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Comme dans bien des domaines, des expériences antigravifiques ont précédé la compréhension de toutes les lois relatives à la gravitation. Encore aujourd’hui ces lois ne sont pas totalement établies. Certains disent encore que l’antigravité n’existe pas et pourtant…

Dans les années 20, un premier engin antigravifique fut expérimenté en Allemagne. Le docteur Henry Monay, dès 1931, disait maîtriser la gravitation. Jacques Weiss écrivit : « Lors de mon séjour aux États-Unis pendant l’hiver 47-48, un ingénieur m’affirma que la Général Electric avait réussi une expérience de lévitation. Un cube de pierre d’environ deux pieds de côté se maintint à un mètre du sol pendant 3 semaines, puis se rapprocha peu à peu du sol à mesure que l’effet électronique s’atténuait ».

Il est certain aujourd’hui que les premières machines antigravifiques ont volé juste après la première guerre mondiale. Bien qu’archaïques, ces premiers engins antigravifiques n’en étaient pas moins fonctionnels comme nous allons le démontrer. Un préalable est essentiel, pour comprendre ce qu’est l’antigravité, il faut tenter d’expliquer le phénomène qui donne à chaque chose sa masse.

Ondes stationnaires et antigravité

Les ondes stationnaires sont des ondes qui bougent sans bouger un peu comme deux voitures face à face pare choc contre pare choc qui, exerçant la même puissance l’une contre l’autre, roulent tout en restant immobiles. Les ondes stationnaires sont issues de l’onde d’un photon et de l’onde d’un antiphoton qui sont opposées mais qui ont exactement la même vitesse de vibration. Tous les atomes de notre univers baignent dans ces ondes stationnaires ou ondes du vide. Or, ces ondes exercent un pression sur l’atome qui renvoie par reflet une partie de ces ondes. A supposer que l’atome n’absorbe que la moitié de l’énergie de ces ondes stationnaires, la moitié de l’énergie qu’il absorbe crée sa masse. Le différentiel de pression des ondes stationnaires, et de la contre pression renvoyé par les atomes est à l’origine de leur masse.

Si l’on donne de l’énergie à l’atome en le faisant tourner sur lui même à très grande vitesse, l’atome va alors émettre plus de pression qu’il n’en reçoit des ondes stationnaires. Il va alors perdre sa masse, son inertie et être en apesanteur. La pression qu’il exercera sur le milieu sera égale à la pression qu’exerce le milieu sur lui.

Vortex antigravifique

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Selon la théorie de Schauberger, si on fait tourner un gaz à 80 km/seconde en circuit fermé on fabrique une énergie temps, ou énergie du vide qui, transmise aux atomes génère l’antigravitation. Cette théorie des vortex date des années 20 et fut utilisée par les allemands pour fabriquer des engins antigravitationnels souvent décrits par les avions alliés durant le seconde guerre mondiale. (foo fighters).

Sans grande connaissance scientifique, on peut se représenter assez facilement comment étaient fabriqués ces premiers engins. Le cœur du système antigravifique à vortex, était un simple cylindre vide, rempli avec de la vapeur de mercure. Les allemands avaient installé sur ces engins des réservoirs de mercure chauffé par une résistance alimentant en vapeur de mercure le système central à vortex.

Pour faire tourner très rapidement les gaz de mercure, il faut installer sur l’intérieur haut du cylindre, un bobinage et sur la partie intérieure inférieure un bobinage plus petit. Ces deux bobinages sont alimentés par la même puissance électrique. Cela génère sur le petit bobinage un champ magnétique plus puissant que sur le bobinage de la partie supérieure. La vapeur de mercure va donc tourner plus vite en bas et former un cône de mercure tournant sur lui-même. On crée ainsi une tornade de Schauberger.

Pour orienter l’axe des atomes de mercure, il faut tapisser l’intérieur du cylindre d’aimants avec le pôle Nord orienté vers l’intérieur et le pôle Sud orienté vers l’extérieur. Les aimants vont confiner magnétiquement la tornade et redresser les axes de rotation des atomes de mercure. Ils seront alors tous parallèles entre eux.

