internet. De nombreuses analyses des retombées sont réalisées de Berlin jusqu’à Hawaï. Nous ne manquons aucunement de preuves et de données scientifiques démontrant la dangerosité des chemtrails. Les concentrations de métaux lourds semblent plus importantes aux États-Unis qu’en Europe actuellement. Mais si les choses demeurent en l’état, nous aurons bientôt les mêmes taux en France. A Miserey Salines dans le Doubs, le laboratoire Qualio de Besançon, a procédé à des analyses d’eau de pluie recueillies tous les 8 mois au même endroit et dans des conditions similaires. Ce laboratoire est agréé par le ministère chargé de l’Écologie ayant l’accréditation n°1-1499 par la section Laboratoire-secteur essais du COFRA (voir www.acseipica.fr).

Ces analyses d’eau de pluie révèlent de forts taux d’aluminium, baryum, strontium, titane. Mais plus grave, les résultats attestent d’une augmentation de 800 % du taux d’aluminium en 16 mois (passant de 10,1 µ/L à 88,6 µ/L) et d’une augmentation de 100 % des taux de baryum (20 µ/L), strontium (10 µ/L) et titane (4 µ/L) en 8 mois.

Toxicité de l’aluminium

Les effets toxiques de l’aluminium portent essentiellement sur le système nerveux central (encéphalopathies, troubles psychomoteurs, Alzheimer). Dans la nature l’aluminium peut se concentrer dans des points d’eau et détruire le biotope. Saturant les sols, il empêche les graines de germer. Étrangement Monsanto a développé toute une gamme de graines OGM résistantes à l’aluminium qui seraient alors les seules à pouvoir germer dans un milieu saturé d’aluminium.

Toxicité du titane

Les particules de titane sont toxiques pour les cellules osseuses. Elles provoquent des nécroses et des destructions osseuses. Dans la nature le titane est absorbé par les racines des arbres et provoque leur mort à plus ou moins long terme.

Toxicité du baryum

Dissous dans l’eau, le baryum provoque des difficultés respiratoires, une augmentation de la tension artérielle, des changements du rythme cardiaque, irritation de l’estomac, faiblesses musculaires, modifications des réflexes nerveux, dommages au cerveau, au foie, aux reins et au cœur. Dans la nature, sous forme de micro particules, il détruit les arbres affectant tout le biotope.

Toxicité du Strontium

Le strontium non radio actif peut provoquer une interruption du développement osseux, mais ceci ne se produit que lorsque la consommation est de l’ordre du millier de ppm. Le strontium radioactif représente un risque pour la santé plus important que le strontium stable. Il peut provoquer de l’anémie et des carences en oxygène et, à des concentrations extrêmement hautes, il est même connu pour provoquer un cancer du à l’altération du matériel génétique des cellules.

Haute pollution des eaux de pluie

Il nous a été donné de voir sur des vidéos des personnes usant d’une pompe filtrante rudimentaire s’imaginant ainsi pouvoir obtenir de l’eau potable facilement. D’autres encore font fondre de la neige. Sur certaines montagnes US, des taux de 61 000 ppm d’aluminium ont été relevés dans l’eau issue de neige fondue.
Il est aisé de comprendre que les personnes buvant une telle eau même filtrée tomberont gravement malades.

Rendre l’eau de pluie potable devient un casse-tête

Ces eaux sont chargées toujours un peu plus en aluminium, baryum, strontium et titane du fait même des chemtrails. Il est clair que procéder au filtrage de cette eau ne suffit pas.

L’aluminium peut être retiré de l’eau au moyen de l’échange d’ions ou de la coagulation/floculation. Les sels d’aluminium sont utilisés dans le traitement de l’eau grâce à la réaction par précipitation. En ajoutant le sulfate d’aluminium et de l’eau de chaux à l’eau, on constate la formation de l’hydroxyde d’aluminium, ce qui entraîne la décantation des polluants. L’hydroxyde d’aluminium n’est pas soluble dans l’eau, il reste alors 0,05ppm d’aluminium dissout dans l’eau.

Le Baryum peut se traiter par résines échangeuses d’ions et aussi très probablement pas osmose inverse car c’est un gros ion. On peut trouver également un moyen assez complexe pour traiter le titane. En ce qui concerne le strontium stable ou radio-actif, il n’existe pas de méthode classiques applicables au traitement de cet élément.

Même si l’on parvenait à trouver un système complexe de traitement du strontium, il resterait les chimiques, les bactéries, virus et certains polymères complexes à traiter. Autant dire qu’il nous faut monter une véritable usine à gaz pour rendre l’eau de pluie potable. Tout cela nous le devons aux chemtrails qui nous arrosent quotidiennement de métaux lourds…

Frédéric Morin