L’interaction des champs magnétiques des bobinages et des aimants va faire tourner les atomes de mercure sur eux-mêmes créant alors des champs d’ondes stationnaires. Plus ils tournent vite sur eux-mêmes, plus ils émettent d’énergie temps vers le vide. Dès que cette énergie est équivalente aux ondes du vide, le poids devient nul et un appareil de 100 tonnes peut être levé avec un doigt. L’inertie étant nulle une très faible poussée suffit à lancer l’engin dans l’espace.

Si on augmente l’énergie vers le vide, en en créant plus qu’on n’en reçoit, l’antigravité demeure mais l’énergie supplémentaire va rayonner à la surface de l’engin. Les atomes de mercure émettent alors des photons. En fonction de la fréquence de ces photons la soucoupe volante va émettre une lumière bleue, orange, rouge ; lumières souvent observées dans le ciel, au dessus de l’Allemagne, dans les années 40-45.

Pour propulser l’engin antigravifique, il faut dévier l’axe des atomes localement avec des électro-aimants positionnés aux quatre points cardinaux du cylindre central. En alimentant un électro-aimant, tous les atomes qui passent à proximité vont basculer sur leur axe et créer un mouvement de haut en bas, de gauche à droite de l’engin ovoïde. Le basculement des atomes créé une asymétrie de la pression qu’exerce l’engin antigravifique sur l’énergie du vide. Il se crée alors une sorte de tunnel de vide dans une direction donnée, l’engin alors s’y propulse. Par exemple, basculer à l’aide d’électro-aimants tous les axes des atomes à gauche provoque le mouvement de l’engin vers la gauche. Les premiers prototypes de ce genre ne pouvaient changer de direction que d’après des angles de 90°, 45° ou de 22.5° à plat.

L’ingénieur allemand Koelher électronicien eut l’idée de mettre 3 électro-aimants sous le dispositif à vortex afin de créer des cycles ondulants de déformation de la tornade de mercure contrôlée par ce que l’on nommait à l’époque un tachyonator. Cela permettait à l’engin antigravifique de se déplacer comme un hélicoptère capable de pointes à 17 000 km/heure.

Le phénomène antigravifique se propage par résonance dans la proximité immédiate du vortex et induit l’antigravité sur la coque de l’engin et l’ensemble des dispositifs périphériques. Le champ antigravifique se propage selon la même loi d’atténuation que les ondes radio (carré inverse de la distance). C’est pour cela que ces engins ont une forme de soucoupe et non pas de cylindre. Une jupe métallique en forme d’assiette renversée sur le haut de l’appareil permettait d’étendre le champ antigravitationnel de façon à inclure tous les matériaux et systèmes du vaisseau.

Piloter de tels engins était extrêmement dangereux ne laissant pour ainsi dire aucune marge d’erreur. Certains engins ont quitté l’atmosphère terrestre tuant les pilotes qui n’avait ni combinaison, ni système adéquats pour l’espace. Le fait d’être en apesanteur dans l’engin, effraya plus d’un pilote parmi les élites de la LuftWaffe.


Sources : D’après les émissions de Jean-Marc Roeder sur Ici et Maintenant et Top Secret Magazine n° 9 de Roch Saüquere sur lequel vous trouverez les plans de fabrication d’un engin antigravitationnel réalisé au Canada. Jean-Marc Roder expose par ailleurs dans ce magazine sept différents systèmes de propulsions antigravitationnelles dans les dossiers des black programmes américains publiés dans Top Secret Magazine, 8 rue Pierre et Marie Curie, 32600 L’Isle Jourdain. Tél : 05 62 07 38 57. Vous trouverez également sur icietmaintenant.com de très remarquables émissions de Jean-Marc Roeder vendues sur Cédérom. Radio Ici et Maintenant, 8 rue Violet 75015 Paris. Contact Jean-Marc Roeder : .